Kaakook

Tag - culte

Pas forcément profond, intelligent ou drôle, juste culte. Bon, les dernières répliques ne sont peut-être pas encore cultes…

Nous sommes tous à la recherche de cette personne unique qui nous apportera ce qui nous manque dans notre vie. Et si on ne parvient pas à la trouver on n’a plus qu’a prier pour que ce soit elle qui nous trouve…

9.4 (3102 votes)

- Suis-je devenu fou ?
- Oui je pense Chapelier. Mais je vais te dire un secret : la plupart des gens bien le sont.

9.39 (1167 votes)

Je suis Chuck Bass, même les Européens doivent savoir ce que ça signifie.

9.38 (1613 votes)

2 mots. 7 lettres. Dis les moi, et je suis à toi.


Non je ne me fous pas de toi, Maman. J’arrive juste pas à m’intéresser à la population de l’Inde et de la Chine et à l’activité des cellules. Parce que, la seule chose à laquelle je pense, Maman, la seule chose qui me fait mal, c’est Maël et cette connasse de De Perfitte. Et comment je vais pouvoir leur faire aussi mal que ce qu’il m’ont fait mal, comment je vais pouvoir faire ça ? Comment ?

9.36 (1616 votes)

Cours Forrest, cours !

9.34 (717 votes)

Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises.

9.33 (658 votes)

Je suis sur le point de dire, probablement le truc le plus égoïste que je n’ai jamais dit de ma vie. J’ai juste à le dire une fois. Tu as besoin de l’entendre. Je t’aime Elena. Et c’est parce que je t’aime que… je ne peux pas être égoïste avec toi. Que tu ne peux pas savoir ça. Je ne te mérite pas. Mais mon frère, oui. Mon Dieu, j’aimerais tellement que tu n’aies pas à oublier ceci. Mais il le faut.

9.33 (1880 votes)

Avant, je me disais que ma vie était une tragédie. Je me rends compte que c’est une comédie.

9.32 (271 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

9.31 (442 votes)

Tout est provisoire : l’amour, l’art, la planète Terre, vous, moi. La mort est tellement inéluctable qu’elle prend tout le monde par surprise. Comment savoir si cette journée n’est pas la dernière ? On croit qu’on a le temps. Et puis tout d’un coup, ça y’est, on se noie, fin du temps réglementaire.
La mort est le seul rendez vous qui ne soit pas noté dans votre organizer.

9.29 (484 votes)

Personne ne bouge, j’ai perdu ma cervelle !

9.29 (620 votes)

Bouche toi les oreilles. Bouche toi les oreilles fort fort fort, encore plus fort ! Tu entends comme je t’aime ?

9.29 (3689 votes)

Stupide hobbit joufflu !

9.29 (270 votes)

À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-choses, et pourtant, nous jouissons d ’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel. Il est pourtant des circonstances où le critique prend un vrai risque : c’est lorsqu’il découvre et défend l’innovation. Le monde est souvent malveillant à l’encontre des nouveaux talents et de la création. Le nouveau a besoin d’amis. Hier soir, j’ai vécu une expérience inédite. J’ai dégusté un plat extraordinaire d’une origine singulière s’il en est. Avancer que son plat et son créateur ont radicalement changés l’idée que je faisait de la grande cuisine serait peu dire. Ils m’ont bouleversé au plus profond de mon être. Je n’ai jamais fais mystère du mépris que m’inspirait la devise d’Auguste Gusteau : « Tout le monde peut cuisiner ».
Mais ce n’est qu’aujourd’hui, aujourd’hui seulement que je comprends vraiment ce qu’il voulait dire. Tout le monde ne peut pas devenir un grand artiste. Mais un grand artiste peut surgir n’importe où. Il est difficile d’imaginer origine plus modeste que celle du génie qui officie maintenant chez Gusteau et qui est à nos yeux rien moins que le plus grand cuisinier de France. Je retournerai bientôt chez Gusteau, plus affamé que jamais.

9.29 (172 votes)

J’étais prêt à tourner la page mais c’est la page qui ne veut pas se tourner.

9.28 (3412 votes)

Quand on tire, on raconte pas sa vie.


Débrouille toi pour que ces pierres n’arrivent jamais au chantier. Pas d’pierre, pas d’construction. Pas d’construction, pas d’palais. Pas d’palais… pas d’palais.

9.27 (609 votes)

Moi je fais des petites bulles
Des belles bulles que j’crache en l’air
Elles sont si belles, volent jusqu’au ciel
Comme dans mes rêves, à la fin, elles crèvent
Ou se cache donc la chance, ça me met en transe
Moi je fais des petites bulles
Des belles bulles que je crache en l’air
UNITED !!
UNITED !!
UNITED !!

9.27 (249 votes)

Imagine que Martin Luther King ait dit : « J’ai fait un rêve… mais j’ai pas envie d’en parler ».

9.27 (716 votes)

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