Kaakook

Top - Citations de films de tous les temps

Qu’est ce qui guéri le cancer ?
Il semble que la mort imminente, pousse à agir.
Pourquoi faut-il toujours attendre qu’une vie soit en jeu, pour en arriver à ça ?
La connaissance de la mort change tout, à vrai dire, si vous deviez savoir le jour exact, l’heure également de votre mort, cela remettrait totalement en question votre façon de voir les choses. Je le sais. Avez-vous une idée de ce que l’on ressent quand on vous fait patienter, pour vous annoncer que vous allez mourir ? Et voila que le compte à rebours commence. Tout d’un coup, le temps file trop vite pour vous. En une fraction de seconde, tout votre monde s’écroule. Vous ne voyez plus, vous ne sentez plus de la même manière. Vous savourez tout, la moindre chose, un verre d’eau, une marche dans le parc. Le temps file. La plupart des gens veule ignorer le temps qui s’arrêtera enfin. Ironiquement, c’est ce qui les empêche de vivre pleinement leur vie. Et ils boivent bien sur aussi des verres d’eau, mais sans jamais vraiment y goûter. Pour moi, le temps n’est pas flexible. J’ai un cancer. C’est le moment ou j’ai décidé de mettre un terme a ma vie, qui a motivé mon œuvre. Il a même donné un sens. J’étais vraiment déterminé à me suicider… Mais j’ai échoué. Mon corps qui n’était pas assez fort pour rejeter les cellules cancéreuses, a réussi a survivre du plongeon du haut d’une falaise. À mon grand étonnement, j’étais encore en vie. []
Les gens qui ne profitent pas de la vie ne méritent pas de vivre.

#401 9.3 (260 votes)

- Qu’est ce que l’on fait de l’amour ?
- Très surfait. Sur un plan biochimique, tu arrives au même résultat en mangeant deux ou trois tablettes de chocolat.

#402
9.3 (161 votes)

Certains hommes sont sans but logique. On ne peut les acheter, les intimider, les raisonner ou négocier avec eux. Certains hommes veulent juste voir le monde brûler.

#403 9.3 (374 votes)

La première fois que je les ai vu, j’ai cru qu’ils avaient débarqués d’une autre planète. Je ne pouvais pas m’arrêter de les regarder. J’étais encore petite quand ma mère m’emmena les voir s’entraîner dans le quartier. Ça a rapidement eu de plus en plus de succès. Très vite, les meilleurs danseurs sont venus de partout pour se mesurer les uns aux autres dans ce qu’ils allaient appeler la « danse de rue ». Ce fut une révolution, et j’allais en être un des spectateurs privilégié. Je rêvais de glisser, de sauter, de m’envoler comme eux. Mais je n’ai pas eu une enfance facile. Ma mère me disait « accroches-toi, sois toi-même, ne te prends pas pour quelqu’un d’autre, la vie est trop courte. » Elle avait raison. J’avais 16 ans quand elle est tombée malade. Elle mourut en quelques mois. Et tout mon univers s’en trouva bouleversé, y comprit la rue, et la danse…

#404
9.3 (190 votes)

Pourquoi je travaillerai pas pour la NSA ? Ça c’est une colle ! Je vais essayer d’y répondre.
Disons que je travaille à la NSA et qu’on dépose un code sur mon bureau, un code réputé inviolable, mettons que je tente ma chance, mettons que j’le déchiffre, là j’suis très content de moi parce que j’ai bien fait mon boulot, mais c’était peut-être le code de l’emplacement d’une armée rebelle en moyen orient ou en Afrique du nord, et une fois qu’on a repéré le lieu, on bombarde le village où les rebelles se cachent, et quinze cents personnes que j’ai jamais vu, qui ne m’ont jamais rien fait, sont tuées.
Et les politiciens, ils disent : « envoyez les marines assurer la sécurité », parce qu’ils en ont rein à foutre, c’est pas leurs gosses qu’ils envoient se faire descendre, comme eux ils sont jamais allés au feu, parce qu’ils étaient tous planqués dans la garde nationale ; c’est un pauvre môme de Boston sud qui se prend un shrapnel dans les fesses, et il revient pour apprendre que l’usine où il travaillait s’est exportée dans le pays d’où il vient d’arriver et le mec qui lui a filé le shrapnel dans le cul c’est lui qui a son job, parce qu’il bosse pour 15 cents par jour sans pose pipi ; et maintenant il comprend que la seule raison qu’il y avait de l’envoyer là-bas, c’était de mettre en place un gouvernement qui nous vendrait le pétrole pour pas cher, et bien sûr les compagnies pétrolières exploitent le conflit qu’il y a eu pour faire monter les prix, et se faire du même coup un beau p’tit bénef, mais ça aide pas mon pote qui travaille pour des clous.
Il se traîne un max à livrer le pétrole bien sûr, peut-être même qu’ils vont employer un alcoolique comme capitaine, un buveur de martini, qui s’amuse à faire du slalom entre les icebergs, jusqu’au jour où il en frappe un. Le pétrole se déverse et ça tue toute vie dans l’Atlantique nord.
Alors là, mon pote est chômeur, il peut pas se payer de voiture et c’est à pied qu’il se cherche des jobs, ce qui est pas marrant parce que le shrapnel qu’il a eu dans le cul, lui a filé des hémorroïdes, et puis en plus il crève de faim parce qu’à la soupe populaire on lui propose comme plat du jour, de la morue de l’Atlantique nord avec de l’huile de moteur.
Alors qu’est-ce que j’en pense ? J’vais attendre une offre meilleure. J’me dis, putain je ferai peut-être aussi bien de descendre mon pote, prendre son job, le filer à son pire ennemi, faire monter les prix, bombarder, tuer des bébés phoques, fumer de l’herbe, m’engager dans la garde nationale. Et puis j’serai peut-être élu Président ?

#405
9.3 (219 votes)

Quand ils me demanderont ce que j’ai préféré… Je leur dirait que c’était toi.

#406
9.3 (218 votes)

Tout ce que je sais… C’est que des fois, tu me manques tellement, que j’ai envie d’en crever tant ça fait mal…

#407
9.3 (460 votes)

- Qui il était ?
- Il était Edmond Dantès… Il était mon père, et ma mère, mon frère, mon ami… Il était vous, et moi. Il était chacun de nous.

#408
9.3 (348 votes)

Faut un décodeur pour avoir les couleurs ici ou quoi ?

#409
9.3 (662 votes)

Vous pouvez me tuer mon ami, mais ne m’insultez pas !

#410 9.3 (319 votes)

- Hey Charlotte, c’est du p’tit bateau ou du Titanic ta culotte ?
- Arrête, c’ma mère elle achète que ça !

#411
9.3 (817 votes)

Si tu veux pas avoir l’air stupide : faut pas tomber amoureux !

#412
9.3 (248 votes)

Le Comte : La fin est proche. On se croyait éternels. Mais c’est la vie. On vous dit adieu, avec dignité et fierté. C’est le dernier compte à rebours pour le Comte. Trois, deux, un … Le reste est silence.
[On voit les officiels du gouvernement trinquer et rire en écoutant la radio]
Inconnu : À la Reine.
Inconnu : À son gouvernement.
Le Comte : Je déconnais, les gars, ça repart !!

#413
9.3 (189 votes)

Ainsi avons nous commencé à découvrir leurs vies. À acquérir des souvenirs communs que nous n’avions pas vécu. Nous avons compris l’emprisonnement que c’est d’être une fille, qui vous oblige sans cesse à réfléchir et à rêver, et fini par vous apprendre à marier les couleurs. Nous avons appris que les filles sont des femmes déguisée. Qu’elles comprennent l’amour et même la mort. Et que notre seule tâche est de produire le bruit de fond qui semble les fasciner. Nous avons appris qu’elles savent tout de nous, et qu’elles nous demeurent insaisissable.

#414
9.3 (176 votes)

Je rêve d’être éternellement à tes cotés.

#415 9.3 (1112 votes)

Tu veux savoir d’où viennent ces cicatrices ? Mon père était un ivrogne… et un sadique ! Et, un soir alors qu’il est plus toc toc que d’habitude ; maman chope le couteau de cuisine. Il n’apprécie pas, il n’apprécie pas du tout. Ensuite… moi regardant, il lui enfonce le couteau dans un immense éclat de rire. Et il se tourne vers moi et il dit « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il s’approche avec sa lame. « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il m’enfonce la lame dans la bouche ! « Il faut mettre un petit sourire sur ce visage ! ». Et… pourquoi cet air si sérieux ?

#416 9.3 (246 votes)

J’vois l’intérêt de caresser une joue, j’vois l’intérêt d’bouger les cailloux mais j’vois pas l’intérêt de tuer quelqu’un.

#417
9.3 (348 votes)

- Je vais te réciter un court poème : « Le ciel ».
- Oh c’est beau.
- Ouais mais je suis pas trop sûr du début.
- Si « le » c’est bien.

#418
9.3 (564 votes)

- C’est pour ça que tu n’es pas mariée. Une femme qui agit comme un homme ne peut pas se plaindre que les hommes ne la désirent pas.
- Ah ok, c’est pour ça ! Je croyais que c’était pour une autre raison. Que c’était parce que je méritais mieux et qu’il était là quelque part sauf qu’il fréquentait les mauvaises femmes. Et je vais être très honnête : après tout ces siècles que les hommes ont passé à me regarder les seins plutôt que me regarder dans les yeux et à me pincer les fesses au lieu de me serrer la main, je crois avoir mérité le droit de reluquer le beau derrière d’un gars de manière vulgaire et obscène chaque fois que j’en ai envie !

#419
9.3 (347 votes)

Alice, tu as disparu comme tout le reste. Maintenant à qui d’autre parler, je suis perdue. Quand tu es partie… et qu’il est parti, vous avez tout emporté avec vous. Et son absence remplit mon horizon. Comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine. D’une certaine façon je suis heureuse, ma souffrance est la seule preuve de sa réalité, de votre réalité.

#420 9.3 (545 votes)

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