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Tag - poignante

Les citations poignantes.

- Tu oublieras vite ! C’est du passé !
- Oui mais, c’est douloureux.
- Eh oui, le passé c’est douloureux, mais à mon sens, on peut soit le fuir soit… tout en apprendre !

9.13 (139 votes)

Je ne vous dirais pas de ne pas pleurer car toutes les larmes ne sont pas un mal.

9.12 (250 votes)

Souviens toi de cette nuit, c’est la promesse de l’infini. C’est une promesse qui vient récompenser le courage de ceux qui ont affrontés seuls tant d’années. C’est la preuve de la confiance entre deux êtres qui est le fondement même de l’amour. C’est un effort de volonté pour oublier et s’affranchir des peines du passé. C’est un serment qui lie deux âmes à l’exclusion de toute autre. C’est le symbole d’un risque assumé et la reconnaissance des défis à venir. Car à deux on est toujours plus fort, comme un équipage soudé pour surmonter les tempêtes du destin. L’amour sera toujours la raison d’être des humains et la force qui guide leur vie. Le plus important ce n’est pas cette cérémonie, elle ne sert qu’à montrer aux yeux du monde des sentiments déjà existants et des promesses déjà sellées au plus profond du cœur des mariés.

9.1 (556 votes)

Ris et tout le monde rira avec toi, pleure et tu seras le seul à pleurer.

9.09 (199 votes)

Je ne peux le porter pour vous, mais je peux vous porter vous !

9.09 (231 votes)

Les roses sont rouges et les violettes sont bleues, je t’emmerde, sale pute.

9.09 (430 votes)

Et on lui pèlera le jonc comme au bailli du Limousin !
Qu’on a fendu un beau matin.
Qu’on a pendu ! Avec ses tripes !

9.05 (369 votes)

Le Mordor Gandalf, c’est à gauche ou à droite ?

9.03 (352 votes)

J’ai couru… J’ai couru jusqu’à sentir tous mes muscles brûler, jusqu’à sentir dans mes veines de l’acide sulfurique à la place du sang. Puis, j’ai couru encore.

9.03 (259 votes)

C’est l’angoisse du temps qui passe qui nous fait tant parler du temps qu’il fait.

9.02 (286 votes)

J’ai toujours dit que je vivais 500 mètres par 500 mètres, et je crois que c’est pour ça qu’on était comme deux frères, parce que toi aussi. [] Peu importe où tu es, que ça soit à 500 mètres, ou à l’autre bout du monde… tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère.

9.02 (317 votes)

- Mais pourquoi tu me fuis tout le temps ?!
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Oui je veux vraiment le savoir !
- C’est parce que je ne réponds plus de moi quand je suis avec toi.

9 (210 votes)

- T’étais où là schizo-boy ?
- J’avais envie de détruire quelque chose de beau…

9 (300 votes)

Chaque minute qui passe est une occasion de changer le cours de sa vie !

8.99 (129 votes)

On ne lit pas et on n’écrit pas de la poésie parce que ça fait joli. Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de la race humaine ; et que cette même race foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l’industrie sont de nobles occupations, et nécessaires pour la survie de l’humanité. Mais la poésie, la beauté et la dépassement de soi, l’amour : c’est tout ce pour quoi nous vivons. Écoutez ce que dit Whitman : « Ô moi ! Ô vie !… Ces questions qui me hantent, ces cortèges sans fin d’incrédules, ces villes peuplées de fous. Quoi de bon parmi tout cela ? Ô moi ! Ô vie ! ». Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l’identité. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime… Quelle sera votre rime ?

8.98 (440 votes)

J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était ça la liberté.

8.96 (459 votes)

Prototype personnel de Dieu, mutant à l’énergie dense jamais conçu pour la production en série. Il était le dernier d’une espèce : trop bizarre pour vivre mais trop rare pour mourir…

8.95 (257 votes)

La peur mène à la colère, la colère mène à la haine… La haine mène à la souffrance !

8.92 (268 votes)

Ces ténèbres ont-elles un nom ? Cette cruauté, cette haine… d’où nous viennent-elles ? Ce sont-elles introduites dans nos vies à notre insu ou sommes-nous allés les chercher délibérément ? Qu’a-t-il bien pu nous arriver ? Pourquoi jetons-nous nos enfants dans le chaos du monde, comme de jeunes soldats dans l’enfer de la guerre ? Nous espérons qu’ils nous reviendront sains et saufs, mais nous savons très bien que certains seront sacrifiés en route. Depuis quand avons-nous perdu la voix ? Enveloppés par les ombres, engloutis vivants par les ténèbres. Ces ténèbres ont-elles un nom ? Et si ce nom, c’était le votre ?

8.92 (175 votes)

Je t’aime depuis toujours, depuis le début ; j’ai continué à t’aimer quand j’étais en couple, j’ai continué à t’aimer quand j’étais seule, j’ai continué à t’aimer chaque seconde de chaque jour, j’ai continué… Je t’aime, je t’aime, depuis toujours.

8.91 (457 votes)

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