Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2003

L’amour est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut et souvent, ça fait pas mal de dégâts…

#81
9.15 (306 votes)

Dix minutes chez Elton John et le voilà Pédé comme un vieux phoque.

#82
9.15 (119 votes)

Je suis Colin, le dieu du sexe. J’me suis trompé de continent c’est tout.

#83
9.15 (107 votes)

Inconnu : Et voici Nathalie. Nouvelle comme vous !
Le premier ministre : Enchanté Nathalie.
Nathalie : Ravie David. Euh monsieur le ministre. Merde comment j’ai pu dire ça. Et en plus j’ai dit merde. Deux fois de suite. Oh monsieur toutes mes excuses.
Le premier ministre : C’est pas grave voyons. Vous auriez dit putain là nous aurions été dans la merde.
Nathalie : Ça c’est vrai ! J’avais le pressentiment que le premier jour j’allais merder comme une conne. Oh la la… Oh putain.

#84
9.15 (96 votes)

Tu donnes et tu reprends… Si tu la veux vraiment, prouve le moi !

#85
9.14 (772 votes)

Si vous cherchez bien, j’ai la désagréable impression que vous constaterez qu’en définitive, nous sommes cernés par l’amour.

#86
9.14 (118 votes)

Crac ! C’est comme ça qu’on prend de mauvaises habitudes. J’vous parle pas de casser des tasses, ça c’est plutôt sympa. Sophie et moi avions bien dormi dix ans ans cette nuit la. Et au matin, les choses sérieuses ont commencé. Eh oui, au matin les choses sérieuses ont commencé.

#87
9.14 (372 votes)

Je ne vous dirais pas de ne pas pleurer car toutes les larmes ne sont pas un mal.

#88 9.13 (255 votes)

Nous séparer, ils ont jamais été cap d’y arriver.

#89
9.13 (1051 votes)

Moi aussi j’te nique, je vous emmerde tous autant que vous êtes !
J’emmerde cette ville et tous ces habitants.
J’emmerde les zonards qui font la manche aux feux rouges et qui s’foutent de ma gueule dès que j’ai le dos tourné.
J’emmerde ce mec avec son chiffon qui prend un malin plaisir à saloper mon pare brise ; trouve un boulot connard !
J’emmerde les Sikhs et les Pakistanais qui conduisent à fond la caisse des taxis en ruines et qui empestent le curry par tous les pores de leur peau, tous des terroristes en puissances ; roulez moins vite putain !
J’emmerde les p’tits mecs de Chelsea avec leurs pectoraux épilés à la cire et leurs biceps gonflés aux hormones, qui se taillent des pipes dans les allées de mes parcs ou sur mes quais et que je retrouve la nuit la queue à l’air dans ma télé.
J’emmerde les épiciers Coréens avec leurs pyramides de fruits au prix du caviar, leurs tulipes et leurs roses emballées dans du plastique ; 10 ans qu’ils sont là et « toujours pas bien comprendre ».
J’emmerde les Russes de Brighton Beach, ces mafieux qui passent leur temps aux terrasses des cafés à siroter du thé dans des petits verres, en suçant des morceaux de sucres ; Toujours à chercher des combines pour leurs petits trafics ; mais rentrez dans votre putain de pays !
J’emmerde les hassidim avec leur petite calotte noire qui déambulent en permanence sur la 47e rue, dans leur costard de merde, les épaules couvertes de pellicules et qui vendent des diamants sud-africains du temps de l’apartheid.
J’emmerde les brokers de Wallstreet auto-proclamés « maîtres de l’univers », tous ces Michael Douglas alias Gordon Geko à la mords-moi-le-nœud, qui inventent chaque jour de nouveaux moyen d’exploiter les pauvres et mieux piller la planète, tous ces enculés de chez Enron méritent d’aller en tôle jusqu’à la fin de leurs jours et d’y crever ! Et Bush et Cheney, ils n’étaient pas au courant peut-être ? Ils nous prennent vraiment pour des cons !
J’emmerde les Portoricains entassés à 20 dans leur bagnole, qui cumulent les allocs et qui nous gonflent chaque année avec leur carnaval à la con. Et alors surtout ne me branchez pas sur les Dominicains parce qu’en comparaison les Portoricains c’est des dieux.
J’emmerde les Italiens de Bensonhurst avec leurs cheveux pleins de gomina, leurs survêtements de merde en synthétique, et leur médaille de St-Antoine, qui ne peuvent pas aligner 3 mots sans brandir leur batte de baseball dédicacée et qui rêvent tous de jouer un petit rôle dans les Sopranos.
J’emmerde les vieilles friquées du Upper East Side avec leur foulard Hermès et leurs artichauts de chez Balducci à 50 dollars pièce, qui passent leur temps à se faire tirer la peau à coup de lifting, stretching et autres conneries de ce genre. C’est de l’argent foutu en l’air, tu bluffes personne chérie.
J’emmerde les blacks de Harlem, ils passent jamais un ballon, ils veulent pas jouer défensif, ils font systématiquement 5 pas avant de tirer et quand ils loupent le panier, ils se retournent en hurlants que tous ça c’est la faute des blancs ; l’esclavage a été aboli il y a exactement 137 ans, alors mettez vos putains de montres à l’heure nom de Dieu !
J’emmerde ces pourris de flics qui enculent leurs suspects avec leur matraque ou qui leur plantent 41 balles dans le corps, bien protégés derrière le mur bleu du silence. Vous trahissez notre confiance.
J’emmerde les prêtres qui tripotent les gosses innocents avant d’aller dire la messe. J’emmerde l’église qui les protège, elle qui prétend nous délivrer du mal, et pendant qu’on y est j’emmerde Jésus qui s’en est pas si mal tiré, un jour sur la croix, un week-end en enfer et la gloire éternelle avec les anges qui lui chantent de beau cantiques. Mais vas y toi passer 7 ans à la prison d’Otisville Jésus !
Et j’emmerde Oussama Ben Laden, Al Qaïda, ces hommes des cavernes et tous les connards intégristes où qu’ils se trouvent. Au nom des milliers d’innocents massacrés, je prie pour que vous cramiez en enfer pour l’éternité dans une carlingue d’avion en flammes, vous et vos 72 putes. Avec vos torchons sur la tête vous êtes tout juste digne de baiser mon royal cul d’Irlandais.
J’emmerde Jakob Elinsky geignard frustré, j’emmerde Francis Xavier Slaughtery, mon meilleur ami, qui me juge en matant le cul de ma femme. J’emmerde Naturelle Riviera, je lui avais donné ma confiance et elle m’a poignardé dans le dos. Je vais passer 7 ans en cabane à cause de cette salope. J’emmerde mon père, veuf inconsolable qui passe sa vie derrière son bar à siroter de l’eau gazeuse et à vendre du whisky aux pompiers en acclamant les New York Yankees.
J’emmerde cette ville et tout ces habitants. Des pavillons d’Astoria aux terrasses de Park Avenue, des logements sociaux du Bronx aux lofts de Soho, des meublés d’Alphabet City aux immeubles en pierres de tailles de Park Slope aux duplex de Staten Island, qu’un tremblement de terre les rase, que des incendies les réduisent en cendres et que le niveau des eaux monte jusqu’à engloutir toute cette ville et tous les rats qui s’y terrent.

Non, non je t’emmerde toi, Mongomery Brogan. Tu avais toutes les cartes en mains et tu t’es démerdé pour tout foutre en l’air.

#90
9.13 (643 votes)

I love French wine, like I the French language. I have sampled every language, French is my favorite. Fantastic language. Especially to curse with. Nom de dieu de putain de bordel de merde de saloperie de connard d’enculé de ta mère. It’s like wiping your arse with silk. I love it.

#91 9.12 (115 votes)

Allons nous gaver d’amour jusqu’à en crever.

#92
9.12 (399 votes)

C’que je veux dire c’est que la famille c’est inévitable, c’est comme les impôts ou la mort.

#93
9.12 (47 votes)

Vanessa : T’as pas fait le maillot ?!
Chouchou : Non, j’ai pas fait le maillot !
Vanessa et Chouchou : Vous êtes le maillot faible !!

#94
9.12 (58 votes)

Je ne peux le porter pour vous, mais je peux vous porter vous !

#95 9.11 (237 votes)

Garde 1 : Il dit la vérité !
Garde 2 : S’il disait la vérité jamais il nous l’aurais dit !
Jack : Sauf s’il savait que vous refuseriez de le croire même s’il avouait tout.

#96 9.11 (237 votes)

Elle est enceinte de 2 barres…

#97 9.1 (57 votes)

Une femme,
deux enfants,
trois potes,
quatre crédits,
cinq semaines de vacance,
six ans dans la même boite,
sept fois mon poids en matériel hifi,
huit coïts conjugaux par trimestre,
neuf fois le tour de la terre en emballages plastiques couvert de polystyrène et autre packaging alimentaire non biodégradable,
et dix ans sans voir mon père.
Le bonheur, la panoplie du parfait tyran dont j’avais rêvé toute mon enfance.

#98
9.1 (537 votes)

- Il parait qu’il y a un mec sur la soixantième, il a regardé la vidéo la semaine dernière et ce matin il s’est réveillé mort.
- Comment tu te réveilles si t’es mort ?
- Parce que t’es encore en vie quand tu vas au pieu.
- Tu veux me dire qu’on peut aller au pieu mort et se réveiller vivant ?
- Tu peux pas aller au pieu mort puisque tu y va vivant, sa me semble super logique.
- Pas du tout, tu peux aller au pieu, sans être mort, et tu peut être mort sans être au pieu.
- Mais t’es dans un pieu, man, et c’est pour ça que tu te réveille mort si t’es mort.
- … Mais bien trop puissant ton raisonnement !

#99 9.09 (56 votes)

Bonjour, je m’appelle Quentin. Je suis de Montargis.

#100
9.08 (109 votes)

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