Kaakook

Tag - culte

Pas forcément profond, intelligent ou drôle, juste culte. Bon, les dernières répliques ne sont peut-être pas encore cultes…

Si tu m’flingues en rêve tu me demandes pardon en t’réveillant.


- Toi tu peux apprendre, moi je veux posséder ce qui me revient.
- Et qu’est ce qui te revient à toi Tony ?
- Le monde, chico, et tout ce qu’il y a dedans.

8.73 (218 votes)

Ma vie s’éteint, la vue se brouille, il ne reste plus que le souvenir. Je m’souviens d’un temps ou régnait le chaos, un temps de rêves brisés, de terres dévastées… Mais par-dessus tout, je me souviens du guerrier de la route. L’homme que nous appelions Max. Pour comprendre qui était cet homme, il faut revenir à une autre époque. Quand le monde tournait au carburant noir et que florissaient dans les déserts de grandes cités de tubes et d’acier… Disparues, maintenant, balayées… Pour des raisons aujourd’hui oubliées, deux puissantes tribus entrèrent en guerre allumant un brasier qui les dévora toutes les deux. Sans carburant, elles n’étaient rien. Leur empire était de paille. Le grondement des machines hoqueta et s’éteignit. Les chefs parlèrent, et parlèrent… Et parlèrent encore. Mais rien ne pouvait endiguer le désastre. Leur monde s’écroula… Les villes explosèrent provoquant une tornade de pillages. Un vent brûlant de terreur ; L’homme commença à se nourrir de l’homme. Sur les routes régnait le cauchemar de la ligne blanche. Seuls les flibustiers les plus mobiles, les pillards les plus impitoyables survivaient… Les bandes prirent le contrôle des routes prêtes à se faire la guerre pour un bidon de carburant. Dans ce maelström de pourriture, le commun des mortels était brisé, écrasé. Des hommes comme Max, Max le guerrier. Dans le rugissement d’un moteur, il avait tout perdu… Et il devint un homme vidé, consumé, ravagé, un homme hanté par les démons de son passé, un homme qui errait sans but par les terres désolées. Ce fut ici, dans ce lieu maudit, qu’il réapprit à vivre…

8.72 (29 votes)

Mieux vaut régner en enfer qu’être esclave au paradis.

8.72 (68 votes)

Si ce jour-là, je ne t’avais pas connu, je pense que je n’aurais pas autant souffert. Je n’aurais pas été aussi triste, Je n’aurais pas versé tant de larmes. Néanmoins, si je ne t’avais pas connu, je n’aurais pas connu tant de bonheur, tant de gentillesse, tant d’amour, tant de chaleur, je n’aurais pas connu ce sentiment de bien-être. Est-ce que tu vas bien ? Moi… je suis toujours amoureuse du ciel.

8.72 (37 votes)

Je chiais la nuit, je chiais le jour ! Je chiais partout, je chiais toujours !

8.69 (120 votes)

Un homme qui ne passe pas de temps avec sa famille n’est pas vraiment un homme.

8.68 (225 votes)

Mesdames et messieurs, Harvard a maintenant l’immense fierté de détenir en sa possession le premier… shu-bang !

8.67 (80 votes)

Bande de bâtards, bande de bande de bâtards, votez pour Ali G ce gros bâtard d’Ali !

8.67 (80 votes)

La cuillère n’existe pas.

8.66 (109 votes)

Il se mit à faire plus noir que dans le cul d’un taureau par une nuit sans lune.

8.65 (131 votes)

Le présent s’est envolé… les fantasmes font parti de la réalité… et on enlève les freins… on pense clairement et pourtant, on ne pense pas… et c’est là qu’on semble bien. On arrête d’essayer de tout maitriser. Des flots tièdes de substances chimiques en nous… on fluctue. Est-ce l’effet de lésions cérébrales ? On est dans les nuages à présent. On est grand ouvert. On est des spationautes en orbite autour de la terre… ouais… tout le monde a l’air… a l’air superbe ici… ivre d’émotion. On désire l’inatteignable. On met notre santé mentale en péril pour quelques instants de clairvoyance. Tant d’idées… si peu de mémoire.
La dernière pensée est tuée par anticipation de la prochaine. On est saisi par un irrésistible sentiment d’amour. On flotte… à l’unisson. On est ensemble. J’aimerais que ce soit vrai. On veut un niveau universel d’harmonie… où on se sentirait à l’aise, avec tout le monde… On est en rythme. Élément d’un mouvement. Un mouvement d’évasion.

8.65 (42 votes)

Chère Karen,

Si tu lis cette lettre, ça veut dire que j’ai finalement eu le courage de la poster et c’est tant mieux pour moi. Tu ne me connais pas très bien mais une fois lancé j’ai tendance à parler pendant des heures de mes difficultés d’écrivain, mais c’est la chose la plus difficile que j’ai jamais eu à écrire de toute ma vie ; il n’y a pas de façon simple de dire ça alors j’vais m’lancer. J’ai rencontré quelqu’un par accident, j’l’avais pas prévu ça m’est tombé d’ssus par surprise et ça a été le coup d’foudre, elle a dit un truc j’en ai dit un autre et l’instant d’après je voulais passer le reste de ma vie dans cette conversation. Je sens tout au fond de moi que ça pourrait être la femme de ma vie. Elle est complètement dingue d’une façon qui m’fait sourire, elle est vraiment disjonctée et cela demande qu’on s’occupe d’elle en permanence, cette fille c’est toi Karen. Ça c’est la bonne nouvelle, la mauvaise c’est que je ne sais pas comment faire pour être avec toi en c’moment et ça m’fiche vraiment la trouille parce que si je ne suis pas à tes cotés maintenant j’ai le sentiment qu’on va s’perdre de vue. C’est un monde vaste et dur, plein d’imprévus et il suffit de cligner des yeux pour manquer le moment essentiel, le moment qui aurait pu tout changer, je ne sais pas ce qui se passe entre nous je ne sais pas te dire pourquoi tu devrais me faire une confiance aveugle, mais bon dieu tu sens bon comme des gâteaux fait maison et ton café est excellent c’est tout de même pas rien tout ça. Appelle moi.

Infidèlement tiens Hank.

8.65 (101 votes)

Les grands hommes ne naissent pas dans la grandeur, ils grandissent.

8.65 (145 votes)

Tout ce que je suis à présent, c’est un homme à la recherche de sa femme et de son fils.

8.62 (84 votes)

C’est ma main qui fait sourire la Joconde.

8.6 (104 votes)

Demain est un autre jour.


My father made him an offer he couldn’t refuse.


Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence.

8.59 (196 votes)

Les idéaux sont pacifiques. L’Histoire est violente.

8.59 (54 votes)

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