Kaakook

Top - Citations de films des années 2010

- J’ai eu un accident de moto il y a 3 ans, rien de grave mais j’ai perdu toute sensibilité à la cuisse droite.
- Ça veut dire que si je vous plante une fourchette dans la cuisse vous sentez rien ?
- Euh… Non… [Elle lui plant une fourchette dans la cuisse] Aaaah la connasse… Elle s’est trompé de cuisse !!

#481
8.67 (50 votes)

- Tu veux qu’on fasse ça ?
- Qu’on fasse quoi ?
- Qu’on se voit que pour le sexe à toute heure du jour et de la nuit et rien d’autre.
- Oui ça me va.
- Cool, ça va être fun.
- Tu sais bien que ça marchera jamais !
- Pourquoi ?
- Parce que c’est clair tu vas tomber amoureuse de moi.
- Ah tu crois ça ? Beh dans ce cas on le fera jusqu’à ce que l’un de nous ressente quelque chose de plus important et là on dira stop.
- Se sera pas moi.
- Se sera pas moi.
- Je te souhaite bonne chance.

#482
8.67 (50 votes)

- Je refuse d’être seulement un pion dans leur espèce de jeux.
- Tu veux dire que tu ne tueras pas ?
- Non, c’est pas ça, je tuerais s’il le faut, je ferrai comme tout le monde c’est évident mais, je veux juste pouvoir leur montrer, d’une façon ou d’une autre, que je ne leur appartiens pas… et, et si je dois mourir, je veux rester celui que je suis.

#483 8.67 (35 votes)

- Hello, Bruce.
- Last time we saw you, you were trying to kill everyone. What are you up to these days?
- It varies from moment to moment.

#484 8.67 (35 votes)

Tony Stark : Ok, j’ai un plan. Enfin… le début d’un plan. On le fait venir ici, on le capture, on prend ce qu’on souhaite. On ne fait pas ça pour l’inviter à danser, on veut juste son gauntlet. [Il se tourne vers Drax] T’ES EN TRAIN DE BAILLER ? AU MOMENT MÊME OÙ J’EXPOSE MON PLAN, HEIN ? T’AS ENTENDU CE QUE J’AI DIT ?
Peter Quill : J’ai arrêté d’écouter quand t’as dit qu’il nous fallait un plan.
Tony Stark : Ok, monsieur « net » est vraiment déjanté !
Drax : Suivre un plan d’action n’est pas vraiment leur truc.
Peter Parker : Mais dans ce cas-là, c’est quoi, leur truc ?
Mantis : Nous, c’est « ça passe ou ça casse ».
Peter Quill : Oui, c’est ça.

#485 8.67 (88 votes)

Ho ! J’veux la même ! C’est absolument génial, comme engin !

#486
8.66 (57 votes)

À Poudlard une aide sera toujours apportée à ceux qui en ont besoin.

#487 8.66 (57 votes)

Tu as repris ta taille normale, et c’est une bonne taille, c’est une taille idéale, c’est la taille parfaite, c’est la taille d’Alice, c’est la taille qu’il faut.

#488
8.65 (145 votes)

Mon cher Frodon, tu m’as demandé un jour si je t’avais tout raconté à propos de mes aventure, bien que je puisse affirmer que je t’ai dit la vérité, je ne t’ai peut être pas tout dit. Je suis vieux maintenant Frodon, je ne suis plus le hobbit que j’étais. Je pense qu’il est temps que tu saches ce qu’il s’est réellement passé. Tout commença, il y a fort longtemps, dans une lointaine contrée à l’est. Une contrée comme on en trouve pas dans le monde d’aujourd’hui.
Là, était la ville de Dale, ses marchés connus à des lieux à la ronde, regorgeant des produits de la ville et de la vallée, paisible et prospère. Car cette ville était située aux portes du plus grand royaume de la terre du milieu, Erebor, place forte de Thror, roi sous la montagne, le plus puissant des seigneurs nains. Thror régnait avec la plus grande confiance et il ne doutait pas de l’avenir de sa maison car sa lignée était assurée dans la personne de son fils et celle de son petit fils. Ah Frodon, Erebor, la splendeur de cette ville fortifié, bâtie au sein même de la montagne était légendaire. Sa richesse provenait de la terre, de pierres précieuses, de roc et d’immenses filons d’or qui couraient telles des rivières à travers la roche. L’habileté des nains était sans égale, ils façonnaient des objets d’une grande beauté, incrustés de diamants, d’émeraudes, de rubis et de saphirs. Ils creusaient toujours plus profond, loin dans l’obscurité et c’est là qu’ils le trouvèrent, le cœur de la montagne : l’Arkenstone. Thror l’appela le joyau du roi, il y vit un signe, le signe qu’il était roi de droit divin. Tous devraient lui rendre hommage, même le grand roi des elfes : Thranduil. Mais les années de paix et d’abondance ne devaient pas durer, peu à peu les jours devinrent lugubres et les nuits de veilles s’installèrent. L’amour de l’or était devenu chez Thror une passion dévorante. Une maladie avait commencé à s’emparer de lui, une maladie de l’esprit. Et quand la maladie vous ronge, le malheur n’est pas loin. Ils entendirent tout d’abord un bruit semblable à celui d’un ouragan qui venait du nord. Et les pins de la montagne qui grinçaient et craquaient sous l’assaut du vent roulant.
« - Balin, sonne l’alarme. Appelle tout de suite la garde !
- Qui a t il ?
- Un dragon, UN DRAGON ! »
C’était un cracheur de feu venu du nord, Smaug était venu. Ce jour vit des morts aussi cruelles qu’inutiles car cette ville des hommes n’était rien pour Smaug. Il visait un tout autre but, les dragons convoitent l’or avec une avidité féroce. Erebor était perdue car un dragon veille sur son butin aussi longtemps qu’il vit.
« Sauve qui peut, aidez nous, je vous en prie !! »
Thranduil ne mettrait pas la vie des siens en péril face à la colère du dragon, aucune aide ne vint des elfes ce jours là, ni aucun autre jour depuis. Dépouillés de leur royaume, les nains d’Erebor furent réduis à l’errance dans les terres désolés. Peuple jadis puissant et désormais abattu. Le jeune prince nain accepta les besognes qui se présentaient et travailla dur dans les villages des hommes. Mais il se rappela toujours la montagne qui fumait sous la lune, les arbres qui flambaient, torches de lumières, car il avait vu le feu du dragon dans le ciel et une ville réduite en cendres. Jamais il ne pardonna et jamais il n’oublia.

#489 8.65 (86 votes)

- You’ll stay with me?
- Until the very end.

#490 8.65 (79 votes)

Il la regardait comme toute jeune femme aimerait être regardée.

#491
8.65 (64 votes)

Tu ne l’as pas vue venir, celle-là !

#492 8.65 (42 votes)

Je… suis… Iron Man.

#493 8.65 (116 votes)

Si on ne peut pas protéger la Terre… je peux vous assurer qu’on la vengera.

#494 8.65 (27 votes)

- C’est subjectif la comédie, Murray. Hein, c’est pas ce qu’on dit ? Alors que vous tous, ce système qui sait tellement de choses, vous décrétez ce qui est bien ou mal. De la même façon que vous décrétez ce qui est comique ou non.
- D’accord… Alors je crois… je crois comprendre que vous tentez de lancer un mouvement et d’en devenir le symbole.
- Honnêtement, Murray. J’ai une tête de clown capable de lancer un mouvement ? J’ai tué ces gars parce qu’ils étaient immondes. Tout le monde est immonde à l’heure actuelle. Y’a de quoi rendre fou la terre entière.
- D’accord, alors c’est ça, vous êtes fou ? C’est ça votre défense pour le meurtre de ces trois jeunes hommes ?
- Non. C’est que même sous la menace d’une arme, ils continuaient de chanter faux. [Le public hue] Oh, pourquoi tout le monde se lamente autant pour ces gars là ? SI C’ÉTAIT MOI QUI AGONISAIT SUR LE TROTTOIR, VOUS M’AURIEZ SIMPLEMENT MARCHÉ DESSUS. JE PASSE DEVANT VOUS CHAQUE JOUR, VOUS ME REMARQUEZ PAS. MAIS CES GARS LÀ, ENFIN PARCE QUE THOMAS WAYNE EST ALLÉ PLEURER SUR LEURS SORTS…
- Vous êtes remonté contre Thomas Wayne aussi ?
- Oh que oui. T’es allé voir un peu comment c’est dans le vrai monde, Murray ? Ça t’arrive des fois de sortir des studios ? Tout le monde hurle au lieu de discuter. Tout le monde engueule tout le monde. Y’a plus AUCUNE BONNES MANIÈRES. Y’a plus personne qui se demande ce que c’est que d’être le gars d’à côté. Tu crois que les types comme Thomas Wayne ça leur arrive de se demander ce que c’est que d’être dans ma peau ? D’être autre chose que ce qu’ils sont ? Absolument pas. Tout ce qu’ils disent c’est qu’on va rester à notre place et encaisser comme DES BONS PETITS GARS, ET QU’ON VA PAS DEVENIR FOUS FURIEUX COMME DES LOUPS-GAROUS !
- Vous avez fini ? C’est facile de s’apitoyer sur son sort, Arthur. On dirait que vous vous cherchez des excuses pour avoir tué ces trois jeunes. Et il est faux de dire, croyez-moi, que tout le monde est immonde.
- Tu es immonde, Murray.
- Moi ? Je suis immonde ? Ah. Et en quoi je suis immonde ?
- Passer mon sketch, m’inviter dans ton talk-show, dans le simple but qu’on se moque de moi. Tu es exactement comme tous les autres.
- Tu ne sais strictement rien de moi, mon gars. Regarde ce qu’il se passe à cause de ce que tu as fait. Les conséquences, c’est l’émeute dehors. Y’a deux policiers dans un état critique, et toi tu ris. Tu ris. Y’a eu un mort aujourd’hui à cause de ce que tu as fait.
- Ouais, je sais ! Tu veux une autre blague, Murray ?
- Non. Tes blagues on les a assez entendues.
- Tu obtiens quoi si tu croises un aliéné mental ET SOLITAIRE AVEC UNE SOCIÉTÉ QUI L’ABANDONNE DANS SON COIN, LE TRAITE COMME DE LA MERDE ? JE VAIS TE DIRE, MOI, CE QUE T’OBTIENS. T’OBTIENS CE QUE TU MÉRITES, ENCULÉ ! [Le Joker tire sur Murray]

#495
8.65 (94 votes)

Vous êtes en retard pour le thé !

#496
8.64 (189 votes)

N’ai pas peur de rêver plus gros !

#497
8.64 (78 votes)

Vous me donnez une heure et un lieu. Je vous donne un créneau de cinq minutes, pendant ces cinq minutes, je vous lâche pas, il peut arriver n’importe quoi, je suis là. J’interviens pas pendant le braquage, je porte pas d’arme… Je conduis.

#498
8.64 (49 votes)

Qui êtes-vous, vous qui êtes armés aux portes de Thorïn, fils de Thraïn, fils de Thror, Rois sous la Montagne, et que voulez-vous ?

#499 8.64 (56 votes)

Un pain perdu, dix de retrouvés.

#500 8.64 (34 votes)

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