Top - Citations de films des années 2010

- L’objet est ici, caché dans le château. Si vous devez demander, jamais vous ne saurez. Si vous savez, il suffit de demander.
- Merci !

- C’est mon frère.
- Il a tué 80 personnes en deux jours.
- Il a été adopté…

Je crains que vous placiez mal votre confiance, c’est souvent ce qu’on fait avec la confiance.

- Je n’ai pas faim grand-papa.
- Qu’est ce qu’il y a, tu es malade ?
- Malade d’amour.

- Je te retrouve à l’autel.
- Je serai la fille en blanc.
- Tu es très convaincante.

- Demain c’est mon anniversaire !
- Non impossible, je m’en souviens, c’était l’année dernière !

Not my daughter you bitch!

Pour l’instant tu es trop petit pour comprendre alors je m’adresse à toi à travers ce film. J’ai construit ça pour toi et un jour tu comprendras que ça représente beaucoup plus que quelques innovations, ça représente l’œuvre de ma vie, ceci est la clef de l’avenir du monde. Je suis limité par les technologies de mon temps mais un jour tu trouveras les réponses et saches que ce jour là tu changeras le monde. Ce qui est et demeurera à jamais ma plus belle création… c’est toi.

Il semble que, malgré toutes vos belles stratégies défensives, il y ait un problème de sécurité, monsieur le directeur. Et je crains qu’il ne soit de taille. Comment osez-vous vous tenir où il se tenait ? DÎTES-LEUR COMMENT ÇA S’EST PASSÉ, CE SOIR-LÀ, COMMENT VOUS L’AVEZ REGARDÉ DANS LES YEUX, CET HOMME QUI VOUS FAISAIT CONFIANCE ET L’AVEZ TUÉ ! DÎTES-LEUR !

Parfois, il faut savoir quitter les gens que tu aimes. Mais ça ne veut pas dire que vous ne devez plus vous aimer… Parfois, il faudra être sûr que tu l’aimes plus que tu ne le penses.

N’attends pas qu’il soit trop tard, vis ! D’accord ? Vis, je ne t’en demande pas plus.

- T’as quoi comme souvenir de ton père ?
- Mon père… Un truc qu’il faisait : il faisait un barbecue le dimanche quand on sortait de l’église. Pour les voisins, tout le monde… Fallait que t’ailles à l’église sinon pas de barbec’ ! Tous les jours il bossait au garage et à peine fini tous les soirs ; il était assis à la table de cuisine avec Mia, à l’aider à faire ses devoirs. Et une fois qu’elle était partie se coucher, il restait encore taffer plusieurs heures sur ses leçons du lendemain, pour pouvoir l’aider… Je me souviens de tous mes moments avec lui… de tous…
- T’as de la chance : j’ai aucun souvenir du mien moi tu vois… Je le revois pas m’engueuler, je le revois pas me sourire… Pour tout te dire je vois même plus quelle tête il avait… Je me rappelle de rien… sauf qu’il était jamais là…
- Tu seras pas comme lui, Brian.

- Ce sont des wargs de Gundabad.
- Ce sont des lapins de Roscovele, qu’ils essaient dont, pour voir !!

Tu es un parfait crétin Ronald Weasley ! Tu débarques ici après des semaines ? Et tu dis salut !

La cruauté du destin a voulu que je voyage avec des gens que je hais alors que j’ai laissé ceux que j’aime morts derrière moi.

- Tu te rappelles la fois où on a dû rentrer de la plage planqués dans un camion frigorifique ?
- C’était pas le jour où t’avais dépensé l’argent des billets de trains pour t’acheter des hot dogs ?
- C’est toi qui avait dépensé trois dollars pour gagner une peluche pour une rouquine.
- Comment elle s’appelait ?
- Dolores. Tu l’appelais Dodo.
- Elle doit avoir cent ans, aujourd’hui.
- Comme nous, Bucky.

L’éternité sans toi ne m’intéresse pas.

Tu ne vas pas mourir. Je te l’interdis. D’accord ?

J’ai choisi de rester avec lui pour tout ce qu’il avait fait de bien et j’ai décidé de ne pas la quitter parce qu’il avait fait une erreur. J’ai choisi de pardonner.

- Elle m’a sauvé la vie.
- On s’est sauvé l’un l’autre.