Top - Citations de films des années 2010

- Pourquoi avons-nous besoin d’un gagnant ?
- Que voulez-vous dire ?
- Je veux dire, pourquoi avons-nous besoin d’un gagnant ? Si nous voulions juste intimider les districts, nous pourrions mettre les 24 tribus en rangs d’oignons et les exécuter, ce serait plus rapide !
- …
- L’espoir !
- L’espoir ?
- L’espoir, car c’est la seule chose plus puissante que la peur.

Elle a dit qu’elle trouvait ça trop dur. Attends, c’est moi qui vais devenir aveugle et c’est elle qui trouve ça trop dur ?

Ce type là n’a aucun respect pour les pelouses.

- Euh murray, une toute petite requête.
- Ouais.
- Quand vous m’appellerez sur le plateau vous pourriez me présenter sous le nom de « Joker » ?

Wha­te­ver you do will be in­si­gni­fi­cant, but it is very im­por­tant that you do it.

Edward. Ma vie et la sienne étaient deux brins d’un même fil. Si l’on en coupait un, l’autre s’effilochait. Lui disparu, je n’aurais pas survécu. La réciproque étaient vraie. Or, un monde sans Edward perdait son sens. Son existence était indispensable.

À 5 ans, on nous a demandé ce qu’on voulait faire plus tard. Nous avons répondu des choses comme « Astronaute » ; « Président »… À 10 ans, on nous a reposé la question. Nous avons répondu « Rock Star » ; « CowBoy »… Maintenant que nous y sommes, ils veulent des réponses sérieuses. Et bien, ma réponse c’est « J’en sais », On a du temps avant de prendre les grandes décisions. On a du temps, on peut faire des erreurs, se tromper de direction et se retrouver coincé. Tomber amoureux, souvent. Faire une thèse de philo, alors qu’on sait qu’on pourra pas en faire sa carrière. Changer d’avis, et en changer encore parce que rien n’est permanent. Alors faites toutes les erreurs possible, comme ça quand on nous demandera ce qu’on veut être, on n’aura pas à improviser. On saura.

Aujourd’hui encore, je ne peux m’empêcher de faire le lien entre ce garçon, Peeta Mellark, le pain qui m’a redonné espoir, et le pissenlit qui m’a rappelé que je n’étais pas condamnée.

Tu appelles ça un baiser.

- Qui es-tu ?
- Absolème ?
- Non, je suis Absolème. La question est qui es-tu toi ?

- Je n’en reviens pas. Comment un être aussi chétif peut-il être aussi agaçant ?
- Le talent, mon cher, le talent.

Il faut que tu gagnes, Katniss.

Papuche ! Papuche ! Yayooo !!

Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir continuer sans avoir un ami. J’avais l’habitude de tenir très facilement sans, mais c’était avant de savoir ce que c’était d’avoir un ami.

- Tu vois cet homme, là-bas ? Il est mal et il nous faut un plan pour le sortir d’ici.
- Ok, ok, je crois que j’ai un plan. Vous avez vu Alien trois ?

- Pour quel maître travaillez-vous ?
- Pour quel maître je travaille ? Qu’est-ce que je dois répondre à ça ? Jésus ?

- Comment compter vous me battre ?
- Comme le dit l’ancêtre [Il désigne Captain America] : « ensemble ».

Il m’embrassa avec tendresse et adoration ; j’oubliai la foule, les lieux, l’heure, la raison… me rappelant juste qu’il m’aimait, qu’il me voulait, que j’étais sienne.

Tu veux voir ce que je t’ai apporté ? C’est un geai moqueur, tant que tu le gardes sur toi, rien de mal ne pourra t’arriver, je te le promets !

Un jour sans réponse, on croit à une stratégie. Deux jours sans réponse, on se vexe. Trois jours sans réponse, on tombe amoureux.