Top - Citations de films de l'année 1986

Encore un Chevalier qui disparaît ! Mais pourquoi ne sommes-nous pas immortels ? La menace qui pèse sur le monde l’est bien elle.

Et voilà, la seule chose qui te raccroche encore au monde c’est l’ouïe. Alors pendant que tu peux encore entendre quelque chose, écoute moi : Je fais partie des Chevaliers qui ont mérité de porter l’armure d’or, et je me suis engagé à toujours combattre pour le bien et la justice, et à ne jamais utiliser mes pouvoirs pour des raisons personnelles ou maléfiques. Et la seule vérité qui existe en ce bas monde, c’est que malheureusement, rien n’est certain. Il n’y a pas de justice parfaite, pas plus que de mal parfait. Par l’enseignement que j’ai reçu, je sais reconnaître le bien et le mal quand je les rencontre. Et à ma connaissance, le grand Pope défend… la justice ! Et c’est pour ça que je le sers, non pas par lâcheté ou par peur. Maintenant que j’ai répondu à ta question, je vais te priver de ton cinquième et dernier sens à tout jamais. Que tes oreilles soient sourdes pour l’éternité !!

Tu t’es craché en beauté mec.

Le ministère de la défense a le regret de vous informer que vos fils sont morts parce qu’ils étaient débiles.

I’m gonna rip yer head off and shit down yer neck.

- Croyez-vous donc, que ce lieu soit abandonné de Dieu ?
- Connais-tu un seul lieu ou Dieu ne se soit pas toujours senti chez lui ?

Je t’aime Manon, je t’aime d’amour !

Sid ! Sid ! C’était décidé on avait dit qu’on se défonçait plus avant le gig ! On devait plus toucher à ça, connard ! Enfoiré ! T’es trop con, je peux pas te faire confiance ! Je devrais te virer espèce de salaud ! C’était décidé, on avait dit qu’on se défoncerait plus avant ce putain de gig ! Et tu m’en as même pas laissé, fumier ! T’es qu’une ordure ! Sale con, j’t’emmerde ! J’t’emmerde !

Je me suis épilée… les sourcils connard !

- Mais je ne vous ai pas laissé tomber, je vous ai fait soigner.
- Tu m’as fait soigner ? C’est toi qui m’as tiré dessus, abruti !

Je reconnais ce cosmos, je l’ai déjà ressenti ! C’est le même qui m’a enveloppé il y a treize ans quand je pourchassais le Chevalier Aïolos. Je croyais avoir épargné la vie de ce bébé par pitié, mais c’est faux. J’étais incapable de lever la main sur elle parce que je me sentais paralysé par une étrange émotion. Personne ne peut émouvoir un Chevalier d’Or de cette façon, à part Athéna. Quelle affreuse ironie du sort, moi qui me vantais d’être le plus fidèle et le plus pur serviteur d’Athéna, je l’ai trahie sans le savoir, j’ai failli tuer celle dont je devais assurer la protection. J’ai commis un crime totalement impardonnable, je ne mérite pas de porter l’armure des Chevaliers d’Athéna. Pardonne-moi Shiryû, pardon Aïolos… Écoute-moi, tu ne dois pas mourir Chevalier, toi seul est digne de porter une armure d’or et de combattre tout ceux qui oseraient porter la main sur notre vénérée Princesse ! Chevalier je ne peux pas te laisser mourir en vain, mais je suppose qu’il est trop tard, nos étincelles de vie s’éteindront bientôt ensemble, nos corps exploseront en poussières d’étoiles qui flotteront dans l’univers, j’espère seulement que nos âmes, enfin amies, pourront veiller sur Athéna et la protéger des forces maléfiques qui m’ont aveuglé et forcé à t’affronter.

Bravo ! Je n’aurais jamais cru ça possible ! Tu es plus mort que vivant et pourtant tu as réussi à maîtriser l’Exécution de l’Aurore et à me porter un coup fatal ! Je n’ai plus rien à t’apprendre, je ne suis plus ton maitre, tu m’as dépassé, tes pouvoirs sont supérieurs aux miens, tu es parvenu par un miracle de volonté à atteindre l’extrême limite, le Zéro Absolu ! Ta cosmo-énergie a surpassé en puissance la mienne, tu n’es plus un Chevalier de Bronze, tu as atteint l’ultime cosmos, le Septième Sens, et la seule explication possible d’un tel miracle, c’est que tu croyais en la justice de ta cause. Chevalier, tu t’es sacrifié parce que tu savais que tu défendais la véritable réincarnation d’Athéna, et moi sans le savoir j’ai défendu les forces du mal. Je voudrais pouvoir te sauver la vie, mais il est trop tard. Pardonne-moi.

La justice de notre cause n’exclue pas le sang que j’ai versé. Depuis mon enfance, j’ai été obligé de faire ce que j’ai toujours détesté. J’ai été obligé de me battre et de tuer de mes propres mains et qu’ai-je gagné sinon le droit de me battre à nouveau. Seiya, Athéna, mes amis, aidez-moi, je ne sais plus qui a tort qui a raison. La paix n’est qu’une illusion, la guerre ne peut engendrer la justice, JE SUIS UN ASSASSIN.

Tes pouvoirs ne pèsent pas plus lourd qu’un singe dans la paume du Buddha comparés aux miens. Tu pensais avoir parcouru des millions de kilomètres pour être hors d’atteinte de mes coups. Mais en réalité tu n’as bougé que de quelques mètres.

Tes pouvoirs ne pèsent pas plus lourd qu’un singe dans la paume de Bouddha comparés aux miens. Tu pensais être hors d’atteinte à la portée de mes coups mais en réalité, tu n’as bougé que de quelques mètres.

Business is business !

- Bois pas ça, ducon, t’auras la malaria !
- Oui, c’est ce que j’espère !

- Papet, Pour avoir des enfants faut avoir une femme.
- Et alors ? C’est pas ce qui manque ici les filles, y’en a tant que tu en veux, et qui se régaleront d’épouser un Soubeyran […].
- Papet, Je n’ai pas de mulet puisque que tu me prêtes le tien, J’ai pas de poule, j’ai pas de chèvre, parce que ça saccagent tout, je ne porte pas de chaussettes parce que ça me chatouille… Alors une femme hé ? à quoi ça me servirait ?
- Et le sentiment ?
- Pour ça, quand je vais à Aubagne, je m’arrête une demi heure au Figuier, ça me nettoie les idées. J’ai calculé que ça me revient 15 francs par mois. Et là je peux choisir, alors ça me suffit.

Tu sais ce qu’il se passe quand tu ouvres la bouche ? Ça sent la pissotière !

Papet, je m’en vais parce que j’en peux plus. C’est pas pour les œillets tant pis s’ils crèvent, c’est à cause de mon Amour. J’ai compris qu’elle ne me voudra jamais, je m’en doutais parce que mon ruban d’amour m’a fait un abcès qui me brûle. Et puis quand je lui ai dit devant tout le monde que je veux la marier, tout lui donner, elle m’a craché dessus en paroles, et en plus elle s’est réfugiée chez l’instituteur. Lui, quand il lui parle, elle l’écoute en regardant par terre. Elle, quand il a fini, elle se languit qu’il recommence. Et lui il n’est pas étonné, il trouve ça naturel. Celui-là, il sait pas son bonheur, mais moi, je sais mon malheur…
Je ne peux plus le supporter, j’ai envie de le tuer mais ça lui ferait peine, alors non, tant pis, je veux pas la priver.
Ne lui cherche pas des garouilles, ce n’est pas de ta faute, ce n’est pas de sa faute, c’est la fatalité.
Fais dire des messes pour moi parce que, là haut il faudra que je m’explique, à cause de la source.
Adésias mon Papet, ça me fait peine de te quitter, mais rester, je peux pas.