Top - Citations de films de l'année 1986

Life moves pretty fast. If you don’t stop and look around once in a while, you could miss it.

L’unique façon dont tu puisses espérer être couché près de moi, c’est qu’on soit renversé par la même voiture.

La seule certitude qui nous reste, c’est la capacité d’agir de notre corps. Si j’aime, je bande. Si je ne bande pas, j’aime pas. C’est la seule façon de ne pas se conter d’histoires. Comme les femmes qui te disent : « Je t’aime comme au premier jour » et qui sont sèches comme du papier sablé, alors que tu les as connues mouillées au dernier degré juste après les avoir embrassées dans le cou.

L’amour, celui qui fait battre le cœur, qui fait envoyer des fleurs, c’est un sentiment qui dure deux ans. Après deux ans, les compromis commencent.

La question est de savoir : est-ce qu’on se résigne à être hétérosexuel parce qu’on est pas assez beau, ou bien si on embellirait en devenant homosexuel ? Grave question !

Je suis sorti de prison ce matin. Cinq ans de tôle, connard, une heure de liberté. Tu vas leur expliquer la situation. Tu vas leur dire que je suis innocent. Tu vas me blanchir complètement ou je t’arrache la tête.

- C’est un ami. Il est blessé à la cuisse, il a perdu beaucoup de sang.
- Je ne suis pas médecin, Georges.
- Vous pouvez extraire une balle et faire un pansement ?
- Extraire une balle ? Il a avalé la baballe ? Il a avalé la baballe en jouant ?

Le mensonge est la base de la vie amoureuse, comme c’est le ciment de la vie sociale.

Hé mec tu veux m’rendre mon pognon.

Pour un homme qui n’a pas de pardon dans son cœur, vivre est châtiment plus dur que mourir.

- Hop, en cabane ! Et hop, bouchonnée !
- Laissez-moi, partir, j’veux sortir !
- C’est ça, qu’est-ce qu’t-en dis ? Bou !

Minou, minou, minou, c’est l’heure de la bouchée à la Reine ! Fais Ah !

- Il va falloir lâcher du lest !
- Ah, tu voudrais que nous lâchions du lest ? Excellente idée !
- Non, pas moi, au secours, je ne peux plus voler, je ne peux plus voler !

- Les uniformes, ah, Fidget je savais que je pouvais compter sur toi ! Tu as pensé à tout ?
- Sans problème, j’ai pris tout ce qui était sur la liste, oh la la !
- Qu’est-ce qui cloche ?
- La liste perdue, oubliée !
- Où est cette liste ?
- Oui la liste, oui, ça c’est passé comme ça, j’étais dans le magasin de jouets, j’étais en train de prendre les uniformes quand j’entends un hou, hou, hou !
- Toi tu vas comprendre ta douleur !!

- J’étais en train de prendre les uniformes et j’embarquais la fille avec Basil aux fesses !
- Quoi ? Basil est sur le coup ? Tu n’es qu’un infâme résidu ! Mon cher Fidget tu as du rester pendu la tête en bas un peu trop longtemps !
- Vous ne m’en voulez pas ? Je suis content que vous le preniez bien. Non, pas moi, arrête imbécile, lâche-moi stupide boule de poils ! Non !
- Voilà que ce crétin de Basil fout son grand nez dans ma géniale combine et fiche tout par terre.
- Je veux sortir ! Au secours !
- Oh, je vois d’ici son air satisfait le bougre ! Oui, oui, je vois ça d’ici ! Félicia, recrache-le !
- Je suis trop jeune pour mourir !
- Fidget, délicieux voyou perfide, tu viens de me donner une occasion sans précédent ! Pauvre Basil, je vais lui réserver une de ses surprises !

Gardes, emparez-vous de cette horrible créature ! Gardes, emparez-vous de cette horrible créature !

Pas un geste ou c’est la mort pour elle !

- T’es le rat le plus scélérat !
- Qu’est-ce que j’ai entendu ? Comment m’as-tu nommé ? Je ne suis pas un scélérat ! Mon cher Bartolomé, à mon grand regret, tu m’as indisposé et tu sais ce qui se passe quand on m’indispose moi ?

- Attendez un peu, Basil est plus fort que vous, il vous mettra sous les verrous et ce n’est pas un vieux rat moche, laid et visqueux qui va lui faire peur !
- Voudrais-tu bien t’asseoir et la fermer avant que je me fâche ?

Remuez-vous, buvez vos bières ! À genoux.