Top - Citations de films de l'année 1986

Chevalier Aïolos, sur ce qui fut ta demeure, nous renouvelons notre serment, nous jurerons de protéger et de chérir la Princesse Athéna au péril de notre vie.

Adieu, Royaume d’Asgard ! C’est pour toi que je meurs ! Chevalier Pégase, je t’en prie, veille sur la Princesse Hilda ! Adieu, Chevaliers d’Athéna !

Parce que c’est mon ami !

- Que mon Armure vienne protéger mon corps et terrasse mon ennemi !
- Non, ce n’est pas possible, cette Armure est celle du Chevalier des Gémeaux ! Je commence à comprendre, cet homme n’est pas le véritable Grand Pope, c’est un des douze Chevaliers d’Or mais comment un Chevalier d’Or a-t-il pu être à la tête du Sanctuaire ?
- Tu vas mourir, vermine, disparais dans une autre dimension !

- Poséidon, ton temple est détruit, admets ta défaite !
- Mais qu’est-ce qu’elle tient entre ses mains ?
- Le moment est venu de reposer dans cette urne sacrée où tu dormiras pour l’éternité ! Ne résiste pas, tu dois accepter ce châtiment divin !

Quand les Forces du Mal menacent la paix dans le monde, les Chevaliers du Zodiaque sont là pour les combattre.

Kanon, dans cette Guerre Sainte contre Hadès, toi et moi y laisserons certainement la vie…

Cassios, je te jure sur mon Armure que tu ne seras pas mort pour rien. Adieu mon ami !

Tu as entendu ça Camus ? Oui, c’est à toi que je m’adresse Chevalier du Verseau, as-tu entendu ce qu’a dit ton disciple ? Ce serai injuste envers lui de le prendre en pitié, j’ai décidé de l’affronter loyalement ! Je prendrai sa vie car je le considère comme mon égal. Je reconnais sa valeur de Chevalier, il prouve par sa décision qu’il est un Chevalier digne de ce nom. Il a choisi sa vie il a choisi sa mort, il est seul maître de son destin, tu peux être fier de ton disciple, Camus !

- Mon nom n’a aucune importance !
- Quelle surprise, une femme ! Seules les femmes Chevaliers doivent porter un masque j’imagine que c’est pour cacher leur laideur !
- Je n’ai que faire de tes sarcasmes !
- Tu n’as vraiment pas de chance, il a fallu que tu tombes sur l’homme le plus intelligent du Royaume d’Asgard, je me présente Albérich de Mégrez, Guerrier Divin de Delta pour vous desservir ma jolie. Ainsi le Sanctuaire s’abaisse à nous envoyer des espions, qu’est-ce que tu viens faire au Royaume d’Asgard ? Qu’es-tu venue y chercher !

Enflamme-toi, brûle mon Cosmos !

En fait, les Dieux auxquels croyaient mes parents n’étaient certainement pas comparables à Abel.

- Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Mes mains, mes bras, mes jambes, mon corps est complètement insensible, tous mes muscles sont entièrement paralysés.
- En effet car tu viens de perdre le premier de tes cinq sens celui du toucher.
- Quoi ?
- Tu ne peux plus bouger, ton corps ne t’obéit plus et tu es tout à fait incapable de te défendre ni même de m’attaquer. Je vais maintenant te priver de ton odorat.
- Je ne peux plus rien sentir.
- Tu as du mal à respirer et tu ne peux plus sentir ton ennemi maintenant que ton odorat est détruit. Te voilà privé de deux sens à présent sur lequel veux tu que j’exerce mon pouvoir cette fois ?

- Voilà c’est fait ! J’ai détruit le sens du goût et en plus je t’ai définitivement retiré la possibilité de parler. Il ne te reste plus que l’ouïe et la vision alors d’après toi, qu’est-ce que je devrais détruire en premier ? Je sais, je vois que tes yeux n’ont pas perdu leur combativité on va remédier à cela.
- Je ne parviens pas à le détruire, Seiya y’arrivera sûrement.

- Tu vas payer pour avoir osé lever la main sur un Chevalier d’Or. Tu as déjà perdu le sens du goût, du toucher, l’odorat, la vue et la parole, je vais maintenant te priver de ton cinquième et dernier sens à tout jamais.
- L’ouïe ! Athéna !
- C’est fait ! Tu n’es désormais plus qu’une masse de chair incapable de communiquer avec qui que soit ! Ton corps est devenu ta propre prison dans laquelle tu es condamné à errer perpétuellement. À cause de ton orgueil sans bornes, te voilà réduit à l’état de cadavre vivant.

C’est dommage, Chevalier ! Tu aurais dû abandonner le combat comme les autres. Il est vrai que je suis le plus sage et le plus juste parmi les douze Chevaliers d’Or et que je possède la sérénité de Buddha mais j’avoue qu’il me manque quelque chose car la mort aurait été trop douce pour toi. Apprends pour ton malheur que je n’ai aucune pitié pour les faibles quoique lorsqu’on y réfléchit c’est faire preuve de pitié envers quelqu’un en l’achevant d’un seul coup. Quoi du sang ? Il n’a pas pu faire cela. Quelque chose a effleuré ma main et je sens une présence dans ces murs. Quoi mais c’est une plume de Phénix ? Ce serait donc cette plume qui aurait trompé ma vigilance.

- Chevalier, prépare-toi à faire connaissance avec l’Epée Flamboyante, c’est elle qui va t’envoyer directement au Royaume des Morts !
- L’Epée Flamboyante ?
- C’est une arme aux pouvoirs incommensurables, je l’ai reçue le jour où la Princesse Hilda m’a confié l’Armure légendaire des Conquérants de Delta et grâce à cette arme terrible, rien ni personne ne pourra m’empêcher d’atteindre mon but.

- Docrates ! D’abord tu n’es pas digne de l’Armure d’Or ! Si tu veux l’avoir, il faudra d’abord te débarrasser de moi !
- Ainsi c’est toi Seiya celui qui nous a volé l’Armure de Pégase !
- Je n’ai pas volé cette Armure ! Je l’ai reçue en récompense de ma bravoure au combat.
- Eh bien on va voir si tu sais te battre ! Heraclès, donne-moi ta force !
- Si tu crois que tu vas m’impressionner avec tes tours de magie !
- Ah oui eh bien essaie d’éviter ça !
- Il a une force prodigieuse !
- Hé, hé, hé, hé, hé, eh bien qu’est tu attends ? Montre-moi un peu ce que tu sais faire ! Je t’attends de pied ferme pauvre vermisseau !
- Mais avec joie.

Heureusement que Seiya avait son casque sinon il aurait eu la tête complètement écrasée. Je ne sais pas contre qui je me battrai mais pour la demi-finale, celui qui se retrouvera dans l’arène contre moi ne sera pas en état de combattre de toute façon.

Oui Seiya, tu as bien mérité du repos, profites-en bien et tâche de revenir au tournoi en pleine forme car c’est moi que tu devras affronter au prochain combat et je serai le vainqueur.