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Série - Olive et Tom

Affiche de Olive et Tom
Titre
Olive et Tom
Écrit par
Hiroyoshi Mitsunobu
Année de sortie
1983
Nombre de citations
516
Note moyenne des citations
5
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Répliques en anglais sur l’IMDB
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Répliques de la série (500)

Voilà l’occasion inespérée de gagner ce match et d’accéder à la finale, ne laissons pas passer une chance pareille les gars.

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Bruce Harper : Vous méritiez largement de gagner ce match.
Ben Becker : Bruce dit vrai, vous avez un fantastique jeu d’équipe.
Philipp Callahan : Merci et maintenant c’est à votre tour la Newteam, gagnez votre place en finale et vengez-nous demain.
Olivier Atton : Ouais.

Olive et Tom.
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- Tu te rends Olivier ? Il est enfin temps.
- Ça a marché. Alors Landers, qu’est-ce tu en dis ?
- J’ai tout compris, tu as fait exprès de tomber, c’était un piège et je suis tombé bêtement dedans.

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Je n’en pouvais plus de rester à la maison. Je veux voir mes coéquipiers sur le terrain.

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Allez les gars, défendez ce but à tout prix. J’ai pris une décision : même si ma jambe me fait encore mal, je jouerai la finale avec vous alors je vous en supplie, gagnez votre place en finale.

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- Nous voici enfin face à face Olivier, ça fait longtemps que j’ai attendu ce moment.
- Sois sûr que je me battrai de toutes mes forces pour te prendre la victoire Julian et je sais que tu feras la même chose.

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Nous ses derniers adversaires allons offrir à Julian, pour son dernier match, le plus beau qu’il ait joué de toute sa vie.

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Clifford Yuma : Allez les gars, on continue comme ça.
Olivier Atton : Attends un peu, le match vient à peine de commencer. D’accord, vous avez marqué le premier but mais il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, ne nous sous-estime pas.
Bruce Harper : Tu as raison.
Clifford Yuma : Cause toujours, tu n’as pas encore tout vu, ce n’était qu’un échantillon, je vais te montrer.

Olive et Tom.
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Julian a été admirable pour son dernier match, il ne s’est jamais économisé et s’est battu de toutes ses forces. Le moins que l’on puisse faire pour lui donner un bon souvenir pour son dernier match, c’est de ne jamais abandonner et de se battre jusqu’au coup de sifflet final.

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- Olivier a raison, j’aurais dû vous mettre dans la confidence plus tôt. Voilà, je vais expliquer ce qui se passe : votre capitaine a une grave maladie cardiaque. C’est pour ça que je me suis pas battu en permanence à vos côtés mais étant donné la force de l’adversaire, j’ai obtenu d’un commun accord que je pourrais jouer le match en entier et tant pis si c’est imprudent de ma part. Tu m’entends Olivier ? Tu représentes mon dernier challenge alors pas question de me faire remplacer, je jouerai ce match jusqu’au bout.
- Tu viens de nous le dire, c’est ton dernier match et nous sommes donc tes derniers adversaires et à t’entendre, tu attends de nous une lutte acharnée et certainement pas de la compassion, tu veux des adversaires et pas des infirmières sinon tu n’aurais jamais pris de tels risques pareils, quel courage !

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Il m’a bien eu. On peut dire qu’il a vachement progressé lui-aussi.

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Mais il est polluant le petit Ben ! Si Danny avait réussi à le dribbler, il m’aurait fait la passe et j’allais marquer le premier de nos buts.

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Demain ce sera la finale je ne peux pas manquer ça, Olivier y sera et j’y serai moi-aussi et je jouerai encore mieux qu’avant.

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Ça alors, je n’en crois pas mes yeux, il a réussi à la mettre au fond. Je dois avouer que même moi je me serais fait avoir sur ce tir.

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Makoto Kitazume : Demain ce sera le match du siècle : la grande finale entre Tôhô et Newteam. Mes joueurs devront gêner Olivier Atton au milieu du terrain si on veut avoir une chance de décrocher le titre.
Ed Warner : Quand j’y pense, ce dernier tir d’Atton qu’est-ce qu’il était dingue.
Danny Mellow : Oui c’est vrai !
Ed Warner : Je n’en reviens pas : un ballon qui tourne sur lui-même sur la pelouse après avoir touché le poteau et qui continue sa course pour finir au fond des filets.
Danny Mellow : Atton a vraiment du style. C’est un génie du football et un futur grand champion.

Olive et Tom.
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Olivier Atton : Thomas, ce gardien !
Thomas Price : Olivier, tu as eu déjà affaire à Zino Hernandez le « Gardien Parfait » de l’équipe d’Italie, si aujourd’hui on gagne notre demi-finale contre la France, nous devrons sûrement affronter ce Dieter Müller demain en finale surnommé le « Gardien Fantôme ».
Olivier Atton et Olivier Atton : Le « Gardien Fantôme » ?
Thomas Price : Oui ! L’année dernière, l’équipe professionnelle du VfB Stuttgart était allée dans les montagnes du Palatinat pour se préparer en vue de la prochaine saison de Bundesliga et ils ont organisé un petit match amical contre une équipe amateur locale. Les joueurs pros de Stuttgart qui pensaient que le match allait être facile n’allaient pas tarder très vite à déchanter car au bout des vingt minutes de la rencontre, ils avaient tiré des centaines de fois au but mais à la fin du match, le score était nul et vierge et dans les cages adverses, le gardien qui avait arrêté tous les tirs des pros était justement Dieter Müller. Bien sûr, à la fin du match, l’entraîneur de Stuttgart voulait recruter cet étonnant gardien mais il a refusé prétextant qu’il ne quitterait pas ses montagnes pour rien au monde, le mythe du « Gardien Fantôme » était alors né et il apparaît là sous nos yeux. Avec lui dans les cages, l’Allemagne est vraiment la plus complète et la plus forte des équipes de ce tournoi.
Olivier Atton : Dieter Müller, le « Gardien Fantôme » !

Olive et Tom.
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Je crois que si la Newteam a gagné deux fois le championnat c’est grâce à leur cohésion et à leur esprit d’équipe comme nous, vous êtes d’accord les gars ?

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C’est moi qui vais gagner et te battre Landers demain en finale, je le sais.

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Mes amis, pour vous remercier de m’avoir soutenu et convaincu l’entraîneur de me reprendre, vous allez m’aider à battre Olivier et la Newteam, je ne supporterai une troisième défaite et personne ne m’empêchera de m’offrir cette satisfaction, j’ai déjà eu deux défaites, c’est beaucoup trop pour mon amour propre, je te préviens Olivier Atton, c’est fini pour toi.

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Bruce Harper : Bravo, Olivier ! Tu as réussi !
Ed Warner : Alors les Italiens, on fait moins les malins maintenant ?
Thomas Price : On s’est quittés il y a trois ans et je vois que non seulement tu as fait des gros progrès en dribles mais de plus, tu possèdes cette frappe puissante que même moi je ne l’aurais pas arrêtée non plus.

Olive et Tom.
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Personnages du film

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