Top - Citations de films et séries des années 2000

Des guerriers qui sont prêts à donner leur vie pour un mot qui semble oublié : l’honneur.

- Vous êtes si belle que ça en est douloureux !
- C’est votre nez qui saigne ?
- Non c’est mon cœur.

- J’suis bien d’accord avec la grosse là…
- C’est Nadine… son prénom

Si t’es l’dernier d’ton espèce tape dans tes mains [clap clap]

- J’ai eu un accident de petit déjeuner ce matin, en fait un Chocapic est entré dans mon nez et ma mère a du m’emmener aux urgences.
- [À Lola] Et vous, je suppose que c’est un Frosties ?

- Tu vas où comme ça ?
- J’allais au toilettes.
- Avec tes chaussures à la main ?
- Y’en a bien qui y vont avec un journal.

Il faudra quand même que je lui dise un jour à Charlotte, que ça doit être différent de faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime. C’est peut-être pas mieux, surtout quand on sait pas si c’est juste pour une nuit, mais ça fait tellement du bien d’aimer les gens qu’on aime, que ça finit par faire mal.
Je sais pas comment on survit a ça. Non franchement, je sais pas.

Ça ne compte quand même que pour un !

L’or pur durcit les cœurs les plus tendres.

L’amour ça se commande pas, c’est un truc qui te tombe dessus. Quand t’aimes quelqu’un, tu l’aimes c’est tout.

- C’est un bon hôpital ?
- J’aime bien les sièges.

- Ce quai est strictement interdit aux civils !
- J’en savais rien, je vous demande pardon. Si j’en vois un, je vous en informerai immédiatement.

- … Vous verrez il est un peu spécial…
- Il est carrément chiant oui !

T’es littéralement trop con pour qu’on t’insulte !

- De toute façon t’es qu’un pochetron, et tu l’as toujours été.
- Ouais, et toi t’es un faux frère. Mais ça c’est nouveau.

La souffrance peut occuper une telle place qu’on en oublie le bonheur. Parce qu’on ne se rappelle pas avoir été heureux. Et puis, un jour, on ressent quelque chose d’autre, ça nous fait bizarre, seulement parce qu’on n’a pas l’habitude, et à ce moment précis, on se rend compte qu’on est heureux.

- Je ne peux même pas imaginer la logique tordue qui vous a conduit à tirer sur un cadavre.
- Si j’avais tiré sur quelqu’un de vivant, il y aurait eu beaucoup plus de paperasse.

La solitude est un sentiment ressenti par tellement de gens, qu’il serait égoïste de le ressentir tout seul.

Il n’y a pas de mort digne ! Notre corps nous lâche parfois quand on a 90 ans parfois avant même qu’on vienne au monde mais ça arrive fatalement. Il n’y a jamais de dignité là dedans. Peu importe qu’on puisse marcher, voir ou se torcher les fesses tout seul c’est toujours une horreur, toujours. On peut vivre dans la dignité mais pas mourir.

- Tu as toujours pris la fuite face au combat.
- C’est faux !
- Ce n’est pas faux !
- C’est faux !
- C’est vrai !
- C’est faux !
- C’est vrai !
- C’est faux !
- C’est vrai, et tu le sais très bien.
- C’est faux et c’est pure calomnie. Je n’ai fais que respecter la plus ancienne et la plus noble de nos traditions. Ma proposition est très simple, voilà ce qu’il faut que nous fassions tous : nous devons nous battre pour prendre la fuite.