Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2003

- T’as qu’un mot à dire et je prends à gauche.
- À gauche ? Pour aller où?
- Au Washington Bridge, on fille vers l’Ouest, on te fait soigner quelque part et on reprend la route, on cherche une petite ville. On fait une étape à Chicago pour voir un match, t’as toujours dit que tu voulais voir le stade de Willing Field.
- Arrête !
- J’dis ça… si c’est ce que tu veux j’suis prêt à le faire !
- Non ils prendront ton bar.
- Bon Dieu… mon bar ! Qu’il le prenne le bar, tu crois que mon bar compte plus pour moi que toi, mon fils unique ? T’as qu’un mot à dire et on fille.
- Ils me retrouveront… ils me rattraperaient tôt ou tard…
- Tu sais comment ils reprennent les gens ? Ils les reprennent quand ils reviennent chez eux. La plupart des fugitifs finissent par rentrer, c’est ça la grosse erreur ! Tu te sauves et tu ne reviens jamais. Tu ne reviens plus. Nous roulerons, sans nous arrêter, jusqu’à ce qu’on se retrouve au milieu de nul part, jusqu’au bout de la route, t’es jamais allé à l’ouest de Philadelphie ? C’est une région magnifique ! C’est très beau, c’est un autre monde ! Les montagnes, les collines, les vaches, les fermes et les églises toutes blanches. On s’est fait une virée une fois avec ta mère, avant ta naissance. De Brooklyn au Pacifique en trois jours ! On avait juste assez d’argent pour l’essence, les sandwiches et les cafés mais on y est arrivé. Homme, femme, enfants, tout le monde devrait voir le désert une fois avant de mourir ! Rien à des kilomètres à la ronde, rien que le sable, les pierres, les cactus et le ciel bleu ! Personne en vue, pas de sirènes, pas d’alarmes de voiture, personne ne klaxonne, pas de fous furieux qui hurle et qui pisse dans la rue, tu trouves le silence tu trouve la paix… Tu peux trouver Dieu. Alors on va vers l’Ouest, on roule jusqu’à ce qu’on trouve une jolie petite ville. Ces villes dans le désert tu sais pourquoi elle on poussé là ? Parce que des gens avaient prix la tangente ! Le désert, c’est fait pour tout recommencer. On trouvera un bar et on boira des coups, ça fait deux ans que je n’ai pas bu d’alcool mais je boirais avec toi un dernier whisky, avec mon fils ! On prendra notre temps, on savourera le gout de l’ange tranquillement et puis je m’en irai. Je te dirai de ne surtout pas m’écrire, de jamais venir me voir, je te dirai que je crois au Royaume de Dieu et qu’je suis sur que nous serons de nouveau réunis avec ta mère mais pas dans cette vie. Tu trouveras du travail, un salaire en liquide, un patron qui ne posera pas de questions, tu repartiras de zéro et tu ne reviendras jamais. Monty, les gens comme toi c’est un cadeau ! Où que tu ailles tu te feras toujours des amis. Tu travailleras dur. Tu garderas la tête baissée et les lèvres serrées, tu referas ta vie là-bas. Tu es New-yorkais ! Ça ne changera jamais ! Tu as New York dans le sang, tu finiras tes jours dans l’ouest mais tu resteras un New-yorkais. Tes amis te manqueront, ton chien te manquera mais tu es fort, tu as l’énergie de ta mère. Tu es fort comme elle ! Tu trouveras les gens qu’il faut et tu te feras faire des papiers… Un permis de conduire. Tu oublieras ton ancienne vie, tu ne pourras pas revenir, tu ne pourras ni appeler, ni écrire tu ne te retourneras pas, tu t’inventeras une nouvelle vie et tu la vivras tu m’entends ? Tu vivras ta vie comme tu aurais dû la vivre et peut-être que, à ça c’est dangereux, et peut-être que dans quelques années, tu enverras un mot à Naturel. Tu fonderas une famille, tu élèveras bien tes enfants, tu m’entends ? Offre leur une bonne vie Monty ! Tout ce dont ils ont besoin ! Si tu as un fils peut-être que tu l’appelleras James, c’est un bon nom ! Et peut-être qu’un jour, dans de nombreuses années, quand je serai parti rejoindre ta mère, tu réuniras les tiens et tu leur diras la vérité ! Tu leur diras qui tu es et d’où tu viens ! Tu leur raconteras toute l’histoire et tu leur demanderas s’ils savent à quel point ils ont de la chance d’être là et tu leur diras qu’ils ont bien failli ne jamais voir le jour, tout cela a bien failli ne jamais exister.

#241
8.22 (35 votes)

Il est glorieux de mourir au combat.

#242
8.21 (46 votes)

Il n’y a rien de plus beau qu’un ego meurtri sur le visage d’un ange.

#243 8.21 (46 votes)

- On manque vraiment de moyen dans la police.
- C’est vrai qu’un vélo pour deux ça fait juste !

#244 8.18 (34 votes)

Une femme, c’est pas seulement un truc qui sourit et qu’a la peau douce.

#245 8.18 (34 votes)

Il ne craint rien.
Il n’a peur de rien.
Il ne comprend rien.

#246
8.18 (23 votes)

Eh pose caca, tu le veux sur place ou a emporter ?

#247 8.18 (45 votes)

Parce-que parfois l’homme n’était pas du tout un homme, c’était le petit garçon… Le petit garçon qui avait échappé au loup, un animal du crépuscule, invisible, silencieux vivant dans un monde inconnu des autres. Un monde de luciole que l’on entrevoit comme d’un éclair du coin de l’œil mais qui a déjà disparu le temps qu’on se retourne. Le petit garçon retournera à sa forêt pour retrouver ses lucioles…

#248
8.15 (17 votes)

Si un soir de pluie vous êtes abordé dans une cabine téléphonique par un homme qui porte un parapluie violet… Je vous recommande vivement d’aimer la télévision.

#249
8.14 (33 votes)

Si vous me croyez votre ennemi, commandez moi et je serais heureux de m’ôter la vie.

#250
8.14 (33 votes)

Corrige moi si je me trompe mais j’ai l’impression que ta copine drague ma copine.

#251
8.11 (27 votes)

- Je suis toujours un obsédé.
- Et je suis toujours une nympho.

#252 8.11 (43 votes)

Sac a puce, espèce de bâtard galeux !

#253 8.1 (185 votes)

- T’as déjà fait l’amour à un mec ?
- Nan.
- T’as envie ?
- Nan, m’sieur.

#254 8.1 (48 votes)

- J’entends une petite voix « Wouah Wouah Wouah » dans ma tête.
- C’est ta matière grise qui se fait la malle.

#255
8.08 (42 votes)

- Ma BAB ! Ma BAB !
- Mère bonne à baiser.

#256 8.07 (47 votes)

Dans l’eau un grain de sable et un rocher coulent de la même façon.

#257
8.06 (52 votes)

Pour que le mal triomphe seule suffit l’inactivité des hommes de bien.

#258
8.06 (21 votes)

Elles ont morflé les Spice Girls…

#259
8.06 (21 votes)

Il y a un temps où un homme doit se battre et un temps où il doit accepter que son destin lui échappe. Que le bateau a levé l’encre et que seul un idiot insisterait. La vérité c’est que j’ai toujours été un idiot.

#260
8.06 (222 votes)

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