Kaakook

Tag - belle phrase

Les belles phrases, les répliques bien tournées.

- Do you have messenger ?
- No, no we don’t…
- You, you don’t ?
- No, we don’t…
- Bah, they don’t !

9.36 (1056 votes)

La solitude est un sentiment ressenti par tellement de gens, qu’il serait égoïste de le ressentir tout seul.

9.36 (1267 votes)

Dans la nuit qui m’environne,
Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Je loue les Dieux qui me donnent
Une âme, à la fois noble et fière.
Prisonnier de ma situation,
Je ne veux pas me rebeller.
Meurtri par les tribulations,
Je suis debout bien que blessé.
En ce lieu d’opprobres et de pleurs,
Je ne vois qu’horreur et ombres
Les années s’annoncent sombres
Mais je ne connaîtrai pas la peur.
Aussi étroit soit le chemin,
Bien qu’on m’accuse et qu’on me blâme
Je suis le maître de mon destin,
Le capitaine de mon âme.

9.36 (365 votes)

Tu veux qu’j’te raconte le plus beau jour de ma vie ? Chez les Louvteaux.
J’avais pas pu me retenir, j’m’étais pissé dessus, on était coincé dans une pièce depuis des plombes. J’essayais, de sortir de là tu vois, c’est tout. Mais y’avait un p’tit qui m’barrait le chemin. On aurait dit que ça l’amusait tu vois de me couper la route. Alors j’l’ai traité de tête de con et j’lui ai dit de me laisser passer, « tête de con ». Alors là un silence de mort parce que j’l’ai traité de tête de con, et ils se sont tous mis à rire, tous !
J’arrivais pas à savoir si c’était à cause des gros mots, ou parce qu’ils avaient vu que mon short était mouillé, j’ai voulu cacher la tâche avec mes mains, sauf que ça a attiré leur attention dessus et ils étaient tous mort de rire.
Mais y avait Peter, mon frère, il était le plus jeune de tous les chef de meutes, c’est eux qui donnent les ordres, qui gèrent. Alors en bon chef de meute, il s’est levé et là ils l’ont regardé lui, pas moi et ensuite il m’a pris la main et m’a conduis aux toilettes et ensuite il m’a aidé à enlever mon short et il m’a nettoyé, puis il a enlevé le sien et il me l’a mis. Ensuite, il m’a fait un bisou sur la joue, il a pris ma main, et on est sorti des toilettes. Il était en slip lui. Mais non, personne n’a rigolé. Le plus beau jour de ma vie.

9.36 (1128 votes)

J’ai aimé un être de tout mon cœur et de toute mon âme et pour moi c’est plus que suffisant.

9.36 (727 votes)

Jack : Les amis ! À quoi servent les clés au juste ?
Joshamee Gibbs : Les clés déverrouillent… des trucs ?
Un matelot : Et quoi que cette clé déverrouille, à l’intérieur il y a sûrement un objet de valeur, alors on va chercher à savoir ce que cette clé déverrouille ?!
Jack : Non. Parce que sans la clé, on ne déverrouillera pas ce qu’on a à déverrouiller, alors à quoi servirait-il de trouver d’abord ce qu’il faut qu’on déverrouille, à supposer qu’on le trouve, avant même d’avoir trouvé la clé qui le déverrouille ?
Un matelot : Alors… Il faut trouver la clé !
Jack : Ce que tu dis n’a aucun sens.

9.36 (130 votes)

- Tu m’aimes comment ?
- Je t’aime jusqu’aux étoiles !

9.36 (1021 votes)

La peur d’un nom ne fait qu’accroître la peur de la chose elle-même.

9.36 (272 votes)

Je n’aime plus le monde dans lequel je vis ! Et tous les gens autour de moi… et l’inertie de mon existence qui se dérobe sous mes pas, sans que je puisse l’en empêcher… J’ai l’horrible impression d’être dans une pièce pleine de monde et j’ai beau hurler comme une folle, il n’y a personne qui se soucie de moi !

9.35 (761 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

9.32 (443 votes)

Vous croyez que seuls les vivants sont en mesure de porter un jugement sur vous parce que les morts n’ont aucun emprise sur votre âme ?

9.32 (93 votes)

- Noooon.
- Paradis…
- Ne restons pas là. Ouvre les yeux, regarde-moi. Je suis vivante. Il faut que tu recules.
- Bella. Tu es là.
- Je suis là.
- Bella.
- Oui… Il fallait absolument que tu me vois. Il fallait que tu saches que je suis vivante, que tu n’as pas à te sentir coupable. Je suis prête à vivre sans toi.
- Je n’ai pas fait ça parce que je me sentais coupable. Je ne peux vivre dans un monde où tu n’existes pas.
- Mais tu as dit…
- J’ai menti. Il le fallait. Pourtant tu m’as cru sans hésiter.
- Parce qu’il n’y avait pas de raison pour que tu m’aimes. Je veux dire je… je suis une simple humaine. Je ne suis rien.
- Bella, tu es tout pour moi. Tout ce qui importe.

9.32 (507 votes)

C’est le genre de mission où l’on reçoit des médailles. Mais ce sont nos familles qui les reçoivent.

9.31 (442 votes)

La vérité c’est qu’on s’emmerde profondément parce qu’on a plus rien à désirer.

9.31 (366 votes)

Je peux être entouré d’une mer de gens et quand même me sentir seul.

9.31 (279 votes)

- Rafe, fais-moi plaisir.
- Quoi ?
- N’inverse pas les lettres sur ma pierre tombale.
- Tu vas pas mourir, tu m’entend ? Regarde moi Danny, tu peux pas mourir, t’as pas le droit, tu sais pourquoi ? Tu vas être papa, Danny. Tu vas avoir un enfant, il fallait pas que je te le dise.
- Nan, c’est toi.

9.31 (451 votes)

- J’ai pas envie de faire d’erreurs.
- Faut pas appartenir à l’espèce humaine alors, deviens canard.

9.31 (1096 votes)

La première fois que je les ai vu, j’ai cru qu’ils avaient débarqués d’une autre planète. Je ne pouvais pas m’arrêter de les regarder. J’étais encore petite quand ma mère m’emmena les voir s’entraîner dans le quartier. Ça a rapidement eu de plus en plus de succès. Très vite, les meilleurs danseurs sont venus de partout pour se mesurer les uns aux autres dans ce qu’ils allaient appeler la « danse de rue ». Ce fut une révolution, et j’allais en être un des spectateurs privilégié. Je rêvais de glisser, de sauter, de m’envoler comme eux. Mais je n’ai pas eu une enfance facile. Ma mère me disait « accroches-toi, sois toi-même, ne te prends pas pour quelqu’un d’autre, la vie est trop courte. » Elle avait raison. J’avais 16 ans quand elle est tombée malade. Elle mourut en quelques mois. Et tout mon univers s’en trouva bouleversé, y comprit la rue, et la danse…

9.3 (190 votes)

Ainsi avons nous commencé à découvrir leurs vies. À acquérir des souvenirs communs que nous n’avions pas vécu. Nous avons compris l’emprisonnement que c’est d’être une fille, qui vous oblige sans cesse à réfléchir et à rêver, et fini par vous apprendre à marier les couleurs. Nous avons appris que les filles sont des femmes déguisée. Qu’elles comprennent l’amour et même la mort. Et que notre seule tâche est de produire le bruit de fond qui semble les fasciner. Nous avons appris qu’elles savent tout de nous, et qu’elles nous demeurent insaisissable.

9.3 (176 votes)

Y’a un truc étonnant chez toi Poppy Moore, dès que j’suis près d’toi, j’retiens mon souffle.

9.3 (148 votes)

Haut de page