Kaakook

Tag - long monologue

Les longs monologues, les longues tirades dans des films ou séries.

Si vous lisez ceci, alors cet avertissement est pour vous. Chaque mot que vous lisez de ce texte inutile est une autre seconde perdue dans votre vie. N’avez-vous rien d’autre à faire ? Votre vie est-elle si vide que, honnêtement, vous ne puissiez penser à une meilleure manière de passer ces moments ? Ou êtes-vous si impressionné par l’autorité que vous donnez votre respect et vouez votre foi à tous ceux qui s’en réclament ? Lisez-vous tout ce que vous êtes supposés lire ? Pensez-vous tout ce que vous êtes supposés penser ? Achetez-vous ce que l’on vous dit d’acheter ? Sortez de votre appartement. Allez à la rencontre du sexe opposé. Arrêtez le shopping excessif et la masturbation. Quittez votre travail. Commencez à vous battre. Prouvez que vous êtes en vie. Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique. Vous êtes prévenu…

8.95 (1061 votes)

J’habite au 11ème étage de la tour American Gardens, sur la 81ème rue ouest. Je m’appelle Patrick Bateman et j’ai 27 ans. Je prends grand soin de moi, en mangeant léger, et en faisant de l’exercice chaque jour. Au réveil si je suis légèrement bouffi, je m’applique des sachets de glace sur mon visage pendant mes abdos du matin. Je peux en faire 1000. Après avoir ôté le sachet de glace, j’applique une lotion désincrustante. Puis, sous la douche, j’utilise tout d’abord un gel moussant, puis un gommage corps au miel et aux amandes et un gommage pour le visage. Ensuite j’applique un masque à la menthe sauvage que je laisse pénétrer 10mn. Pendant ce temps là, je prépare la suite des hostilités. J’utilise toujours un after-shave sans alcool ou avec très peu d’alcool parce que ça irrite et dessèche la peau, alors vous vieillissez plus vite. Une crème reconstituante, suivie d’une crème contour des yeux, et pour finir, une crème protectrice hydratante. Il existe une image de Patrick Bateman, une sorte d’abstraction, mais je n’existe pas vraiment, ce n’est qu’une entité, quelque chose d’illusoire. Et bien que je puisse cacher mon regard froid, que vous puissiez me serrer la main et sentir ma chaire s’agripper à la votre, vous pourriez vous dire que nos vies sont comparables, mais je ne suis tout simplement… pas là !

8.72 (84 votes)

Et oui j’ai connu ton père… et toi aussi, je te connais bien mon garçon. Tu sais, ton père m’a beaucoup parlé de toi au camp, pendant ces 5 ans ou on est restés côte à côte prisonniers à Hanoï, et on a vécu l’enfer tous les deux. Toi au moins… tout ça devrait t’être épargné… enfin on peut l’espérer. Dans une situation comme celle qu’on a dû vivre pendant 5 ans lui et moi… on se crée certaines responsabilités l’un envers l’autre. Si ce n’était pas moi qui… [il se retourne vers la mère de Butch] qui m’en était tiré, c’est le Major Coolidge qui parlerait à mon fils maintenant, à Jim. Mais le destin en a décidé autrement, c’est moi qui te parle aujourd’hui… à toi, Butch. J’ai quelque chose pour toi… [il s’assoit et sort une montre] une montre en or. Tu vois, cette montre appartenait à ton arrière grand-père qui l’avait acheté avant la guerre de 14, dans un magasin à quelques pas de chez lui à Knoxville dans le Tennessee. Pour lui, cette montre-bracelet représentait un pas en avant historique, à l’époque tout le monde portait les montres Gousset, des oignons. Peu après, sa montre au poignet, le caporal Coolidge quitta son Tenessee natal pour les tranchées. Sur tous les fronts de France, de Verdun jusqu’à la forêt noire, cette montre en or fût son plus fidèle compagnon. À la fin de la guerre, il rentra chez lui retrouver ton arrière grand-mère. Il ouvrit son coffre, il déposa sa montre et elle y resta quelques années. Jusqu’au jour ou la deuxième guerre mondiale éclata, qu’il fallut encore une fois ce battre contre les Allemands, et que ton grand-père Dane Coolidge fut mobilisé envoyé au front à son tour. Et ton arrière grand-père offrit la montre à son fils Dane sur un quai de gare, ce fut son dernier cadeau. Dane eut moins de chance que son père, comme tant de Marines, il fut tué. Il tomba héroïquement à la bataille de Wake Island. Tous ces hommes prévoyaient leur destin… lui aussi. Il n’avait plus aucune illusion, personne n’avait la moindre chance d’en sortir vivant, alors ton pauvre grand-père, sachant que l’assaut final allait être donné, alla trouver à l’aéroport un nommé O’Flaherty. Et bien qu’il ne l’eut jamais vu de sa vie, il lui dit « j’ai un fils, c’est un nouveau né. Et je n’ai vu ce fils qu’en photo. Je voudrais… si tu as la chance de rentrer un jour en Amérique que cette montre-bracelet soir remise à mon gosse ». Trois jours plus tard, ton grand-père fut tué. O’Flaherty qui lui avait donné sa parole porta la montre à ta grand-mère, pour qu’elle la donne à ton père quand il serait grand, la voici… [il la montre à Butch pendant un petit temps] Coolidge, l’avait sur lui le jour ou il s’est fait descendre, en volant, sur Hanoï. Ton père fut capturé et envoyé dans un camp de prisonniers. Si les Niaks voyaient sa montre, elle lui serait confisqué ! Il le savait ! Et pour lui, il était clair que cette montre… te revenait de droit, et pour rien au monde il ne voulait que les Niaks mettent leur pattes sur ton héritage, le patrimoine de son fils, alors il décida de la cacher. Comme il n’y avait pas d’autre cachette, il se l’est mise dans l’cul. Fallait avoir du courage pour le faire… se la mettre dans l’cul. Un jour, juste avant que la dysenterie le tue, il me donna la montre, j’ai alors caché ce vieux bout de métal dans mon anus deux années durant. Et… après 7 ans d’absence, je pu retrouver ma famille. Et aujourd’hui… cette montre, je suis venu te la donner.

9.2 (153 votes)

Tu sais… tu sais ce que j’ai remarqué ? Personne ne panique quand tout se déroule selon le plan. Et ceci même si le plan est affreux. Si demain soir je dis à la presse que, un brigand va se faire descendre ou qu’un fourgon chargé de soldat va exploser… personne ne panique. Parce que tout ça, ça fait parti du plan. Mais si je dis qu’un, malheureux petit maire va mourir. Alors là… tout le monde s’affole ! On entrouvre la porte à l’anarchie, on bouscule l’ordre établi et très vite le chaos le plus total règne. Et moi j’annonce le chaos… et tu sais ce qu’il a pour lui le chaos ? … Il est impartial !

9.33 (290 votes)

À ce moment précis, il y a 6 470 818 671 personnes dans le monde. Certains prennent peur, certains rentrent chez eux, certains racontent des mensonges pour s’en sortir, d’autres font simplement face à la vérité. Certains sont des êtres maléfiques en guerre avec le bien et certains sont bons et luttent contre le mal. Six milliards de personnes, six milliards d’âmes, et parfois, il ne vous en faut qu’une seule…

9.33 (3752 votes)

T’aime ma robe ? J’ai hésité. J’l’ai chipé à ma sœur, y’en avait une autre : rouge, genre bombe thermonucléaire, tu vois ? Je sais que c’est celle là que j’aurai dû mettre mais j’ai peut-être passé, j’sais pas moi… Trois heures devant mon miroir. Mais j’y suis arrivée tu vois. J’suis jolie. Et alors là j’espère que ça te plait sinon j’te colle un de ces raclées. Attend… J’en étais où… Le problème c’est que même si tu m’disais j’adore j’te croirais pas. Julien je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue. Attend. J’ai pas fini. Dis moi qu’tu m’aimes, dis moi juste que tu m’aimes parce que moi j’oserais jamais te le dire la première, j’aurais trop peur que tu crois que c’est un jeu. Sauve-moi. J’t’en prie.

9.3 (1770 votes)

On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le véritable rêve, c’est d’être encore capable de rêver.

9.29 (2649 votes)

J’ai menti, ce n’est pas vrai, notre histoire n’est pas encore terminée. Je ne veux pas, je ne veux pas et c’est humiliant parce que je suis là à supplier. Ton choix est très simple. C’est elle ou moi. Et je suis sûre qu’elle est vraiment super. Mais Derek, je t’aime vraiment. Tu sais, vraiment, vraiment au point de prétendre adorer ton genre de musique, te laisser manger la dernière part de gâteau, tenir une radio à côté de mes oreilles en chantant sous tes fenêtres… Malheureusement ce qui fait que je te déteste fait que je t’aime aussi. Alors prends-moi. Choisis-moi. Aime moi…

9.28 (2926 votes)

Le problème, c’est que même si tu m’disais « je t’adore » j’te croirais pas ! Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J’suis perdue… Attends deux secondes, j’ai pas fini… Dis-moi qu’tu m’aimes… Dis-moi juste que tu m’aimes. Parce que moi j’oserai jamais te l’dire la première, j’aurais trop peur que tu crois qu’c’est un jeu…

9.27 (5572 votes)

Pourquoi je travaillerai pas pour la NSA ? Ça c’est une colle ! Je vais essayer d’y répondre.
Disons que je travaille à la NSA et qu’on dépose un code sur mon bureau, un code réputé inviolable, mettons que je tente ma chance, mettons que j’le déchiffre, là j’suis très content de moi parce que j’ai bien fait mon boulot, mais c’était peut-être le code de l’emplacement d’une armée rebelle en moyen orient ou en Afrique du nord, et une fois qu’on a repéré le lieu, on bombarde le village où les rebelles se cachent, et quinze cents personnes que j’ai jamais vu, qui ne m’ont jamais rien fait, sont tuées.
Et les politiciens, ils disent : « envoyez les marines assurer la sécurité », parce qu’ils en ont rein à foutre, c’est pas leurs gosses qu’ils envoient se faire descendre, comme eux ils sont jamais allés au feu, parce qu’ils étaient tous planqués dans la garde nationale ; c’est un pauvre môme de Boston sud qui se prend un shrapnel dans les fesses, et il revient pour apprendre que l’usine où il travaillait s’est exportée dans le pays d’où il vient d’arriver et le mec qui lui a filé le shrapnel dans le cul c’est lui qui a son job, parce qu’il bosse pour 15 cents par jour sans pose pipi ; et maintenant il comprend que la seule raison qu’il y avait de l’envoyer là-bas, c’était de mettre en place un gouvernement qui nous vendrait le pétrole pour pas cher, et bien sûr les compagnies pétrolières exploitent le conflit qu’il y a eu pour faire monter les prix, et se faire du même coup un beau p’tit bénef, mais ça aide pas mon pote qui travaille pour des clous.
Il se traîne un max à livrer le pétrole bien sûr, peut-être même qu’ils vont employer un alcoolique comme capitaine, un buveur de martini, qui s’amuse à faire du slalom entre les icebergs, jusqu’au jour où il en frappe un. Le pétrole se déverse et ça tue toute vie dans l’Atlantique nord.
Alors là, mon pote est chômeur, il peut pas se payer de voiture et c’est à pied qu’il se cherche des jobs, ce qui est pas marrant parce que le shrapnel qu’il a eu dans le cul, lui a filé des hémorroïdes, et puis en plus il crève de faim parce qu’à la soupe populaire on lui propose comme plat du jour, de la morue de l’Atlantique nord avec de l’huile de moteur.
Alors qu’est-ce que j’en pense ? J’vais attendre une offre meilleure. J’me dis, putain je ferai peut-être aussi bien de descendre mon pote, prendre son job, le filer à son pire ennemi, faire monter les prix, bombarder, tuer des bébés phoques, fumer de l’herbe, m’engager dans la garde nationale. Et puis j’serai peut-être élu Président ?

9.27 (209 votes)

D’abord, ta tête va enfler comme une pastèque, tu vas grossir de 50 kilos environ en deux heures. Puis, il va te pousser des griffes, des pustules sanguinolentes. Et ensuite tu vas remarquer que tu as six énormes seins poilus qui te poussent dans le dos. Tu vas perdre la vue, ton corps va se transformer en cire, il va falloir te mettre dans une brouette, et tu vas hurler à l’aide, ton cri sera celui d’un raton-laveur. Putain je suis prêt à tout essayer dans la vie mais jamais je toucherai à une épiphyse.

9.16 (252 votes)

Mon contact à Washington dit qu’on n’a pas affaire à un élève mais qu’on a affaire au professeur. Quand l’armée monte une opération qui doit pas échouer, c’est à lui qu’ils font appel pour entraîner les troupes, d’accord ? C’est le genre de type qui boirait un bidon d’essence pour pouvoir pisser sur ton feu de camp. Ce mec là, tu le largues au pôle nord, sur la banquise avec un slip de bain pour tout vêtement, sans une brosse à dent et demain après-midi tu le vois débarquer au bord de ta piscine avec un sourire jusqu’aux oreilles et les poches bourrées de pesos. Ce type là est un professionnel. S’il atteint la plateforme, on sautera tous, et il restera plus qu’un grand trou au beau milieu de l’Alaska. Alors on va trouver ce type, le descendre et on sera débarrassé de ce fumier.


Vous n’êtes pas votre travail, vous n’êtes pas votre compte en banque, vous n’êtes pas votre voiture, vous n’êtes pas votre portefeuille, ni votre putain de treillis, vous êtes la merde de ce monde prête à servir à tout.

9.12 (1001 votes)

Vous n’êtes pas exceptionnels, vous n’êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique pourrissante que tout le reste, nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout, nous appartenons tous au même tas d’humus en décomposition.

9.12 (961 votes)

Il arrive un jour, un jour où t’es debout quelque part, ou tu te rends compte que tu ne veux être personne de ton entourage. Tu veux pas être ce putain de looser à qui t’a démonté la tête, ni ton père, ni ton frère, personne de ta putain de famille. Tu refuses aussi d’être Madame la juge, tu ne veux même pas être toi-même, tout ce que tu veux c’est partir en courant et sortir à fond la caisse de l’endroit où tu te trouves.
Et soudain ça arrive, quelque chose se déclenche et à ce moment-là tu sais que les choses vont changer, elles ont déjà changé. Et à partir de là plus rien ne sera jamais pareil.
Et tout à coup tu te rends compte que tout est fini, pour de bon. Il n’y a pas de marche arrière, tu le sens. Et puis après tu essaies de te rappeler à quel moment tout a commencé et tu découvres que c’est plus vieux que ce que tu pensais, bien plus vieux. Et c’est là, seulement à ce moment-là que tu réalises que les choses n’arrivent qu’une fois. Et quelques soient tes efforts, tu ne ressentiras plus jamais la même chose, tu n’auras jamais plus la sensation d’être à trois mètres au-dessus du ciel.

8.96 (539 votes)

Voilà! In view, a humble vaudevillian veteran… Cast vicariously as both victim and villain by the vicissitudes of fate. This visage no mere veneer of vanity is a vestige of the vox populi now vacant, vanished. However, this valorous visitation of a by go vexetation stands vivified and has vowed to vanquish these venal and virulent vermin vanguarding vice and vouchsafing the violently vicious and voracious violations of volition. The only verdict is vengeance, a vendetta… Held as a votive not in vain, for the value and veracity of such… Shall one day vindicate the vigilant and the virtuous. Verily this vichyssoise of verbiage veers most verbose. So let me simply add that it’s my very good honor to meet you… And you may call me V.


Tu as été communiste ? Hein, la vie de rêve, on te dit quoi il faut penser, ou quoi écrire, quoi faire, être le mouton tu aimes ? Avec le troupeau des bêtes beeeeeeeeeh beeeeeeeeh cogno cogno. Tu bosses 8-10 heures en te crevant le cul, tu gagnes rien, rien il est à toi. Tu veux qu’on te mettes un tchévato dans ta maison il surveille, il espionne tout ce que tu fais, tout ce que tu dis tout. Tu sais que je bouffe du poulpe trois fois par jour et ces putains de poulpes me sortent par les oreilles maintenant, j’ai des putains de godasses russes que mes pieds ils passent au travers. Qu’est tu dis de ça. Toi tu aimes mieux que je restes dans le lit à rien foutre hein ne me prend pas pour un voyou mec, je suis pas une pute qui vole. Je suis Monsieur Montana Tony prisonnier politique renvoyé par Cuba. J’exige mon putain d’asile politique maintenant. C’est le président Jimmy Carter qui le dit, OK ?

8.72 (247 votes)

J’ai jamais rien fait pour quelqu’un qui… Qui pouvait pas me renvoyer la balle. Je traine un gamin zélé derrière moi en lui promettant que je vais le payer ; et je ne l’garde avec moi que parce qu’il m’admire, Adam si tu me regardes, laisse tomber la presse tu vaux largement mieux.
Je… Je mens à la face des gens et au téléphone et je mens à mes amis aussi. Je raconte des bobards à des magazines et eux ils s’empressent de les refourguer au monde.
Je fais partie d’une industrie du mensonge nom de dieu… Je devrais être président.
Et pourquoi je mets de la marque, parce que en dessous je me sens chevillé au Bronx… J’ai besoin de ses vêtements, de cette montre… Ma montre a 2000 dollars… Elle est bidon tout comme moi… Et j’ai négligé les choses qui auraient dus être mes valeurs… Mes valeurs ben c’est ça : j’enlève mon alliance pour appeler Pam, Kelly voilà Pam.
C’est pas sa faute, je lui ai jamais dit que j’étais marié… Si je lui avais dit elle… Elle m’aurait dit adieu… Kelly je te regarde et… J’ai honte de moi… Je suis… Enfin je… J’y mets tellement de soin à cette image de Stue Shepard connard en chef qui parle de lui à la troisième personne, c’est la preuve que je mérite d’être seul. Je suis déguisé en ce que je ne suis pas depuis si longtemps, j’ai tellement peur que tu n’aimes pas ce qu’il y a en-dessous… Mais je suis là et… C’est ma chair, mon sang, ma faiblesse… Et je t’aime tellement. Et j’enlève mon alliance parce qu’elle me rappelle a quel point je t’ai fait défaut et… Je veux pas te laissais tomber, je veux sauver ce que je peux mais ça m’appartient peut-être plus… Tu mérites mieux…

8.68 (58 votes)

On peut tromper mille fois mille personnes, non, on peut tromper une fois mille personnes, mais on ne peut pas tromper mille fois mille personnes. Non, on peut tromper une fois mille personne mais on peut pas tromper mille fois une personne. Non…

8.64 (210 votes)

Je ne peux pas vous promettre de vous ramenez tous en vie dans vos foyers. Mais je fais le serment devant vous et devant le Tout-puissant que lorsque nous irons nous battre je serai le premier à poser le pied sur le terrain et que je serai le dernier à partir et je n’abandonnerai personne sur le sol ennemi… mort ou vivant. Nous reviendrons tous ensemble chez nous. Je le jure devant Dieu.

8.09 (58 votes)

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