Top - Citations de films de l'année 1986

- Hop, en cabane ! Et hop, bouchonnée !
- Laissez-moi, partir, j’veux sortir !
- C’est ça, qu’est-ce qu’t-en dis ? Bou !

Minou, minou, minou, c’est l’heure de la bouchée à la Reine ! Fais Ah !

- Il va falloir lâcher du lest !
- Ah, tu voudrais que nous lâchions du lest ? Excellente idée !
- Non, pas moi, au secours, je ne peux plus voler, je ne peux plus voler !

- Les uniformes, ah, Fidget je savais que je pouvais compter sur toi ! Tu as pensé à tout ?
- Sans problème, j’ai pris tout ce qui était sur la liste, oh la la !
- Qu’est-ce qui cloche ?
- La liste perdue, oubliée !
- Où est cette liste ?
- Oui la liste, oui, ça c’est passé comme ça, j’étais dans le magasin de jouets, j’étais en train de prendre les uniformes quand j’entends un hou, hou, hou !
- Toi tu vas comprendre ta douleur !!

- J’étais en train de prendre les uniformes et j’embarquais la fille avec Basil aux fesses !
- Quoi ? Basil est sur le coup ? Tu n’es qu’un infâme résidu ! Mon cher Fidget tu as du rester pendu la tête en bas un peu trop longtemps !
- Vous ne m’en voulez pas ? Je suis content que vous le preniez bien. Non, pas moi, arrête imbécile, lâche-moi stupide boule de poils ! Non !
- Voilà que ce crétin de Basil fout son grand nez dans ma géniale combine et fiche tout par terre.
- Je veux sortir ! Au secours !
- Oh, je vois d’ici son air satisfait le bougre ! Oui, oui, je vois ça d’ici ! Félicia, recrache-le !
- Je suis trop jeune pour mourir !
- Fidget, délicieux voyou perfide, tu viens de me donner une occasion sans précédent ! Pauvre Basil, je vais lui réserver une de ses surprises !

Gardes, emparez-vous de cette horrible créature ! Gardes, emparez-vous de cette horrible créature !

Pas un geste ou c’est la mort pour elle !

- T’es le rat le plus scélérat !
- Qu’est-ce que j’ai entendu ? Comment m’as-tu nommé ? Je ne suis pas un scélérat ! Mon cher Bartolomé, à mon grand regret, tu m’as indisposé et tu sais ce qui se passe quand on m’indispose moi ?

- Attendez un peu, Basil est plus fort que vous, il vous mettra sous les verrous et ce n’est pas un vieux rat moche, laid et visqueux qui va lui faire peur !
- Voudrais-tu bien t’asseoir et la fermer avant que je me fâche ?

Remuez-vous, buvez vos bières ! À genoux.

Fallait choisir tes amis avec plus de circonspection.

Basil : Toby ? Toby ? Viens ici Toby !
Olivia : Toby, qui c’est Toby ?
Le docteur Dawson : Je n’en sais rien !
Basil : Ah, le voici !

Bye bye, Basil !

- Si tel est le souhait de son Altesse, bien entendu !
- Mon vœu le plus cher, envoyé de Lucifer !
- Quoi ?
- Vous n’êtes pas le Prince Consort !
- Quel sens de l’humour !
- Votre Reine ne l’a jamais souhaité !
- Arrêtez ça, Flaversham !

C’est pas une tète qu’il a, c’est un présentoir à lunettes !!

Il doit être plus difficile de vivre pour la réincarnation d’une déesse que de mourir comme un simple mortel.

- Mais il est fou, il a sauté de cette hauteur cet idiot, il va se rompre le cou et tomber sur la tête bien que ce soit déjà fait.
- Seiya, tes réactions sont toujours si imprévues. Par moment tu me fais penser à ma comète, une comète égarée dans la nuit.
- C’est pas le moment de faire de la poésie, tu ferais mieux de les rattraper.
- Mais je t’en prie. Vas-y, saute toi aussi !
- Ah, je sais que je suis bête mais pas à ce point là.
- Puisque tu es si malin, attends que le jour se lève, comme ça tu pourras au moins voir où ils sont au lieu de chercher dans le noir.
- Ma foi c’est pas complètement idiot.
- Qui plus est tout Chevalier du Zodiaque qui soit, il lui est impossible de sortir de ce précipice même s’ils sont encore en vie.
- C’est quand même beau non d’avoir une cervelle.
- Surtout que ce n’est pas ton cas.
- Hein ?

- Tu veux savoir pourquoi il a été changé en pierre ?
- Dis-le moi !
- C’est parce que Andromède a posé les yeux sur ceci. Je le porte habituellement sur le dos, c’est le Bouclier de la Méduse.

Arghh !! Je n’ai aucune excuse, et je suppose que je mérite de passer l’éternité en enfer… Mais avant de mourir j’ai une mission à remplir, une dette envers quelqu’un. Il y a des gens qui m’ont aimé, qui m’ont fait confiance… des hommes et des femmes que j’admire et que je respecte, qui sont bons et justes, et pour lesquels je me battrai. Et si je dois finir en enfer, j’accepterai mon destin mais je me battrai contre le grand pope lui-même.

Tu n’y es pour rien, c’est moi qui l’ai tué. Il s’est sacrifié pour me sauver la vie, je le sais ! Ô mon Dieu, je n’ai pas oublié toutes les preuves d’amour que tu m’as donné. Tu m’as soigné avec tout l’amour dont tu étais capable, tu m’as veillé jour et nuit, et pourtant tu as du me haïr parfois. Je t’ai fait souffrir. Je comprends maintenant. Et ce que j’ai pris pour de la jalousie n’était qu’une autre preuve de ta fidélité. Tu as donné ta vie pour moi. Et pour sauver celui que j’aime. Je te prenais pour une brute sanguinaire, et tu as montré plus de grandeur d’âme que n’importe quel chevalier ! C’est injuste Tu ne méritais pas de mourir ! Jamais je ne me le pardonnerai ! C’est moi qui suis une brute sans cœur ! Je ne mérite pas de vivre !