- Excusez-moi vous sauriez où je peux trouver une bière ? - J’sais pas moi… peut-être dans tes cheveux ?
Un pédé, c’est un gros mot, c’est pour parler d’un homosexuel. Et un homosexuel, c’est un homme qui aime un autre homme. Mais il y a pas de mal à ça. Il faut juste le respecter… Parce que ça reste de l’amour.
Il est possible de fuir celui que l’on craint, de lutter contre celui que l’on hait. Lorsqu’on aime son assassin, on n’a plus le choix. Car comment fuir et lutter si cela signifie blesser l’aimé ? Si la vie est la seule chose à lui donner, comment la lui refuser ? Quand on l’aime réellement ?
- Depuis quand tu n’a pas dormi une nuit entière ? - Einstein dormait trois heures par ans, et il a réussi.
- À quel Bucky je parle, là ? - Ta mère s’appelait Sarah. [Rire] Tu fourrais du papier journal dans tes chaussures ! - Ça, tu l’as pas appris au musée.
- Qu’est-ce que t’en as à cirer de la Galaxie ? T’es marié avec ? Pourquoi tu te crois obligé de la sauver, la Galaxie ? - Parce-que je fais partie des cons qui vivent dedans, je te signale !
On dit que certaines vies sont liées à travers le temps… Unies par un ancien appel qui résonne à travers les siècles.
- Qu’as tu dit à ta sœur lorsque tu t’es portée volontaire à la moisson ? - Je lui ai dit que j’essaierai de gagner pour elle. - Et tu essaieras.
Une personne qui est imprégnée n’a pas le choix. Dès qu’elle aperçoit l’autre tout son univers change tout à coup y a plus aucune gravité qui nous retient à la planète. C’est elle, c’est tout ce qui importe. On est prêt à tout pour elle, quitte à devenir un autre.
- Dites moi, vous avez pas envie de prendre le large ? - Vous voulez vous barrez c’est Ça ? Et on va où ? - Respirer un peu.
Espèce d’enculé de fils de pute, je t’emmerde connard, je NIQUE TA MÈRE, bâtard de ta race à la con, tu pues je t’encule, Pff. Bougre d’enculé, tu pues la merde, J’te chie à la raie. Toi je t’aime bien, j’te fais des bisous, des poutous des poutous des petits calinous.
- J’suis un vrai connard d’accord ? Non, j’suis bien conscient d’être un connard. Parce que, parce que je me suis jamais attaché à personne, ni à rien de toute ma vie et le truc c’est que tout le monde l’a plus ou moins accepté genre « Ça, c’est tout Jamie ». Il y a eu toi, nom de Dieu, toi ! Toi, toi… toi tu m’as pas vu comme ça, j’avais jamais rencontré quelqu’un qui pensait sincèrement que j’étais pas si méchant. Jusqu’à ce que je te rencontre, t’as réussi à me convaincre aussi, alors malheureusement, j’ai besoin de toi, et t’as besoin de moi. - Pas du tout. - Je t’assure que si ! - Pas du tout. - Je t’assure que si - Arrête de me dire ça je t’en prie. - T’as besoin qu’on prenne soin de toi ! - Pas du tout ! - Tout le monde en a besoin. - J’aurai plus besoin de toi que toi de moi. - Ça me va. - Non ça va pas, c’est tellement injuste, j’avais pleins de voyages a faire ! - Tu vas les faire ! Je te porterai s’il le faut. - Je peux pas te demander de faire ça. - T’as rien demander… Hé, y a qu’a se dire que dans un univers parallèle y a un couple exactement comme nous, d’accord ? Sauf qu’elle, elle va bien, et lui, il est parfait. Et leur monde tourne autour de la somme d’argent qu’ils vont dépenser en vacances ou qui est de mauvaise humeur ce jour là ou si oui ou non ils se sentent coupables d’avoir une femme de ménage. Je veux pas être ce couple, je veux être nous. Toi, ça !
- Dites moi Alex, vous êtes marié ? - Non, malheureusement. Célibataire. - Ah, ça m’étonne pas… - Pourquoi ? - Parce que si vous aviez une femme, elle vous aurait dit qu’après le roquefort au petit déjeuner on se brosse les dents !
- Comment compter vous me battre ? - Comme le dit l’ancêtre [Il désigne Captain America] : « ensemble ».
J’ai entendu dire que quand on est perdu le mieux à faire c’est de rester où on est et d’attendre qu’on vienne vous chercher, mais personne ne pensera à venir me chercher ici.
- Tu veux que je fasse quoi ? Que je l’enlève ? - Hein ? Quoi, mais t’es malade ! On a pas assez de place dans le placard.