Kaakook

Tag - culte

Pas forcément profond, intelligent ou drôle, juste culte. Bon, les dernières répliques ne sont peut-être pas encore cultes…

- Tu faisais quoi, tu te masturbait ? Tu pensais à quoi ?
- À toi ! Non c’est bon, l’intimité et la pudeur, tu connais ?
- Olàlà… Je t’ai porté la, alors c’est pas à moi que tu vas faire le couplet sur l’intimité entre les gens hein !
- Mais tu me fais chier ! Tu me fais chier ! Tu me fais chier ! J’en ai marre là ok ? Putain, tu m’emmerdes, OK ? Putain ! Moi, si ça continue, j’appelle Enfance Maltraitée !
- Et bah appelle-les ! Appelle ! Tu vas te retrouver dans un foyer et tu seras bien content !
- Tu m’emmerdes, tu m’emmerdes ! Oui, je serai bien content, parce que toi, tous les jours, tu me casse les couilles avec ta branlette ! Tu m’emmerdes ! Tu m’emmerdes ! Putain ! On peut même plus se branler tranquille dans cette maison !

9.08 (219 votes)

Rappelez vous Bilbon, le vrai courage n’est pas de savoir quand supprimer une vie, mais quand en épargner une.

9.08 (55 votes)

Un chien se fiche éperdument des grosses voitures des belles maisons ou des vêtements de marque. Un morceau de bois mordillé ça lui va très bien. Les chiens se moquent que vous soyez riches ou pauvres, beaux ou laids, intelligents ou bêtes, donnez lui de l’amour et il vous en donnera. Combien d’humains sont capables de ça ? Combien de gens sont capables de vous donner le sentiments que vous compter vraiment pour eux ? Combien de gens arrivent à vous donner l’impression que vous êtes unique au monde ?

9.07 (774 votes)

- Euh murray, une toute petite requête.
- Ouais.
- Quand vous m’appellerez sur le plateau vous pourriez me présenter sous le nom de « Joker » ?

9.07 (98 votes)

Ici Gossip Girl, celle qui révèle au grand jour ce que l’élite New-Yorkaise se donne tant de mal à cacher.

9.06 (297 votes)

C’est à ce moment précis que j’ai commencé à penser à Thomas Jeffersen, à la déclaration d’indépendance, à la partie sur le droit de chacun à la vie, à la Liberté et à la poursuite du bonheur. Et je me souviens m’être dit,
comment a-t-il eu l’intuition de mettre l’idée de poursuite là-dedans ? Comme si le bonheur était une chose que l’on ne peut que poursuivre et éventuellement ne jamais atteindre peu importe les circonstances…
Comment a-t-il su ?

9.03 (248 votes)

- Dites, vous pourriez pas m’en débarasser ?
- Euh… il est con ! C’est un asile de fous, pas un asile de cons. Il faudrait construire des asiles de cons, mais vous imaginez un peu la taille des bâtiments…

9.01 (415 votes)

Plus de rembourrage pour le bourrage !

9.01 (111 votes)

C’est comme ça qu’on voit si on se plaît avec une personne, quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute et profiter du silence.

9 (392 votes)

- Hello there!
- General Kenobi.


Carpe diem !

8.99 (525 votes)

N’as-tu jamais fait un de ces rêves qui ont l’air plus vrai que la réalité ? Si tu étais incapable de sortir d’un de ces rêves, comme ferais-tu la différence entre le monde réel et le monde des rêves ?

8.99 (139 votes)

On ne lit pas et on n’écrit pas de la poésie parce que ça fait joli. Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de la race humaine ; et que cette même race foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l’industrie sont de nobles occupations, et nécessaires pour la survie de l’humanité. Mais la poésie, la beauté et la dépassement de soi, l’amour : c’est tout ce pour quoi nous vivons. Écoutez ce que dit Whitman : « Ô moi ! Ô vie !… Ces questions qui me hantent, ces cortèges sans fin d’incrédules, ces villes peuplées de fous. Quoi de bon parmi tout cela ? Ô moi ! Ô vie ! ». Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l’identité. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime… Quelle sera votre rime ?

8.98 (443 votes)

Deux petites souris tombent dans un seau de crème. La première souris abandonne très vite et se noie, la deuxième se débat tellement fort qu’elle change la crème en beurre. À partir de maintenant je suis cette deuxième souris.

8.98 (127 votes)

Spartiates ! Mangez vos victuailles avec appétit… Car nous dînerons en enfer ce soir !


Remember, remember, the 5th of November. The gunpowder treason and plot. I know of no reason why the gunpowder treason should ever be forgot.
But what of the man? I know his name was Guy Fawkes… And I know in 1605, he attempted to blow up the Houses of Parliament. But who was he really? What was he like? We are told to remember the idea and not the man because a man can fail.
He can be caught, he can be killed and forgotten.
But 400 years later an idea can still change the world. I have witnessed firsthand the power of ideas. I’ve seen people kill in the name of them and die defending them.
But we cannot kiss an idea, cannot touch it or hold it. Ideas do not bleed, they do not feel pain. They do not love. And it is not an idea that I miss. It is a man. A man that made me remember the 5th of November. A man that I will never forget.

8.96 (57 votes)

Sans toi les émotions d’aujourd’hui ne sont que la peau morte des émotions d’autrefois.

8.91 (515 votes)

- Maximus, Maximus, Maximus. Ils te réclament , le général qui est devenu un esclave, l’esclave qui est devenu gladiateur, le gladiateur qui défia un empereur. Une histoire extraordinaire. Maintenant le peuple veut savoir comment elle se termine. Et quelle plus belle fin qu’une mort illustre, quoi de plus glorieux que de défier l’empereur lui même dans la grand arène…
- Tu te battrais avec moi ?
- Pourquoi pas ? Tu crois que j‘ai peur ?
- Je crois que tu as eu peur toute ta vie !
- Contrairement a Maximus l’invincible, qui ne connaît pas la peur ?!
- J’ai connu un homme qui a dit « La mort nous sourit à tous, tout ce qu’on peut faire c’est sourire à la mort ».
- Je me demande si ton ami a souri à sa propre mort…
- Tu devrais le savoir, c’était ton père !
- Tu aimais mon père je le sais, mais moi aussi. Ce qui fait de nous des frères n’est-ce pas ? [Comode s’approche et enfonce un couteau dans le dos de Maximus] Souris moi maintenant mon frère !

8.9 (181 votes)

Elle se droguait comme un homme, mais faisait l’amour comme une femme.

8.9 (63 votes)

La différence entre toi et moi, c’est que moi j’ai la classe.

8.89 (180 votes)

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