C’est le secret profond que nul ne connaît. C’est la racine de la racine. Le bourgeon du bourgeon et le ciel du ciel d’un arbre appelé Vie, qui croît plus haut que l’âme ne saurait espérer ou l’esprit le cacher. C’est la merveille qui maintient les étoiles éparses. Je garde ton cœur… Je l’ai dans mon cœur.
La terre a tourné pour nous rapprocher ; elle a tourné sur elle-même et en nous, jusqu’à ce qu’elle nous réunisse enfin, dans ce rêve…
Chère Catherine, Pardon de ne pas t’avoir parlé depuis si longtemps. J’avais le sentiment d’être perdu, sans repère ni boussole. Je n’arrêtais pas de me cogner partout. J’étais devenu un fou. Jamais encore je n’avais été perdu, c’était toi qui m’indiquais le nord. Je retrouvais toujours mon chemin, car tu étais mon chemin. Pardonnes la colère que m’as causé ton départ, je pense encore qu’une erreur à été commise et j’attends de dieu qu’il la répare. Je vais mieux maintenant, le travail me soutient, mais par dessus tout, c’est toi qui me soutient. Tu m’es apparu en rêve, cette nuit et tu avais ce sourire, qui comme l’étreinte des amants et qui me berce comme un enfant. Tout ce que j’ai gardé du rêve, c’est un sentiment de paix. Je l’éprouvais encore à mon réveil et je me suis efforcé de le prolonger aussi longtemps que possible. Je t’écris pour te dire que je m’embarque à la recherche de cette paix et pour te demander pardon pour tant de choses. Pardon de n’avoir pas mieux veillé sur toi, pour que tu n’ai jamais froid, jamais peur, que tu ne sois jamais malade. Pardon de n’avoir pas su trouvé les mots pour exprimer ce que je ressentais. Pardon d’avoir tant tardé à réparer la porte, c’est fait aujourd’hui. Pardon pour les fois ou nous nous sommes disputé, pardon de n’avoir pas su m’excuser, c’était par orgueil et pour tous les compliments que je ne t’ai jamais fait, sur tes coiffures et les vêtements que tu choisissais et par dessus tout de ne pas t’avoir serré si fort que dieu n’aurait pu t’emporter. Avec tout mon amour, G.
Kiki la cocotte avait pour amant coco le concasseur de cacao. Kiki la cocotte voulait un caraco kaki avec un col en caracule, mais coco le concasseur de cacao n’avait que des caracos kakis sans col en caracule et des cols en caracule sans caraco kaki. Le marquis caduc et concave conquis par le caquet coquin de kiki la cocotte, compris qu’un caraco kaki sans col en caracule et qu’un col en caracule sans caraco kaki feraient un caraco kaki avec un col en caracule. Et c’est depuis ce jour là que coco le concasseur de cacao est cocu. Voilà, c’est juste pour dire que je pouvais finir une phrase !
- Phillip ! Je sais où tu te caches, viens ici que je te bute enculé ! - Ta gueule, viens ici sale enculé ! - Salaud !
- Tu es un Ange ? - Quoi ? - Un ange, ce sont les plus belles créatures de tout l’univers on dis qu’elle vivent sur les lunes de Yégo je crois… - Tu es un drôle de petit garçon !
Je ne sais pas pourquoi je t’aime, mais je suis prête à t’aimer quand même. Prince de la chance, la vie commence pour toi et moi.
L’amour n’obéit à aucune règle, c’est ce qui le rend si imprévisible… Il arrive parfois qu’il naisse là où personne ne l’attendait…
La prochaine fois que tu oublies que tu es Blair Waldorf, souviens toi que je suis Chuck Bass et que je t’aime.
Quelqu’un a dit un jour que la mort n’es pas la pire chose dans la vie : le pire, c’est ce qui meurt en nous quand on vit.
Je suis malade, tu sais ce n’était pas si dur, je le vivais plutôt bien, je l’avais accepté et puis tu es entré dans ma vie. J’ai peur de ne plus être avec toi.
Je veux dire, j’ai tout ce qu’il me faut ici avec moi. J’ai de l’air dans les poumons et quelques feuilles blanches pour travailler. J’adore me réveiller le matin sans savoir ce qu’il va m’arriver, qui je vais rencontrer, où je vais échouer. Il y a quelques jours j’ai dormi sous un pont et aujourd’hui je suis ici, sur le plus grand navire du monde, à boire du champagne en de si bonne compagnie. Je pense que la vie est un don et je ne veux pas le gâcher, on ne sait pas quelle donne on aura le jour suivant, on apprend à accepter la vie comme elle vient, pour que chaque jour compte.
- Avec toi j’ai l’impression de quelque chose de plus grand. C’est comme si t’étais un morceau de moi Sarah, le meilleur morceau de moi. Ferme les yeux. Je suis amoureux de toi Sarah… Je t’aime. - Tu m’aimes comment ? - Je t’aime jusqu’aux étoiles.
Non je ne me fous pas de toi, Maman. J’arrive juste pas à m’intéresser à la population de l’Inde et de la Chine et à l’activité des cellules. Parce que, la seule chose à laquelle je pense, Maman, la seule chose qui me fait mal, c’est Maël et cette connasse de De Perfitte. Et comment je vais pouvoir leur faire aussi mal que ce qu’il m’ont fait mal, comment je vais pouvoir faire ça ? Comment ?
- Tiens tu peux jeter mon chapeau si tu veux ! - Oh Merci Capitaine ! - Bon maintenant va me le chercher…