Kaakook

Tag - frissonnante

Les citations qui donnent des frissons.

À ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur, certains rentrent chez eux, certains racontent des mensonges pour s’en sortir, d’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes, six milliards d’âmes, et parfois, il ne vous en faut qu’une seule…

9.33 (3752 votes)

You can tell Jesus that the bitch is back.

9.33 (782 votes)

- Rafe, fais-moi plaisir.
- Quoi ?
- N’inverse pas les lettres sur ma pierre tombale.
- Tu vas pas mourir, tu m’entend ? Regarde moi Danny, tu peux pas mourir, t’as pas le droit, tu sais pourquoi ? Tu vas être papa, Danny. Tu vas avoir un enfant, il fallait pas que je te le dise.
- Nan, c’est toi.

9.32 (448 votes)

Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises.

9.32 (655 votes)

Dis moi qu’tu m’aimes, rien qu’une fois.

9.32 (1450 votes)

T’es cap toi de faire pleurer une fille le jour de son mariage, de rire quand t’es malheureux, de te taire pendant dix ans ? Dis moi, t’es cap’ ?

9.31 (1866 votes)

Je rêve d’être éternellement à tes cotés.

9.31 (1106 votes)

Micro : Qu’est-ce que veulent les filles ?
Brooke : J’ai ma petite théorie là-dessus. Je pense que l’idéal, c’est d’avoir un homme qui te fasse rire, un homme en qui tu as confiance et un qui sois très, très sexy, et après, le plus important, c’est de tout faire pour que ces trois hommes ne se retrouvent jamais face à face.
[Plus tard…]
Brooke : Tu m’as demandé ce que les filles voulaient tout à l’heure. Elles veulent seulement quelqu’un qui veux bien d’elles, enfin c’est ce que moi je veux.

9.31 (1078 votes)

3 words, 8 letters and I’m yours.


Ne laisse personne t’empêcher de croire en toi, même pas moi… Si tu as un rêve, tu dois le protéger. Tu verras que les gens incapables d’y arriver feront tout pour te décourager. Si tu veux vraiment quelque chose, t’as qu’à te battre, point-barre.

9.3 (895 votes)

Si je n’avais qu’une heure d’amour, si c’est tout ce qui m’était donné, une heure d’amour sur cette terre c’est à toi que je la consacrerai.

9.3 (233 votes)

Je t’ai aimée la première fois que je t’ai vue. Je crois que j’avais 12 ans. Ça m’a pris trois ans pour trouver le courage de te parler… Et j’avais tellement peur de ce que je ressentais, tu sais, aimer une fille, j’ai appris à devenir une petasse sarcastique, juste pour que ça me semble normal. J’ai baisé avec des mecs pour que ça s’en aille, mais ça n’a pas marché. Quand on s’est mises ensemble, tout ça a disparu, parce que… Tu étais la seule personne qui pouvait ruiner ma vie. Je t’ai repoussée, et je t’ai fait croire que les choses étaient de ta faute, mais en fait j’avais juste peur de souffrir. J’ai couché avec cette Sophia pour te faire souffrir… Pour reprendre pied… Et je suis une vraie lâche parce que… J’ai… Ça… Ces tickets pour qu’on aille à Goa depuis trois mois… Mais je… Je pouvais pas… Je ne voulais pas être esclave de ce que je ressens pour toi. Tu comprends ? Tu essayais de me punir en retour, et c’était horrible… Vraiment horrible, parce que, vraiment… Je mourrais pour toi. Je t’aime ! Je t’aime tellement, ça me tue.

9.3 (1043 votes)

Bouche toi les oreilles. Bouche toi les oreilles fort fort fort, encore plus fort ! Tu entends comme je t’aime ?

9.29 (3689 votes)

Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.

9.28 (591 votes)

J’ai menti, ce n’est pas vrai, notre histoire n’est pas encore terminée. Je ne veux pas, je ne veux pas et c’est humiliant parce que je suis là à supplier. Ton choix est très simple. C’est elle ou moi. Et je suis sûre qu’elle est vraiment super. Mais Derek, je t’aime vraiment. Tu sais, vraiment, vraiment au point de prétendre adorer ton genre de musique, te laisser manger la dernière part de gâteau, tenir une radio à côté de mes oreilles en chantant sous tes fenêtres… Malheureusement ce qui fait que je te déteste fait que je t’aime aussi. Alors prends-moi. Choisis-moi. Aime moi…

9.28 (2926 votes)

Alice, tu as disparu comme tout le reste. Maintenant à qui d’autre parler, je suis perdue. Quand tu es partie… et qu’il est parti, vous avez tout emporté avec vous. Et son absence remplit mon horizon. Comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine. D’une certaine façon je suis heureuse, ma souffrance est la seule preuve de sa réalité, de votre réalité.

9.28 (535 votes)

Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue… Attends deux secondes, j’ai pas fini… Dis-moi qu’tu m’aimes… Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu…

9.27 (5572 votes)

Pourquoi je travaillerai pas pour la NSA ? Ça c’est une colle ! Je vais essayer d’y répondre.
Disons que je travaille à la NSA et qu’on dépose un code sur mon bureau, un code réputé inviolable, mettons que je tente ma chance, mettons que j’le déchiffre, là j’suis très content de moi parce que j’ai bien fait mon boulot, mais c’était peut-être le code de l’emplacement d’une armée rebelle en moyen orient ou en Afrique du nord, et une fois qu’on a repéré le lieu, on bombarde le village où les rebelles se cachent, et quinze cents personnes que j’ai jamais vu, qui ne m’ont jamais rien fait, sont tuées.
Et les politiciens, ils disent : « envoyez les marines assurer la sécurité », parce qu’ils en ont rein à foutre, c’est pas leurs gosses qu’ils envoient se faire descendre, comme eux ils sont jamais allés au feu, parce qu’ils étaient tous planqués dans la garde nationale ; c’est un pauvre môme de Boston sud qui se prend un shrapnel dans les fesses, et il revient pour apprendre que l’usine où il travaillait s’est exportée dans le pays d’où il vient d’arriver et le mec qui lui a filé le shrapnel dans le cul c’est lui qui a son job, parce qu’il bosse pour 15 cents par jour sans pose pipi ; et maintenant il comprend que la seule raison qu’il y avait de l’envoyer là-bas, c’était de mettre en place un gouvernement qui nous vendrait le pétrole pour pas cher, et bien sûr les compagnies pétrolières exploitent le conflit qu’il y a eu pour faire monter les prix, et se faire du même coup un beau p’tit bénef, mais ça aide pas mon pote qui travaille pour des clous.
Il se traîne un max à livrer le pétrole bien sûr, peut-être même qu’ils vont employer un alcoolique comme capitaine, un buveur de martini, qui s’amuse à faire du slalom entre les icebergs, jusqu’au jour où il en frappe un. Le pétrole se déverse et ça tue toute vie dans l’Atlantique nord.
Alors là, mon pote est chômeur, il peut pas se payer de voiture et c’est à pied qu’il se cherche des jobs, ce qui est pas marrant parce que le shrapnel qu’il a eu dans le cul, lui a filé des hémorroïdes, et puis en plus il crève de faim parce qu’à la soupe populaire on lui propose comme plat du jour, de la morue de l’Atlantique nord avec de l’huile de moteur.
Alors qu’est-ce que j’en pense ? J’vais attendre une offre meilleure. J’me dis, putain je ferai peut-être aussi bien de descendre mon pote, prendre son job, le filer à son pire ennemi, faire monter les prix, bombarder, tuer des bébés phoques, fumer de l’herbe, m’engager dans la garde nationale. Et puis j’serai peut-être élu Président ?

9.27 (209 votes)

Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser le rôle du méchant.


- Je sais ce que c’est que d’être laissé pour compte, que de se sentir insignifiant et quasiment transparent pour l’autre. C’est une douleur nouvelle qui nous transperce alors qu’on croyait les avoir toutes connues. Accompagner des amis en soirée, changer de coiffure, faire du sport, on essaye tout… et quand on va se coucher ça nous rattrape. S’il est indifférent c’est que j’ai dû commettre une faute, on revoit ce qu’il a fait, ce qu’il a dit, on revit tout les yeux ouverts dans le noir, peut-être est-ce un malentendu ? Et on relativise les faits, les preuves qui montrent à l’évidence que l’autre ne nous aime pas, il arrive même qu’on veuille se convaincre que rien n’est fini et qu’il reviendra frapper à notre porte un soir. Ça peut durer longtemps comme ça, et enfin un jour on finit par partir, on rencontre des gens nouveaux, ils nous mettent un peu de baume au cœur en nous trouvant de l’intérêt, on commence à se reconstruire, à voir les choses autrement et si on souffre encore au souvenir des moments difficiles, de ces années de vie qu’on a… qu’on a gâchées on se dit qu’ils pourraient s’effacer.
- Bfff ! Bah la vache, t’en a plus besoin que moi !

9.26 (194 votes)

Haut de page