Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 2000

Dans le monde il n’y a pas d’un côté le bien et le mal, il y a une part de lumière et d’ombre en chacun de nous. Ce qui compte c’est celle que l’on choisit de montrer dans nos actes, ça c’est ce que l’on est vraiment.

#1 9.48 (1235 votes)

On m’appelle Le Doctor, ou le gardien, ou « dégagez de cette planète ! » quoique à proprement parler ce n’est peut-être pas vraiment un nom.

#2
9.46 (120 votes)

Ce n’est pas en devenant Hokage qu’on obtient la reconnaissance des autres, mais plutôt en obtenant la reconnaissance des autres qu’on devient Hokage.

#3
9.46 (693 votes)

Si tu ne décides pas de ton destin c’est ton destin qui décide pour toi.

#4 9.45 (355 votes)

- C’est comme dans les grandes histoires, Monsieur Frodon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait danger et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaitre la fin, car elle ne pouvait pas être heureuse… Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qui s’y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre… Même les ténèbres ne font que passer… Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant… C’était ces histoires dont on se souvenait, et qui signifiaient tellement… Même lorsqu’on était trop petit pour comprendre… Mais je crois, Monsieur Frodon, que je comprends… je sais maintenant… Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner, mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route, parce qu’ils avaient foi en quelque chose…
- En quoi avons-nous foi, Sam ?
- Il y a du bon en ce monde… Il faut se battre pour cela.

#5 9.45 (369 votes)

Il faut du courage pour affronter ses ennemis mais il en faut encore plus pour affronter ses amis…

#6 9.44 (1271 votes)

- Oh Ronald, c’est merveilleux ! Tout le monde a été préfet dans la famille !
- Et Fred et moi on est quoi, des voisins de palier ?!

#7 9.44 (420 votes)

- Qu’est ce que tu fais ?
- Une tarte aux noix de pécan et au miel.
- Je t’aide si tu veux.
- Ma tarte est finie mais je vais t’apprendre à faire la chantilly. Cela dit il y a tellement de choses que je devrais t’apprendre avant ça.
- Oui quoi ?
- Disons, comment devenir une femme toi aussi. C’est la leçon la plus importante que je peux te transmettre. Et quand la crème s’épaissit tu bats un peu plus vite.
- Je ne deviendrais pas une femme juste comme ça en grandissant ?
- Oh non Bree. Tu es un peu jeune pour comprendre certaines choses. Mais, tu es assez grande pour que je te parles du masque.
- Du masque ?
- C’est ainsi que ma mère l’appelait. C’est le visage que tu montres quand tu ne veux pas que les gens sachent ce que tu ressens. Toutes les femmes bien éduquées cache leurs émotions. C’est très utile. Particulièrement avec les hommes. Si un homme sait ce que tu penses ça lui donne du pouvoir sur toi. Par exemple si un homme sait à quel point tu l’aimes, il ne fera pas d’efforts, il te fera souffrir, égoïstement, cruellement, constamment.
- Est-ce que papa sait que tu l’aimes ?
- Oui, je lui ai dit que je ne pouvais pas vivre sans lui à maintes reprises.
- D’accord mais, si tu n’es pas contente alors, pourquoi tu lui as fait son gâteau préféré ?
- Parce qu’après toutes ces années j’ai oublié comment porter mon masque. Alors aujourd’hui vois-tu il faut que je détourne son attention. Avec cette tarte par exemple. Quand je vais la lui servir papa sera tellement heureux qu’il ne verra pas toute cette désolation dans mes yeux.
- Désolation ?
- C’est une émotion. Celle que tu peux ressentir quand ton ami t’appelle pour te dire que la voiture de ton époux était sur le parking d’un certain motel. À côté de celle de sa dévouée secrétaire. Mets ton masque Bree, entraîne toi. Oh non. Non c’est trop mon ange. Tu esquisses juste un léger sourire dans ces moments là. Parfais. Avec une telle expression il est clair que personne ne sera ce que tu penses au fond de toi.
- Et j’aurais le pouvoir sur les hommes ?
- Ah seigneur, espérons.

#8
9.43 (201 votes)

Vous ne passerez pas !


Pourquoi vous ne m’avez pas dit qu’elle mourait Anne Frank à la fin ? Si elle meurt je deviens quoi moi ?

#10
9.42 (93 votes)

- Mais qui a bien pu voter pour elle ?!
- Moi… à peu près 152 fois !

#11
9.42 (856 votes)

Ceux qui nous aiment ne nous quittent jamais vraiment. On peut toujours les retrouver… là. [Il montre le cœur d’Harry]

#12 9.42 (264 votes)

Personne n’a le droit de nous juger avant la fin, parce que l’homme est capable du meilleur comme du pire jusqu’au bout. Au fond ce n’est qu’au moment de disparaître que l’on peut enfin savoir qui on a été, la fin donne un sens à tout ce qui a précédé.

#13
9.42 (1522 votes)

Je n’exige pas ton pardon, mais sache que quoi qu’il advienne… je t’aimerai toujours !

#14
9.42 (333 votes)

On leur fait coucou les p’tits gars ! on leur fait coucou…

#15 9.41 (125 votes)

Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !!

#16
9.41 (864 votes)

- Qui êtes-vous ?
- Qui ? « Qui » n’est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu’est-ce-que », et ce que je suis c’est un homme sous un masque.
- Ça je vois…
- De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l’observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est.

#17
9.41 (900 votes)

À quoi ça sert d’être en vie si on a pas de raison de l’être.

#18 9.41 (395 votes)

Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur de ne pas avoir assez vécu.

#19
9.41 (1375 votes)

On me dit de me souvenir de l’idée et non de l’homme, parce que l’homme peut échouer, il peut être arrêté, il peut être exécuté et tomber dans l’oubli alors qu’après 400 ans, une idée peut encore changer le monde. Je connais d’expérience le pouvoir des idées. J’ai vu des hommes tués en leurs noms… et mourir en les défendant. Mais on ne peut embrasser une idée. On ne peut la toucher ou la serrer contre soi. Les idées ne saignent pas, elles ne ressentent pas la douleur… et elles ne peuvent aimer.

#20
9.41 (482 votes)

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