Kaakook

Top - Citations de films des années 2010

Espèce d’enculé de fils de pute, je t’emmerde connard, je NIQUE TA MÈRE, bâtard de ta race à la con, tu pues je t’encule, Pff. Bougre d’enculé, tu pues la merde, J’te chie à la raie. Toi je t’aime bien, j’te fais des bisous, des poutous des poutous des petits calinous.

#281
8.97 (97 votes)

- I have an army!
- We have a Hulk!!


On dirait Noël, mais avec plus de… moi.

#283 8.97 (106 votes)

Whatever our souls are made of, hers and mine are the same.

#284
8.97 (87 votes)

J’ai entendu dire que quand on est perdu le mieux à faire c’est de rester où on est et d’attendre qu’on vienne vous chercher, mais personne ne pensera à venir me chercher ici.

#285
8.96 (405 votes)

Aimer quelqu’un qui vous aime aussi, c’est du narcissisme. Aimer quelqu’un qui ne vous aime pas, ça, c’est de l’amour.

#286
8.96 (163 votes)

Il arrive un jour, un jour où t’es debout quelque part, ou tu te rends compte que tu ne veux être personne de ton entourage. Tu veux pas être ce putain de looser à qui t’a démonté la tête, ni ton père, ni ton frère, personne de ta putain de famille. Tu refuses aussi d’être Madame la juge, tu ne veux même pas être toi-même, tout ce que tu veux c’est partir en courant et sortir à fond la caisse de l’endroit où tu te trouves.
Et soudain ça arrive, quelque chose se déclenche et à ce moment-là tu sais que les choses vont changer, elles ont déjà changé. Et à partir de là plus rien ne sera jamais pareil.
Et tout à coup tu te rends compte que tout est fini, pour de bon. Il n’y a pas de marche arrière, tu le sens. Et puis après tu essaies de te rappeler à quel moment tout a commencé et tu découvres que c’est plus vieux que ce que tu pensais, bien plus vieux. Et c’est là, seulement à ce moment-là que tu réalises que les choses n’arrivent qu’une fois. Et quelques soient tes efforts, tu ne ressentiras plus jamais la même chose, tu n’auras jamais plus la sensation d’être à trois mètres au-dessus du ciel.

#287
8.96 (539 votes)

Sixsmith,

Je monte les marches du monument Scott tous les matins… Et tout devient clair. J’aimerais pouvoir te montrer cette clarté. Ne t’inquiète pas tout va bien. Tout va foutrement parfaitement bien.
Je comprends maintenant que les limites entre le son et le bruit sont des conventions. Toutes les limites sont des conventions, qui attendent d’être dépassées. Chacun peut dépasser n’importe quelle convention si d’abord, on peut concevoir soi-même de le faire. Dans un moment comme celui là, je peux sentir battre ton cœur aussi clairement que je peut sentir le miens alors, je sais que cette séparation n’est qu’une illusion.
Ma vie s’étant bien au-delà des limites de ce que je suis.

#288
8.96 (38 votes)

- Tu as essayé de tuer tes maîtres !
- Non Dobby n’a pas de maître, c’est un elfe LIBRE ! Non, Dobby ne voulait pas tuer ! Blesser très gravement, mutiler… Mais pas tuer !

#289 8.96 (124 votes)

- Je suis rien sans le costume !
- Si vraiment tu n’es rien sans ce costume, c’est que tu ne le mérites pas.

#290 8.96 (38 votes)

Deux semaines voici le temps qu’il m’a fallu pour tomber amoureuse de toi. Nous allons être séparés pendant un an, mais qu’est ce qu’une séparation de un an après ces moments passés dans tes bras.

#291
8.95 (133 votes)

- Je vais retrouver la femme de ma vie !
- Ah félicitations !
- Non mais je vous dis ça parce que j’ai pas d’argent sur moi !

#292
8.95 (66 votes)

Si on meurt à cause d’eux, je te tue Harry !!

#293 8.95 (123 votes)

Tu crois qu’ils vont faire du mal à mon nounours ?

#294
8.94 (37 votes)

- Ne me laisse pas tomber…
- Jamais !

#295 8.94 (94 votes)

- Va ! Accomplis ton rêve !
- D’accord !
- Pas toi ! Ton rêve est nul. C’est à Raiponce que je parle !

#296
8.94 (103 votes)

Raiponce, regarde dans ce miroir… Sais-tu ce que je vois ? Je vois une jeune femme ravissante, pleine d’assurance et d’énergie… Oh ! Tu es là aussi !

#297
8.94 (84 votes)

- Depuis quand tu n’a pas dormi une nuit entière ?
- Einstein dormait trois heures par ans, et il a réussi.

#298 8.94 (56 votes)

Cher Thomas…

Autant que je me souvienne, c’est la première lettre que j’écris. Je sais pas si j’en ai écrit d’autres avant mon arrivée dans le Labyrinthe. Mais même si c’est pas la première, c’est probablement la dernière. Je veux que tu saches que j’ai pas peur. J’ai pas peur de mourir en tout cas, j’ai peur d’oublier, de me perdre à cause du virus. C’est ça ma plus grande peur.

Alors chaque nuit je prononce leurs noms à haute voix. Alby, Winston, Chuck. Je les répète encore et encore, comme une prière. Et les souvenirs resurgissent. Ces petits bonheurs comme le rayon de soleil qui venait lécher le bloc juste avant que les murs du Labyrinthe se referment. C’est aussi les saveurs du ragoût de Frypan. J’aurai jamais cru que tout ça me manque autant.

Et je me souviens de toi. Je me souviens de ton premier jour quand tu es remonté de la boîte, le petit nouveau complètement effrayé qui se rappelait pas son nom. Mais quand tu t’es précipité dans le Labyrinthe, j’ai su que je te suivrais n’importe où.

Et c’est ce que j’ai fait. C’est ce que nous avons tous fait.

Si je devais tout recommencer, je referais pareil, sans changer une virgule. Et ce que je te souhaite Thomas, c’est de te retourner sur ton passé et de pouvoir dire la même chose. Ton avenir est entre tes mains maintenant. Je sais que tu vas t’employer à faire le bien, comme tu l’as toujours fait.

Prends soin des autres pour moi, et prends soin de toi. Tu mérites d’être heureux.

Merci d’avoir été mon ami.

Salut mon pote.

Newt

#299 8.94 (255 votes)

- N’aie pas peur, nous sommes fait l’un pour l’autre.
- À jamais.

#300 8.93 (65 votes)

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