Top - Citations de films de l'année 1986

- Mais, tu es devenu fou, qu’est-ce qui t’a pris ? Te voilà aveugle maintenant !
- Je n’avais pas le choix ! Il y a des moments dans la vie où un homme doit savoir faire des sacrifices mais ne crois pas que tu m’as vaincu pour autant, il me reste encore un bras pour t’achever.
- Ça, je le croirai quand tu m’auras battu, à l’attaque !

- Oui, je le vois. La Déesse Athéna m’aide à le voir ! Dragon à l’attaque !
- Quel monstre, il a sacrifié sa vue pour avoir une chance de me battre. Jamais je n’ai vu un tel courage !

Je déteste cette sentimentalité mielleuse. [Il frappe Shun] C’est entendu, je vais trancher cette tête à cheveux verts puisque tu y tiens, adieu !

Sept Guerriers Divins se sont rassemblés autour de la Princesse Hilda Représentante terrestre d’Odin Seigneur du Royaume d’Asgard, situé à l’extrême Nord de l’Europe. Ils ont juré solennellement de détruire le Sanctuaire. Les Chevaliers du Zodiaque doivent livrer une nouvelle bataille : pour sauver Athéna qui tente de freiner le dégel, Seiya et ses compagnons doivent vaincre les Sept Guerriers Divins et s’emparer de leurs Saphirs d’Odin avant le coucher du soleil sinon les calottes glacières des Pôles Nord et Sud continueront de fondre et provoqueront un gigantesque raz-de-marée pouvant détruire la planète.

La Maison du Cancer possèdera bientôt un nouveau trophée macabre !

Si vous voulez connaître une mort violente, je vais vous montrer pourquoi on m’appelle le Scorpion. Que mon Cosmos brule de toute son énergie !

Sois maudit, Aïolos ! Quand as-tu trouvé le temps d’écrire ce message sur le mur ? Je n’arrive pas à croire que ces rebelles soient parvenus à atteindre la dixième maison, il faut les arrêter à tout prix sinon tout l’Ordre de la Chevalerie sera bafoué par leur révolte honteuse. Shura, Chevalier d’Or du Capricorne, je t’ordonne de tuer Seiya et ses compagnons par tous les moyens !

Rassurez-vous ! Le coup que je vous ai donné n’était pas mortel, je voulais vous donner un aperçu des pouvoirs de mon Aiguille Écarlate avant de vous tuer et vous faire connaître des douleurs atroces dans lesquelles vous allez vos débattre mais la prochaine piqure ne sera pas aussi clémente que la première et va vous envoyer dans votre dernière demeure, en enfer !

Quoi, le Chevalier du Cygne mais je croyais que le Chevalier du Verseau l’avait envoyé dans la Maison de la Balance pour toujours mais comment est-il parvenu à se libérer de son Cercueil de Glace ?

Par les Vagues d’Hadès !

On dirait que cette jeune fille tenait à toi ! Tu devrais me remercier car vous allez bientôt être réunis dans l’Autre Monde. Oui je sais, je suis trop bon, ça me perdra ha ha ha ha ha !

- Oh, non ! Ma jambe, tu as réussi à me blesser une jambe ?
- Masque de Mort, tu vas peut-être comprendre que cette armure n’est portée que pour défendre la justice.
- Quoi, qu’est-ce que tu as dit ?
- Et je te le prouve !
- C’est pas vrai, mon bras ne me protège plus non plus mais pourquoi, pourquoi, mais pourquoi à chaque coup que tu me portes, mon armure s’en va ?
- C’est probablement la volonté de l’Armure d’Or !
- Quoi, que veux-tu dire par volonté ?

Seiya : Oh non, c’est encore plus affreux que je ne le pensais. À y regarder de plus près, on peut aussi voir des visages d’enfants.
Shiryû : Quoi ce n’est pas vrai, des enfants aussi ? Comment as-tu pu oser faire une chose pareille ?
Masque de Mort : Je n’en ai aucune idée, j’ai dû les tuer sans m’en rendre compte alors que je combattais mes véritables ennemis, c’est très regrettable mais chaque médaille a son revers maintenant vos savez pourquoi on m’appelle Masque de Mort c’est un titre que je mérite ha ha ha ha ha !

Allons, Messieurs ! En temps de guerre, personne ne fait attention aux femmes et aux enfants qui périssent sous les bombes !

J’ai horreur des vantards comme toi qui osent manquer de respect à ceux qui leur sont supérieurs !

Il est trop tard maintenant pour te rendre compte de ton erreur ! Tu vas encore goûter au tranchant de ma lame.

- Tu es sur la bonne voie Chevalier, tel est mon pouvoir ! Mes deux bras et mes deux jambes sont capables d’assainir des terribles blessures mais mon arme la plus terrible est cette épée invisible capable de fendre tout ce que je veux, elle a pour nom Excalibur.
- Excalibur ! Maintenant je commence à comprendre pourquoi la statue d’Athéna était là !
- Et tu connais la raison pour laquelle je possède une telle arme tu l’as dit toi-même tout à l’heure à tes compagnons c’est parce que je suis le plus dévoué et le plus fervent défenseur d’Athéna.
- C’est faux, comment peux-tu dire une chose pareille ?
- Parce que c’est la vérité ! C’est moi qui ai infligé le juste châtiment que méritait ce renégat d’Aïolos qui a osé se rebeller contre la toute-puissance d’Athéna.

- Je suis désolé de te décevoir mais le Chevalier Aïolos n’est pas mort sur le coup !
- Qu’est-ce que tu dis ?
- Il avait rassemblé ses dernières forces pour remonter la falaise afin de sauver celle qu’il devait protéger au péril de sa vie. Tu aurais vite compris alors que c’est lui qui protégeait Athéna qu’il arrachait aux griffes de la mort qui la guettait au Sanctuaire.
- Tu mens et tu subiras le même châtiment qu’Aïolos ! Les traîtres de ton genre ne bafoueront plus jamais le Sanctuaire !

- Comment ? Il a réussi à couper facilement mon Bouclier en un seul coup d’épée !
- Je dois admettre que ce Bouclier est plus solide que je ne l’aurais cru normalement un coup pareil aurait dû te sectionner l’avant-bras, toujours est-il que tu n’as plus rien pour te protéger maintenant et pendant que j’y songe laisse-moi me débarrasser de ton Armure.
- C’est incroyable, il a réussi à trancher mon Armure comme une vulgaire feuille de papier. Les autres Chevaliers d’Or avaient réussi à l’endommager mais aucun d’entre eux n’avaient réussi à l’entailler si facilement.
- Eh bien, Chevalier, tu veux déjà abandonner le combat ? Puisqu’il ne reste plus rien pour te défendre, je n’ai plus qu’à te pourfendre en deux.

Pauvre inconscient, pourquoi es-tu revenu à la vie ? Tu aurais dû rester dans ton Cercueil de Glace, tant pis, il est trop tard pour reculer maintenant.