Tag - culte

Ah ! Tu crois que l’obscurité est ton allié. Tu n’a fait qu’adopter la pénombre. Moi je suis né dedans, j’ai été façonné par elle. Je n’ai découvert la lumière qu’a l’âge d’homme, et alors, elle m’a juste paru AVEUGLANTE !

Le fil vert sur le bouton vert, le fil rouge sur le bouton rouge.

Les excuses c’est comme les trous de cul, tout le monde en a !

Dressez vous sans relâche jusqu’à ce que les moutons deviennent des lions.

On est mal, on est mal, on est mal !

Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd !

On ne devient plus fort qu’en affrontant un adversaire plus fort.

Je vais tellement t’enculer que quand tu bailleras on verra le jour !

Que trépasse si je faiblis !

Je ne peux pas vous promettre de vous ramenez tous en vie dans vos foyers. Mais je fais le serment devant vous et devant le Tout-puissant que lorsque nous irons nous battre je serai le premier à poser le pied sur le terrain et que je serai le dernier à partir et je n’abandonnerai personne sur le sol ennemi… mort ou vivant. Nous reviendrons tous ensemble chez nous. Je le jure devant Dieu.

Le monde est vaste et dur, pleins de rebondissements et on a tendance à cligner des yeux et à rater les instants essentiels.

Je veux qu’il meure, je veux que sa famille meure, je veux voir sa baraque en cendre, je vais aller là-bas au beau milieu de la nuit et pisser sur son cadavre.

Mes yeux se sont repus du glorieux sacrifice aux autres,
on s’est lavé dans le sang métisse et dans celui des négros,
Le tortionnisme sera démonté juif après juif,
La race blanche vas d’l’avant !

Azur, nos bêtes sont bondées d’un cri, je m’éveille songeant aux fruits noirs de l’amibe dans sa cupule verruqueuse et tronquée… Saint-John Perse.

- Je connais le Kung Fu.
- Prouve-le moi.

Que la paix accompagne ton envol.
Et que l’amour t’accueille à ton arrivée.
Que ton voyage se fasse sans encombre,
En attendant le dernier qui nous mènera sur terre.
Puissions-nous nous retrouver.

- Mais tu es Chuck Bass…
- Je ne suis pas Chuck Bass sans toi…

On me dit de me souvenir de l’idée et non de l’homme, parce que l’homme peut échouer, il peut être arrêté, il peut être exécuté et tomber dans l’oubli alors qu’après 400 ans, une idée peut encore changer le monde. Je connais d’expérience le pouvoir des idées. J’ai vu des hommes tués en leurs noms… et mourir en les défendant. Mais on ne peut embrasser une idée. On ne peut la toucher ou la serrer contre soi. Les idées ne saignent pas, elles ne ressentent pas la douleur… et elles ne peuvent aimer.

- Le traître n’est sûrement pas parmi nous.
- … Où est Will ?
- Pas parmi nous.

La fin fait partie du voyage.