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Les citations poignantes.

La vie est faite de choix : Oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Certains choix comptent plus que d’autres : aimer ou haïr. Être un héros ou un lâche. Se battre ou se rendre. Vivre ou mourir. Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore… La vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement.

9.19 (1174 votes)

On passe notre vie entière à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir… Comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc. Mais l’avenir change constamment. L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile… l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé.

9.19 (1108 votes)

Fuyez, pauvres fous !

9.14 (407 votes)

Vous n’êtes pas exceptionnels, vous n’êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique pourrissante que tout le reste, nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout, nous appartenons tous au même tas d’humus en décomposition.

9.12 (961 votes)

Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n’est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons pas haïr ni humilier personne. Dans ce monde, chacun de nous a sa place et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie belle et libre mais nous l’avons oublié.

L’envie a empoisonné l’esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine, nous a fait sombrer dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour nous enfermer en nous-mêmes. Les machines qui nous apportent l’abondance nous laissent dans l’insatisfaction. Notre savoir nous a fait devenir cyniques. Nous sommes inhumains à force d’intelligence, nous ne ressentons pas assez et nous pensons beaucoup trop. Nous sommes trop mécanisés et nous manquons d’humanité. Nous sommes trop cultivés et nous manquons de tendresse et de gentillesse. Sans ces qualités humaines, la vie n’est plus que violence et tout est perdu.

Les avions, la radio nous ont rapprochés les uns des autres, ces inventions ne trouveront leur vrai sens que dans la bonté de l’être humain, que dans la fraternité, l’amitié et l’unité de tous les hommes. En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde, des millions d’hommes, de femmes, d’enfants désespérés, victimes d’un système qui torture les faibles et emprisonne des innocents.

Je dis à tous ceux qui m’entendent : Ne désespérez pas ! Le malheur qui est sur nous n’est que le produit éphémère de l’avidité, de l’amertume de ceux qui ont peur des progrès qu’accomplit l’Humanité. Mais la haine finira par disparaître et les dictateurs mourront et le pouvoir qu’ils avaient pris aux peuples va retourner aux peuples. Et tant que des hommes mourront, la liberté ne pourra pas périr.

Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes, à une minorité qui vous méprise et qui fait de vous des esclaves, enrégimente toute votre vie et qui vous dit tout ce qu’il faut faire et ce qu’il faut penser, qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canons et qui vous traite comme du bétail. Ne donnez pas votre vie à ces êtres inhumains, ces hommes machines avec une machine à la place de la tête et une machine dans le cœur. Vous n’êtes pas des machines. Vous n’êtes pas des esclaves. Vous êtes des hommes, des hommes avec tout l’amour du monde dans le cœur. Vous n’avez pas de haine, sinon pour ce qui est inhumain, ce qui n’est pas fait d’amour. Soldats ne vous battez pas pour l’esclavage mais pour la liberté.

Il est écrit dans l’Évangile selon Saint Luc « Le Royaume de Dieu est dans l’être humain », pas dans un seul humain ni dans un groupe d’humain, mais dans tous les humains, en vous, vous le peuple qui avez le pouvoir, le pouvoir de créer les machines, le pouvoir de créer le bonheur. Vous, le peuple, en avez le pouvoir, le pouvoir de rendre la vie belle et libre, le pouvoir de faire de cette vie une merveilleuse aventure.

Alors au nom même de la Démocratie, utilisons ce pouvoir. Il faut tous nous unir, il faut nous battre pour un monde nouveau, décent et humain qui donnera à chacun l’occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité.

Ces brutes vous ont promis toutes ces choses pour que vous leur donniez le pouvoir : ils mentaient. Ils n’ont pas tenu leurs merveilleuses promesses : jamais ils ne le feront. Les dictateurs s’affranchissent en prenant le pouvoir mais ils font un esclave du peuple.

Alors, il faut nous battre pour accomplir toutes leurs promesses. Il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, avec la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur.

Soldats, au nom de la Démocratie, unissons-nous tous !

8.75 (255 votes)

- C’est comme dans les grandes histoires, Monsieur Frodon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait danger et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaitre la fin, car elle ne pouvait pas être heureuse… Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qui s’y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre… Même les ténèbres ne font que passer… Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant… C’était ces histoires dont on se souvenait, et qui signifiaient tellement… Même lorsqu’on était trop petit pour comprendre… Mais je crois, Monsieur Frodon, que je comprends… je sais maintenant… Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner, mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route, parce qu’ils avaient foi en quelque chose…
- En quoi avons-nous foi, Sam ?
- Il y a du bon en ce monde… Il faut se battre pour cela.

9.43 (356 votes)

Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !!

9.4 (853 votes)

Je savais ce qui allait se passer, j’ai tout arrêté avant, et alors ? J’ai bien fait à mon avis parce que la vie est vraiment un truc dégueulasse. Et puis j’t’ai rencontré, et tout est devenu bizarre, et tu es devenue tellement importante, alors je voudrais avoir plus de temps avec toi. Alors finalement, j’dirais que t’es la pire des choses qui soit arrivée dans ma vie.

9.31 (266 votes)

Bouche toi les oreilles. Bouche toi les oreilles fort fort fort, encore plus fort ! Tu entends comme je t’aime ?

9.29 (3689 votes)

- Ne fais pas ça, ne fais pas celle qui m’dit adieu. Pas encore… est-ce que tu m’a compris. Écoute, tu va te sortir de là, tu vivras longtemps, et tu vas faire plein de bébés… et tu va les voir grandir, et tu mourras très vieille, une vieille dame, bien au chaud dans ton lit… Pas ici… pas cette nuit… pas comme ça, est-ce que tu m’as compris ? Gagner ce voyage est la meilleur chose qui me soit arrivé, il m’a mené à toi, et je lui suis reconnaissant pour ça. Tu dois me faire cet honneur, à présent promets moi, que tu vas survivre, que tu n’abandonneras jamais, jamais… même si ça a l’air sans espoir… promets le moi, maintenant… et ne romps jamais cette promesse.
- Je le promets.
- N’abandonne jamais.
- J’abandonnerais jamais.

9.28 (2882 votes)

Joyeux Hunger Games, et puisse le sort vous être favorable !

9.28 (585 votes)

Je suis un serviteur du Feu Secret, détenteur de la flamme d’Anor. Le feu sombre ne vous servira à rien, flamme d’Udûn. Repartez dans l’ombre ! Vous ne passerez pas !

9.27 (331 votes)

Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal.

9.26 (2251 votes)

On est jeunes, on est censés passer notre temps à boire. On est censé se conduire mal et on est censé baiser comme des malades. On est là pour, pour faire la fête, c’est ça être jeune. Y’en a quelques un qui vont faire une overdose, ou qui vont péter les plombs. Mais Charles Darwin a dit : « On ne fait pas une omelette sans casser quelques œufs ». C’est d’ça qu’il s’agit au bout du compte : Casser des œufs. Et casser des œufs ça veut dire se déchirer la tronche avec un cocktail de dur.
Si vous pouviez seulement vous voir en ce moment, ça me fend le cœur. Vous portez des cardigans ! On était les rois du monde. On a foutu notre merde plus fort et bien mieux que toutes les générations qui nous ont précédé. Nous étions beaux, tellement beaux ! On est des paumés. Je suis un paumé. Et j’ai l’intention de rester un paumé jusqu’à 29 ou 30 ans et peut-être même au-delà si j’ai envie. Je préfère baiser ma propre mère plutôt que de laisser cette fille ou qui que ce soit me priver de ma liberté.


D’abord, ils ont enfermé les drogués. Puis, ils ont enfermé les prostituées. Ensuite, ils ont chassé les pauvres clodos et tabassé à mort tous les homos. Ils ont renvoyé les immigrés chez eux, nous ont abreuvé de mensonges pour qu’on ferme les yeux. On a pas osé élever la voix, on est resté terré dans notre trou. Et il n’y avait plus personne pour réagir, quand ils s’en sont pris a nous…

9.2 (664 votes)

La mort est paisible, simple. C’est beaucoup plus difficile de vivre.

9.19 (1134 votes)

La haine est une saloperie, la vie est trop courte pour passer son temps à avoir la haine, ça n’en vaut pas la peine…

9.19 (571 votes)

C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.

9.17 (2399 votes)

Parce qu’il est le héros que Gotham mérite. Pas celui dont on a besoin aujourd’hui… Alors nous le pourchasserons. Parce qu’il peut l’endurer. Parce que ce n’est pas un héros. C’est un Gardien silencieux… qui veille et protège sans cesse. C’est le Chevalier Noir.

9.05 (201 votes)

- Des chefs de guerre, y en a de toutes sortes : des bons, des mauvais. Des pleines cagettes, il y en a. Mais une fois de temps en temps, il en sort un exceptionnel. Un héro, une légende… Des chefs comme ça, il y en a presque jamais. Mais tu sais ce qu’ils ont tous en commun, tu sais ce que s’est leur pouvoir secret ?
- Non.
- Ils ne se battent que pour la dignité des faibles.

9.02 (72 votes)

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