Top - Citations de séries des années 1980

- On vient de me confirmer que ma jambe n’avait rien de grave, oui c’est vrai. Alors, je vous promets à tous que la prochaine fois, j’arrêterai tous les tirs de Landers et qu’ensemble, nous remporterons le prochain championnat national comme ça, Olivier pourra partir du Brésil.
- Thomas, merci ! Si je veux aller au Brésil, je dois remporter le prochain championnat national ! Personne ne me volera cette victoire pas même Mark Landers !

C’est vrai que j’ai perdu le défi que m’avait lancé Olivier Atton mais néanmoins, je reste le Capitaine de cette équipe. C’est moi qui décide, on va leur montrer le vrai visage de notre équipe, cette partie est très importante et j’ai besoin de vous tous pour la gagner alors attaque maximum, on construit et on marque. Il faut gagner, notre équipe est la première du championnat et nous sommes invincibles, allez à l’attaque !

On a perdu quand même !

Ça n’a aucune importance de savoir qu’on a bien joué, c’est Thomas qui va être déçu, il tenait tellement à rencontrer Mark Landers et maintenant qu’on a perdu, c’est fini, il ne pourra plus l’affronter.

Écoutez, vous avez peut-être perdu mais néanmoins, vous avez fait un grand match. Quant à moi, je vais essayer de vite me remettre sur pieds et quand je serai rétabli, je vous rejoindrai.

- Tu crois vraiment que le match est terminé, allez debout, relève-toi et va te battre, tu te conduis en lâche, tu es en train de gâcher tous les efforts, ce pourquoi on s’est battus pour en arriver là. Je suis venu ici pour jouer la finale demain et qu’est-ce que je vois, un lâche. Est-ce que c’est comme ça que tu joues au football ? J’attends ta réponse !
- Le fait est que je ne sais pas, je ne peux pas !

Il n’est pas encore trop tard pour réagir, si on gagne ce match, on pourra prendre notre revanche sur les Muppet et sur Landers.

Mark Landers : Tout ça c’est à cause de lui, qu’est-ce qui lui a pris de sortir de ses cages quand je pense que je ne l’ai pas vu arriver ! Je te garantis que tu me paieras tout ça très cher, Price !
Ed Warner : Incroyable, ils m’ont tellement pris de vitesse que je suis resté planté comme une souche mais ils ne me le feront pas deux fois !
Danny Mellow : C’est terrible, quelle malchance ! Quand je pense que nous étions sûr de gagner avant que Price ne s’en mêle !
Jeff Turner : Bon, inutile de pleurer là-dessus, ce qui est fait est fait ! Il va falloir qu’ils réagissent, je vais leur faire un speech qui va les réveiller !

- Je vais faire opposition avec mon corps comme Clifford même si je dois être blessé !
- Fais attention à toi, Sandy !

Je t’aurai, ce n’est pas toi qui va m’échapper !

Je t’arrêterai avant que tu ne franchisses la ligne !

- Viens, Olivier ! Je t’attends ! Tu ne me fais pas peur ! Allez, vas-y, frappe !
- Prépare-toi à encaisser un but, Warner ! Ma balle à effet va te clouer sur place !

Nan, encore mort, oh nan !

Je l’ai fait exprès de dire que j’étais mort.

Bien sûr que je m’en souviens. C’est très pratique d’avoir un complice qui travaille pour Interpoule.

De quoi tu t’inquiètes ma p’tite Lulu, de toutes façons c’est un voyage sans retour.

Mammuth, tu me le paieras.

Donne-moi cette arme imbécile ! Tiens, prends ça ! Boum, tant mieux !

Et voici la dernière boulette l’ami !

Alors c’est ça ta réponse à ma proposition, Mammuth ? Tu veux la guerre et bien tu l’auras !