Kaakook

Top - Citations de films et séries de tous les temps

La souffrance peut occuper une telle place qu’on en oublie le bonheur. Parce qu’on ne se rappelle pas avoir été heureux. Et puis, un jour, on ressent quelque chose d’autre, ça nous fait bizarre, seulement parce qu’on n’a pas l’habitude, et à ce moment précis, on se rend compte qu’on est heureux.

#341
9.35 (2010 votes)

- Je ne peux même pas imaginer la logique tordue qui vous a conduit à tirer sur un cadavre.
- Si j’avais tiré sur quelqu’un de vivant, il y aurait eu beaucoup plus de paperasse.

#342
9.35 (978 votes)

Il est où le « boum boum » ?

#343 9.35 (206 votes)

Il n’y a pas de mort digne ! Notre corps nous lâche parfois quand on a 90 ans parfois avant même qu’on vienne au monde mais ça arrive fatalement. Il n’y a jamais de dignité là dedans. Peu importe qu’on puisse marcher, voir ou se torcher les fesses tout seul c’est toujours une horreur, toujours. On peut vivre dans la dignité mais pas mourir.

#344
9.35 (484 votes)

Bonjour, messieurs, dames, les malades et leurs familles, afin de gagner du temps et d’éviter d’ennuyeux bavardages ultérieurs, je suis le Docteur Grégory House, appelez-moi Greg. Je suis l’un des trois médecins assurant les consultations ce matin. Ce rayon de soleil est le Docteur Lisa Cuddy. Le Docteur Cuddy dirige cet hôpital, alors malheureusement elle est trop occupée pour s’occuper de vous. Je suis un médecin, diagnosticien certifié avec double spécialité en maladie infectieuse et néphrologie. Je suis aussi le seul médecin de l’hôpital qui assure les consultations contre sa volonté. Mais soyez tranquille, pour la majorité d’entre vous, le travail pourrait être fait par un singe avec un flacon d’ibuprofène. À ce sujet, si vous êtes particulièrement enquiquinant vous risquez de me voire prendre ceci, c’est de la Vicodin. C’est à moi, vous n’en aurez pas ! Non, je n’ai pas de problème de gestion de douleur, j’ai un problème de douleur. Mais va savoir, peut-être que je me plante, peut être que je suis trop défoncé pour faire la différence. Bref, qui est ce qui veut de moi ?… Et qui est ce qui préfèrerait attendre l’arrivée d’un des deux autres médecins ? Si vous changez d’avis, je suis en salle d’examen numéro un !

#345
9.35 (855 votes)

Au fur et à mesure que grandissent les filles, elles se font enseigner un tas de choses. Si un garçon vous donne un coup de poing c’est qu’il vous aime, n’essayez jamais de vous coupez vous même votre propre frange, un jour vous rencontrerez un gars merveilleux et vous vivrez alors votre propre conte de fée.
Tous les films que nous voyons, toutes les histoires qu’on nous raconte nous implorent d’attendre que ça nous arrive. Le coup de théâtre du 3e acte…
la déclaration d’amour inattendu… l’exception qui confirme la règle. Mais nous sommes parfois si pressées de vivre notre conte de fée que nous n’apprenons pas à interpréter les signes. Comment faire la différence entre ceux qui sont intéressés par nous et ceux qui ne le sont pas ? Ceux qui resteront avec nous et ceux qui ne resteront pas ?
Il se peut que parfois le gars merveilleux ne fasse pas partie du conte de fée, il se peut que ce soit… vous… toute seule… qui vous reconstruisiez
et vous repartirez à zéro, vous vous rendrez ainsi disponible pour un meilleur avenir. Peut-être que le conte de fée c’est tout simplement… tourner la page… Ou peut-être que le conte de fée c’est le fait que en dépit de tous les appels retournés, les cœurs brisés… en dépit de toutes les gaffes et les signes mal interprétés… en dépit de tous les chagrins et les humiliations… vous n’ayez jamais, jamais perdu espoir.

#346
9.35 (376 votes)

- Et qu’est ce qui se passe si tu tombes amoureuse ?
- Oh… Me dis pas que tu crois à ces trucs là.
- J’te parle d’amour là, pas du Père Noël.

#347
9.35 (831 votes)

- Qu’est-ce que tu fumes Sanka man ?
- Je fume pas, j’expire.

#348
9.35 (282 votes)

Si tu veux être avec quelqu’un pour toujours, il faut vivre pour toujours.

#349
9.35 (1410 votes)

- Dis moi que tu m’aimes.
- Tu sais que je t’aime.
- Non ! Dis-le comme si tu donnerais ta vie pour moi, comme si rien d’autre ne comptait, comme si tout au monde tournait autour de moi. Comme si t’y croyais espèce de merdeux !

#350
9.35 (1544 votes)

- Hamlet est simplement un ado : Il est tenaillé par tous ses désirs, mais n’a pas assez de bouteille pour les assouvir. Il devient fou et se branle en pensant à Ophélie, et devient si emmerdant qu’il faut que quelqu’un le tue.
- Je ne suis pas sur d’être d’accord. Il n’y a pas de branlette dans Hamlet.
- Si, Il y en a. Plein même. Seulement ils appellent ça des monologues.

#351
9.35 (620 votes)

- Einstein disait que plus il étudiait l’univers, plus il pouvait croire en une puissance supérieure.
- Si y a quelque chose de supérieur, dis-nous, pourquoi cette chose te donne pas une nouvelle veste ?
- Elle est occupée à chercher ton cerveau peut-être !

#352
9.35 (404 votes)

- Arrêtez de regarder mes fesses quand vous croyez que je ne vous vois pas, arrêtez de vous pointer chez moi quand vous savez que je ne suis pas seule et arrêtez de fantasmer sur moi sous la douche. Ce navire a mit les voiles depuis longtemps, oubliez moi.
- Si vous faites toujours allusion à vos fesses, supertanker plutôt que navire serait une métaphore plus précise.
- Han han.

#353
9.35 (282 votes)

Quelqu’un entre dans notre vie et une partie de nous dit : « T’es tout sauf prêt ». Et l’autre partie dit : « Fait la tienne pour l’éternité ».

#354
9.35 (467 votes)

- C’est impossible.
- Seulement si tu crois que ça l’est.

#355
9.35 (778 votes)

Un jour quelqu’un ma dit « garde là pour toujours », c’est le « toujours » qui me pose problème.

#356
9.35 (451 votes)

L’homme que j’aimais est mort il y a trois mois.
Tant bien que mal, avant j’aimais la vie, parce qu’on l’avait en commun. Avant, j’aimais la vie, même sachant tout ce que je savais, car dans l’immensité du vide, il était là qui souriait. Aujourd’hui, je chéris un fantôme, un souvenir. Je pense encore à lui chaque jour, chaque minute, chaque seconde… Absurde constance. J’ai beau vivre, si on peut appeler ça vivre, j’ai beau baiser, et sortir… Je pense encore à lui. Je regarde les gens, leurs pas qui les emportent vers une finalité absente… Et au fond de moi-même, son image qui me hante. Je le connaissais mieux que personne. On avait le même état d’esprit, on méprisait la platitude et la médiocrité, on était prisonniers du fric et ça nous rendait dingues, et on ne savait pas pourquoi on existait. Maintenant, qu’il n’est plus là, je sais pourquoi j’existais.
J’existais pour lui.
Je suis faible, et j’ai l’impression que mon corps se meurt lentement. Seul mon esprit plein de souvenirs est encore vivace. Je préfère ressasser le bienheureux passé que de me contenter de ce présent de merde. Je n’oublierai pas ton visage, je n’oublierai jamais ta voix. Je me morfonds dans ma douleur.
Pauvre con, tu ne pouvais pas rouler moins vite.

#357
9.35 (512 votes)

L’amour, l’amour, l’amour. À quoi ça sert ? Absolument à rien…

#358
9.35 (418 votes)

Tu t’rappelles quand t’étais gamine, les livres de coloriages ? Moi j’les aimais pas. C’est vrais quoi, si j’ai envie de dessiner une maison, j’veux pas qu’un abruti décide à ma place à quoi elle doit ressembler !

#359
9.35 (770 votes)

- Pourquoi tu as fait ça ?
- À cause de ce que tu as dit toute à l’heure.
- Sur le bonheur ? Chuck, ce n’est pas le plus important ! Personne n’écrit de chanson sur la compatibilité, ou de romans sur les buts communs et les conversations intéressantes ! Les grands amours sont fous : « L’amour fou ! »
- On ne vit pas à Paris dans les années 20.
- Mais on le souhaiterait…
- Il y a une différence entre le grand amour et le vrai amour. J’ai quitté l’Empire State Building deux minutes après l’heure fatidique. Louis, lui a attendu toute la nuit. C’est ta chance d’être heureuse, tu as peur car ça ne t’ai jamais arrivé. Mais tu mérites ton conte de fée.
- On les construits nous même nos contes de fées.
- Quand il le faut. Pour toi c’est fait. Comment te sens tu ?
- Juste… horrible. Je ne me suis jamais sentie aussi mal.
- Coupable ? Moi aussi. C’est que je dois mûrir après tout.
- Je n’étais pas prête à t’oublier.
- Ne laisse personne te dire que tu es faible, tu es la plus fore que je connaisse.
- M’éloigner de toi me prive de toutes mes forces…
- Je sais. Mais je dois te laisser partir. Et toi aussi.
- Je t’aimerai toujours…
- Je t’aimerai toujours.

#360
9.35 (636 votes)

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