Top - Citations de séries des années 1980

- Bonne chance à vous tous les gars, je reprendrai bientôt ma place dans l’équipe !
- Je tiendrai ma promesse Thomas, je gagnerai tous nos matchs durant ce championnat et comme ça je partirai au Brésil avec Roberto.

Freddy Marshall : J’ai l’impression que chaque joueur de ton équipe a enfin trouvé ses marques, tu n’es pas de mon avis Thomas ?
Thomas Price : C’est vrai !
Freddy Marshall : Pauvre Thomas, je sais ce que tu ressens, tu aurais tellement voulu jouer cette rencontre mais avec ta jambe, ce n’était pas possible !
Thomas Price : Olivier, Ben, Allan et les autres, je compte sur vous, vous pouvez y arriver !
Olivier Atton : C’est maintenant que le vrai match commence et je n’ai aucune intention de le perdre Mark Landers !

- Il fallait que j’arrête ce ballon sinon on perdait le match !
- Chapeau, tu es sorti au bon moment !

Thomas Price : Mais qu’est-ce qu’il fabrique ? Maintenant il s’effondre. Non mais tu vas te relever espèce de trouillard ?
Allan Crocker : J’ai trop peur, j’ai peur de la balle, je n’ose plus regarder le ballon, j’ai peur de le toucher. Ne m’en voulez pas les gars, j’ai la trouille !
Roberto Sedinho : Oh mais bien sûr c’est évident ! Depuis que Landers lui a marqué le but en lui tirant le ballon en pleine figure, Allan est terrorisé par toutes les balles que la Muppet lui envoie.

- Mais regardez-moi ça, ils ne visent même plus le ballon mais carrément Olivier. Ce n’est plus du foot mais du combat de rue, je n’ai jamais vu ça dans un match.
- Ils sont dingues !

- Vous n’êtes pas du tout fair-play !
- Oui je suis au courant ! Vois-tu quand un adversaire me gêne, je me débarrasse de lui sans aucun scrupule ! L’important c’est qu’il dégage vite fait.
- Tu es un lâche !
- Nous sommes à égalité mais le match ne fait que commencer, considère ceci comme un avertissement.

- Bravo Olivier, tu l’as marqué en beauté !
- Et en dehors de la surface réparation !
- Et alors ?
- Tu ne te souviens pas des deux buts qu’il t’a marqués à l’époque où tu jouais avec Saint Francis et Olivier avec les Newpie.
- C’est juste !
- Eh bien il a fait la même chose aujourd’hui avec Téo Sellers et ce n’est pas par hasard. Et en tirant de cette façon, Olivier a voulu prouver que ce n’était pas Téo Sellers mais plutôt toi Thomas qui es le meilleur gardien du championnat.
- C’est ce qu’on peut appeler un ami.

Il y’a trois ans, j’avais fait connaissance avec le « Duo en Or » et j’avais encaissé un but similaire face à eux, j’étais alors à la place de Zino Hernandez dans les cages. Zino Hernandez est peut-être un « Gardien Parfait » mais que pouvait-il faire face à un « Duo Parfait » ?

- Je suis désolé mais tant que je serai le gardien des Muppet, tu ne me marqueras pas un seul but tant pis pour toi.
- Ah ? Il est sûr de lui, c’est une qualité chez un gardien de but mais j’y arriverai quand même. Moi je ne renoncerai pas, tout ce que je veux c’est gagner ce match et je te garantis qu’on y arrivera.
- Ah bon ? C’est bien beau d’être ambitieux mais il ne faut surtout pas rêver ! Nous sommes les plus forts ! En avant les gars !

On dirait bien que mes enseignements sont en train de porter leurs fruits. Mark a compris que tout seul il n’y arriverait pas alors il a préféré passer. Le fait qu’il joue la carte du collectif donne confiance à ses compagnons et ensemble ils forment un groupe homogène.

- Nous, on va t’arrêter, on est deux contre toi !
- Moi, vous me faites marrer, vous ne faites pas le poids contre moi, vous n’êtes que deux petits rigolos, je vais vous effacer comme on gomme une tâche d’encre ouais !
- Ne te laisse pas influencer par Landers, je connais ce bouffon ! Prenons-lui la balle et après on verra qui rira le dernier !

J’aimerais bien avoir un joueur comme ce Danny Mellow dans mon équipe, nous serions imbattables. C’est lui le joueur clé dans ce match, il est exceptionnel.

Je dois me rappeler des consignes de l’entraîneur : à la première occasion, je passe le ballon au Capitaine. Même s’il est marqué par Atton, c’est lui qui a le plus de chances de nous offrir la victoire. À toi Capitaine !

Danny Mellow : J’ai un très mauvais pressentiment en ce qui concerne le match de demain : je crois bien que notre entraîneur ne fera pas jouer Mark.
Ed Warner : J’espère de tout mon cœur que Mark pourra jouer avec nous demain en finale.
Mark Landers : Je dois convaincre l’entraîneur de me sélectionner pour la finale de demain par n’importe quels moyens pour que je puisse battre Olivier Atton et la Newteam.

- Grâce aux conseils de mon ancien entraîneur Jeff Turner, je suis de nouveau le Mark Landers combattif qu’il a connu et que tout le monde craignait et ils vont vite le voir mais en attendant, je dois convaincre l’entraîneur de la Tôhô de me sélectionner pour le match de demain, je vais prouver à tout le monde que le Tigre n’est pas encore au bout du rouleau, Olivier Atton et la Newteam vont être surpris du retour de Mark et ils verront ce dont je suis capable sur un terrain.
- Regardez les gars !
- Mon tir est suffisamment super puissant maintenant et c’est la Newteam qui va vite l’apprendre à ses dépens.

Tu n’es pas là pour bronzer. Allez debout ! Si tu es venu pour me faire perdre mon temps, je me désintéresse de toi et tu peux vite repartir d’où tu viens.

Je ne peux pas le blairer cet espèce de dragueur de pierre, il croit qu’il a le tournoi dans la poche parce que son équipe joue à domicile.

Ce qu’il a, je vais te faire voir qui je suis espèce de British sous-développé.

Ça sera un plaisir de jouer contre le Kaiser. Plus ils sont forts, plus je m’amuse.

Je n’ai pas traversé les océans pour voir un Don Juan à la gomme envoyer des baisers à des midinettes.