Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 2000

Tout ce que je sais… C’est que des fois, tu me manques tellement, que j’ai envie d’en crever tant ça fait mal…

#461
9.3 (460 votes)

- Qui il était ?
- Il était Edmond Dantès… Il était mon père, et ma mère, mon frère, mon ami… Il était vous, et moi. Il était chacun de nous.

#462
9.3 (348 votes)

Faut un décodeur pour avoir les couleurs ici ou quoi ?

#463
9.3 (662 votes)

Vous pouvez me tuer mon ami, mais ne m’insultez pas !

#464 9.3 (319 votes)

3 words, 8 letters and I’m yours.


- Hey Charlotte, c’est du p’tit bateau ou du Titanic ta culotte ?
- Arrête, c’ma mère elle achète que ça !

#466
9.3 (817 votes)

Si tu veux pas avoir l’air stupide : faut pas tomber amoureux !

#467
9.3 (248 votes)

Le Comte : La fin est proche. On se croyait éternels. Mais c’est la vie. On vous dit adieu, avec dignité et fierté. C’est le dernier compte à rebours pour le Comte. Trois, deux, un … Le reste est silence.
[On voit les officiels du gouvernement trinquer et rire en écoutant la radio]
Inconnu : À la Reine.
Inconnu : À son gouvernement.
Le Comte : Je déconnais, les gars, ça repart !!

#468
9.3 (189 votes)

- Si tu n’avais rien à te reprocher tu virerais Chase !
- J’adore ses cheveux !

#469
9.3 (246 votes)

Je rêve d’être éternellement à tes cotés.

#470 9.3 (1112 votes)

High five!

#471
9.3 (220 votes)

House n’est pas atteint d’Asperger. Le diagnostic est plus simple : c’est un con !

#472
9.3 (516 votes)

Tu veux savoir d’où viennent ces cicatrices ? Mon père était un ivrogne… et un sadique ! Et, un soir alors qu’il est plus toc toc que d’habitude ; maman chope le couteau de cuisine. Il n’apprécie pas, il n’apprécie pas du tout. Ensuite… moi regardant, il lui enfonce le couteau dans un immense éclat de rire. Et il se tourne vers moi et il dit « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il s’approche avec sa lame. « Pourquoi cet air si sérieux ? ». Il m’enfonce la lame dans la bouche ! « Il faut mettre un petit sourire sur ce visage ! ». Et… pourquoi cet air si sérieux ?

#473 9.3 (246 votes)

J’vois l’intérêt de caresser une joue, j’vois l’intérêt d’bouger les cailloux mais j’vois pas l’intérêt de tuer quelqu’un.

#474
9.3 (348 votes)

- Je vais te réciter un court poème : « Le ciel ».
- Oh c’est beau.
- Ouais mais je suis pas trop sûr du début.
- Si « le » c’est bien.

#475
9.3 (564 votes)

À mon avis, les tragédies ça fait partie de la vie, on va pas baisser les bras parce qu’on est malheureux. Je me suis rendu compte d’une chose, quand on vous brise le cœur, il faut se battre de toutes ses forces et s’accrocher à la vie, parce qu’elle continue quoiqu’il arrive et cette douleur qui vous déchire fait partie de la vie aussi tout comme la peur et le mal être. Toutes ces sensations qui sont là pour nous rappeler que les choses s’arrangeront, ça vaut le coup de continuer à se battre.

#476
9.3 (678 votes)

- C’est pour ça que tu n’es pas mariée. Une femme qui agit comme un homme ne peut pas se plaindre que les hommes ne la désirent pas.
- Ah ok, c’est pour ça ! Je croyais que c’était pour une autre raison. Que c’était parce que je méritais mieux et qu’il était là quelque part sauf qu’il fréquentait les mauvaises femmes. Et je vais être très honnête : après tout ces siècles que les hommes ont passé à me regarder les seins plutôt que me regarder dans les yeux et à me pincer les fesses au lieu de me serrer la main, je crois avoir mérité le droit de reluquer le beau derrière d’un gars de manière vulgaire et obscène chaque fois que j’en ai envie !

#477
9.3 (347 votes)

Alice, tu as disparu comme tout le reste. Maintenant à qui d’autre parler, je suis perdue. Quand tu es partie… et qu’il est parti, vous avez tout emporté avec vous. Et son absence remplit mon horizon. Comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine. D’une certaine façon je suis heureuse, ma souffrance est la seule preuve de sa réalité, de votre réalité.

#478 9.3 (545 votes)

Je suis le maitre de mon destin, le capitaine de mon âme.

#479
9.3 (1189 votes)

- Est ce que tu te souviens la première fois où on s’est rencontrés ?
- Pardon ?
- Eh bien, j’essayais de me rappeler de notre première rencontre. C’était probablement chez Luke non ?
- C’était chez Luke, à l’heure du déjeuner. C’était une journée vraiment speed. C’était plein à craquer et cette femme…
- Est ce que c’est moi ? Est ce que c’est moi ?
- Cette femme a débarqué au resto clairement en manque de caféine.
- Oh, c’est moi !
- J’étais avec un client, elle m’a interrompu avec des yeux terribles me suppliant de lui servir un café. Alors je lui ai dit d’attendre son tour et là elle a commencé à me suivre partout en débitant 1000 mots à la minute pour dire Dieu sait quoi. Je me suis finalement tourné vers elle et je lui ai dit qu’elle était plutôt pénible, qu’elle s’asseye, qu’elle la ferme et qu’elle attende son tour…
- Tu sais, je parie qu’elle l’a très bien pris car elle se sentait délicieusement bien !
- Elle m’a demandé ma date de naissance, j’ai refusé de lui dire. Elle n’arrêtait pas de parler, j’ai cédé, je lui ai dit ma date de naissance. Ensuite, elle s’est précipitée sur le journal et elle l’a ouvert à la page horoscope, elle a écrit un truc dessus et elle me l’a tendu.
- Allez, sérieusement c’est toi qui a écrit le menu avoue !
- Je jette un coup d’œil à ce papier et sous le signe du Scorpion, elle avait écrit « vous allez rencontrer une jeune femme pénible aujourd’hui. Donnez lui un café et elle s’en ira. » Je lui ai donné son café…
- Et elle n’est pas partie ?
- Elle m’a dit de garder cet horoscope, de le mettre dans mon portefeuille et de la garder avec moi. Et un jour il me porterait chance [Il sort un papier de son portefeuille et le tend à Lorelai].
- Eh bien mon vieux, je dirais n’importe quoi pour avoir une tasse de café ! Oh j’arrive pas à croire que tu ais gardé ça… Tu l’as gardé dans ton portefeuille…
- 8 ans…
- 8 ans…

#480
9.3 (76 votes)

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