Top - Citations de films de l'année 1989

Je suis de retour du futur !

Je vais m’attaquer au deuxième plus grand mystère de l’univers : les femmes !

Marty : Lorraine ?
Lorraine : Mon Dieu, c’est ton père !
Marty : Mon père !
Biff Tannen : Toi, comment ça se fait que t’es pas en Suisse, sale petit merdeux ?
Marty : Mon père ?

- Son Gokû, je peux te parler une minute.
- Euh, Oui !
- Depuis quand tu connais des top modèles toi ? C’est pas plutôt une photo de Bulma que tu vas lui donner ?
- Mais…
- Non mais ça va pas la tête, t’es pas fou ? Tu devrais avoir honte de toi, pourquoi tu ne lui donnerais pas plutôt une photo de ChiChi à la place. J’en ai assez de te voir roder autour de ma femme, si tu continues, je te tue.
- Eh bien, tu devrais être plutôt content au contraire. Non, car si je lui donne une photo de ChiChi, c’est elle qui va me tuer.

Si au moins on pouvait en vouloir à quelqu’un, si même on pouvait croire qu’on sert à quelque chose, qu’on va quelque part. Mais qu’est ce qu’on nous a laissé ? Des lendemains qui chantent ? Le grand marché Européen ?
On a plus qu’a être amoureux comme des cons ! Et ça, c’est pire que tout.

Il y a tellement de trous sur la 1ere Avenue, on pensait pas que celui-là se remarquerait.

Ah cet Antoine, il fume dès qu’on l’asticote !

Papier, papier ? Bien sur que j’ai des papiers… Fuyez !

Les bijettes datent de l’époque préhystérique où les humains s’asseyaient tous en rond et se regardaient dans le blanc de l’œil… en déprimant à mort. Alors, ils ont inventé cette bijette stéréophonique pour faire de la musique ! Vous permettez ?

En latin, Jehovah commence par un I.

Cette ville a besoin d’un lavement !

Quand je regarde un sage je vois un fou. Mais quand je regarde dans le miroir, je vois un fou…

- Qu’est-ce que vous voulez ?
- Mon visage sur un billet de banque
- Vous devez plaisanter
- J’ai la tête de quelqu’un qui plaisante ?

C’est ça cours, cours plus vite salaud ! Et dis à tes petits blancs de merde de la compagnie que je ne vends pas. On ne va pas se laisser intimider !

- Biff, Biff ! Où est-ce que tu vas ?
- J’vais chercher ma voiture mémé !
- Quand est-ce que tu r’viens ? J’ai mal aux orteils ! Tu me feras un massage aux pieds !
- Oh, la ferme, vieille bique !

J’te préviens, je ne suis pas une ballerine !

- Qu’est-ce qui t’arrive petit ? Tu souris. On dirait que ce j’ai dit ne te fait pas peur.
- Je suis content car mon père n’a pas pu t’éliminer et il est mort mais maintenant, je vais pouvoir le venger.
- Je te préviens, j’ai beaucoup changé depuis la dernière fois. Avant de mourir, Son Goku m’a donné quelques cadeaux qui me seront très utiles et je compte bien en profiter, tu ne m’auras pas aussi facilement.

Si vous voulez subir le même sort, vous n’avez qu’à approcher !

Son Goku : Tu as gagné, Cell ! J’abandonne le combat, je reconnais que tu es plus fort que moi et je n’ai pas la moindre de te battre, toutes mes sincères félicitations, bravo !
Son Gohan : Non !
Vegeta : Il est devenu fou ?
Piccolo : Tu ne peux pas nous laisser tomber comme ça ?
Bulma : Mais ça ne lui ressemble pas de parler comme ça, il n’a jamais capitulé dans un combat.

- Papa, il n’y a plus de temps à perdre. Il faut que tu sauves la Terre avant qu’elle ne devienne un désert.
- Son Gohan, la Terre devra attendre encore un peu, je dois d’abord m’occuper de toi mon fils et ensuite, je m’occuperai de la terre.