Top - Citations de films de l'année 1986

Betty était comme un cheval sauvage qui s’était tranché les jarrets en traversant une barrière de silex.

J’ai fait une sacrée boulette, je m’en mors encore les doigts… c’est pas demain la veille que ça va me reprendre !

T’es toujours foutrement suave !

- Écoutez-moi messieurs les vertueux ! Je reconnais que mes méthodes sont un peu expéditives, et je comprends que cela vous choque, mais il faut voir les choses en face. Ce monde ne peut être gouverné que par le terreur et la force. Cette fille ne pourra jamais le protéger. Il faut être prêt à tout pour le défendre, sinon il sera détruit !
- Chevalier ! Si tu as raison, si ce monde ne connaît ni la justice, ni l’amour, s’il est uniquement gouverné par la force et la terreur, si le mal le ronge un peu plus chaque jour je pense qu’en effet… il mérite d’être détruit.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu viens de dire ?
- À quoi cela sert de vivre dans un monde aussi laid ?

Tu crois pas que ça ferait un mélange terrible ? Tout le regret du mal que je t’ai fait, et tout le plaisir du bien que je veux te faire.

L’enfer, c’est la suppression de la raison.

No sabe magnifico.

Dans mon slip j’ai un tatouage. Un tatouage en deux temps : quand il roupille c’est une grenade, quand il se réveille c’est une torpille. Est-ce que ça t’intéresserait de le voir ?

- Des poissons ! …
- Fievel reviens ici !
- J’vais chercher ma casquette papa !

Je suis prêt depuis que je suis né.

It’s better to burn out than to fade away!

Cette vie est une chienne de vie, tu travailles, tu travailles, tu vois des gens que tu n’aimes pas du tout, que tu ne connais pas, que tu ne veux même pas connaître. Et ils essaient de te vendre des trucs, tu essaies de leur vendre d’autres trucs, puis tu rentres à la maison, y a ta femme qui t’engueule, tes gosses qui se tapent dessus, tu mets la TV plus fort, tu fais semblant d’être crevé. Et le lendemain tu te lèves et tu recommences le même cirque. Je vais te dire, la seule chose qui me permettre de tenir le coup, de pas déprimer, d’être heureux de vivre, c’est d’avoir une fille comme toi qui embellisse mon jardin secret. Et cette fille est si jolie, si chaude, si sensuelle, ça me rend vraiment heureux. Et en plus il se trouve qu’elle a un cul formidable. Un cul en forme de cœur. Tu t’rends compte de la beauté d’ton cul ? T’imagines tout ce qu’il représente ? C’est vrai, t’es pas un mec.

L’unique façon dont tu puisses espérer être couché près de moi, c’est qu’on soit renversé par la même voiture.

La seule certitude qui nous reste, c’est la capacité d’agir de notre corps. Si j’aime, je bande. Si je ne bande pas, j’aime pas. C’est la seule façon de ne pas se conter d’histoires. Comme les femmes qui te disent : « Je t’aime comme au premier jour » et qui sont sèches comme du papier sablé, alors que tu les as connues mouillées au dernier degré juste après les avoir embrassées dans le cou.

L’amour, celui qui fait battre le cœur, qui fait envoyer des fleurs, c’est un sentiment qui dure deux ans. Après deux ans, les compromis commencent.

La question est de savoir : est-ce qu’on se résigne à être hétérosexuel parce qu’on est pas assez beau, ou bien si on embellirait en devenant homosexuel ? Grave question !

Le mensonge est la base de la vie amoureuse, comme c’est le ciment de la vie sociale.

Pour un homme qui n’a pas de pardon dans son cœur, vivre est châtiment plus dur que mourir.

- Hop, en cabane ! Et hop, bouchonnée !
- Laissez-moi, partir, j’veux sortir !
- C’est ça, qu’est-ce qu’t-en dis ? Bou !

Minou, minou, minou, c’est l’heure de la bouchée à la Reine ! Fais Ah !