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Tag - belle phrase

Les belles phrases, les répliques bien tournées.

Si tu sautes, moi je saute pas vrai ?

9.33 (1333 votes)

Peut-être donnons-nous tous le meilleur de nous-mêmes à ceux qui de leur côté, ne nous accordent que rarement une de leurs pensées.

9.29 (1393 votes)

Attendre après toi c’est comme attendre après la pluie durant cette sécheresse : inutile et désappointant.

9.11 (416 votes)

Mais vous savez, on peut trouver du bonheur même dans les endroits les plus sombres. Il suffit de se souvenir d’allumer la lumière.

9.38 (937 votes)

J’étais très bien comme j’étais, occupé à me détruire, et puis tu t’es pointée et tu m’as dis de me bouger, et pour la première fois de ma vie j’ai eu l’impression que quelqu’un en avait quelque chose à foutre de ma gueule et que cette personne méritait que je fasse des efforts. Aujourd’hui, je pulvériserai le record du plus gros sandwich si tu me le demandais, je tabasserais les mamies, je remplirais de soda les fleuves du pays… J’ai merdé sur toute la ligne je l’admets, t’imagines pas comme je regrette. Je t’aime Jal, t’es tout ce que j’ai au monde… T’as de la morve qui est entrain de couler.

9.34 (1679 votes)

La plupart des gens disent qu’on a besoin d’amour pour vivre. En fait, on a surtout besoin d’oxygène.

9.33 (2816 votes)

Avant, je me disais que ma vie était une tragédie. Je me rends compte que c’est une comédie.

9.32 (271 votes)

Happiness only real when shared.


Tu attends un train. Un train qui va t’emmener loin d’ici. Tu sais où tu espères qu’il te conduira, mais tu ne peux pas en être sûr. Mais tu t’en moques car nous serons toujours ensemble.

9.2 (289 votes)

Toutes les fois où je déprime en voyant ce qui se passe dans le monde, je pense à la zone d’arrivée des passagers de l’aéroport de Londres ; de l’avis général nous vivons dans un monde de haine et de cupidité. Je ne suis pas d’accord. J’ai plutôt le sentiment que l’amour est présent partout ; il n’y a pas toujours de quoi en faire un roman mais il est bien là : père et fils, mère et filles, mari et femme, copains, copines, vieux amis…
Quand les deux avions ont frappé les tours Jumelles, à ma connaissance aucun des appels téléphoniques de ces gens qui allaient mourir ne contenaient de message de haine ou de vengeance. C’étaient tous des messages d’amour.
Si vous cherchez bien, j’ai la désagréable impression que vous constaterez qu’en définitive, nous sommes cernés par l’amour.

9.17 (401 votes)

La passion et les rêves sont comme le temps, rien ne peut les arrêter et il en sera ainsi tant qu’il y aura des hommes prêts à donner un sens au mot « liberté ».

8.77 (96 votes)

Voyez cela je vois mon père.
Voyez cela je vois ma mère et mes sœurs et mes frères.
Voyez cela je vois tous mes ancêtres qui sont assis et me regardent.
Et voilà, voilà qu’ils m’appellent et me demandent de prendre place à leurs côtés dans le palais de Valhalla là ou les braves vivent à jamais.

8.26 (220 votes)

Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur de ne pas avoir assez vécu.

9.41 (1373 votes)

C’est tellement plus simple de fuir que de se battre pour ce qu’on veut vraiment.

9.4 (950 votes)

J’ai rencontré un garçon, il m’a un peu tourné la tête. Fortissimo même… Tu vois le requiem de Fauré ?! Bah être avec lui c’est pareil c’est fort c’est pur.

9.37 (929 votes)

- Où va t-on mademoiselle ?
- Dans les étoiles !

9.35 (1312 votes)

La souffrance peut occuper une telle place qu’on en oublie le bonheur. Parce qu’on ne se rappelle pas avoir été heureux. Et puis, un jour, on ressent quelque chose d’autre, ça nous fait bizarre, seulement parce qu’on n’a pas l’habitude, et à ce moment précis, on se rend compte qu’on est heureux.

9.35 (2010 votes)

T’es cap toi de faire pleurer une fille le jour de son mariage, de rire quand t’es malheureux, de te taire pendant dix ans ? Dis moi, t’es cap’ ?

9.31 (1866 votes)

La plus grande vérité qu’on puisse apprendre un jour est qu’il suffit d’aimer et de l’être en retour…


À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-choses, et pourtant, nous jouissons d ’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel. Il est pourtant des circonstances où le critique prend un vrai risque : c’est lorsqu’il découvre et défend l’innovation. Le monde est souvent malveillant à l’encontre des nouveaux talents et de la création. Le nouveau a besoin d’amis. Hier soir, j’ai vécu une expérience inédite. J’ai dégusté un plat extraordinaire d’une origine singulière s’il en est. Avancer que son plat et son créateur ont radicalement changés l’idée que je faisait de la grande cuisine serait peu dire. Ils m’ont bouleversé au plus profond de mon être. Je n’ai jamais fais mystère du mépris que m’inspirait la devise d’Auguste Gusteau : « Tout le monde peut cuisiner ».
Mais ce n’est qu’aujourd’hui, aujourd’hui seulement que je comprends vraiment ce qu’il voulait dire. Tout le monde ne peut pas devenir un grand artiste. Mais un grand artiste peut surgir n’importe où. Il est difficile d’imaginer origine plus modeste que celle du génie qui officie maintenant chez Gusteau et qui est à nos yeux rien moins que le plus grand cuisinier de France. Je retournerai bientôt chez Gusteau, plus affamé que jamais.

9.29 (172 votes)

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