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Les belles citations.

Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.

9.29 (593 votes)

La perversion c’est une affaire de goût, c’est comme la bouffe chinoise : on aime ou on n’aime pas. N’empêche que quand on est chinois on a pas le choix !

9.26 (1137 votes)

Pick me, choose me, love me.

9.23 (977 votes)

J’ai jamais eu l’impression de te manquer. Et je crois qu’à force, t’as arrêté de me manquer aussi.

9.23 (1022 votes)

Tenez vos positions, tenez vos positions. Fils du Gondor et du Rohan, mes frères. Je lis dans vos yeux la même peur qui pourrait saisir mon cœur. Un jour peut venir où le courage des hommes faillira où nous abandonnerons nos amis et briserons tout lien. Mais ce jour n’est pas arrivé ! Ce sera l’heure des loups et des boucliers fracassés lorsque l’age des hommes s’effondrera. Mais ce jour n’est pas arrivé. Aujourd’hui nous combattrons pour tout ce qui nous est cher sur cette bonne terre. Je vous ordonne de tenir, hommes de l’ouest.

9.21 (393 votes)

Toutes les fois où je déprime en voyant ce qui se passe dans le monde, je pense à la zone d’arrivée des passagers de l’aéroport de Londres ; de l’avis général nous vivons dans un monde de haine et de cupidité. Je ne suis pas d’accord. J’ai plutôt le sentiment que l’amour est présent partout ; il n’y a pas toujours de quoi en faire un roman mais il est bien là : père et fils, mère et filles, mari et femme, copains, copines, vieux amis…
Quand les deux avions ont frappé les tours Jumelles, à ma connaissance aucun des appels téléphoniques de ces gens qui allaient mourir ne contenaient de message de haine ou de vengeance. C’étaient tous des messages d’amour.
Si vous cherchez bien, j’ai la désagréable impression que vous constaterez qu’en définitive, nous sommes cernés par l’amour.

9.15 (404 votes)

J’ai toujours dit que je vivais 500 mètres par 500 mètres, et je crois que c’est pour ça qu’on était comme deux frères, parce que toi aussi. [] Peu importe où tu es, que ça soit à 500 mètres, ou à l’autre bout du monde… tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère.

9.13 (380 votes)

Parce qu’il est le héros que Gotham mérite. Pas celui dont on a besoin aujourd’hui… Alors nous le pourchasserons. Parce qu’il peut l’endurer. Parce que ce n’est pas un héros. C’est un Gardien silencieux… qui veille et protège sans cesse. C’est le Chevalier Noir.

9.07 (204 votes)

- Pourquoi le semi homme ?
- Je ne sais pas. Saroumane pense que seul un grand pouvoir peut tenir le mal en échec, mais ça n’est pas ce que j’ai découvert. Je crois que ce sont les petites choses, les gestes quotidiens des gens ordinaires qui nous préservent du mal… de simples actes de bonté et d’amour !! Pourquoi Bilbon Sacquet, peut être par ce que j’ai peur et qu’il me donne du courage !!

9.03 (175 votes)

Si tu veux quelque chose dans la vie, prends le.

8.97 (474 votes)

- Pourquoi la lune est-elle aussi solitaire ?
- Pourquoi ?
- Elle avait un amant.
- Tu racontes ça à tes élèves ?
- Non. Il se nommait Kuekuachu et il vivait dans le monde des esprits avec elle.
- Ah c’est du vécu, d’accord.
- Et toutes les nuits, ensemble, ils sillonnaient les cieux. Mais un des autres esprits en éprouvait de la jalousie, Langue Fourchue voulait la lune pour lui tout seul. Il a donc dit à Kuekuachu que la lune voulait qu’il lui offre des fleurs, qu’il devait faire le voyage jusqu’à notre monde pour lui cueillir des roses. Mais Kuekuachu ignorait que celui qui laisse le monde des esprits derrière lui ne peut pas y revenir. Et toutes les nuits depuis, il contemple le ciel, voit la lune et il hurle son nom. Mais il ne peut plus la toucher.
- Ah Kukukachu s’est fait eu alors.
- Kuekuachu. Qu’on nomme aussi Wolverine.

8.86 (122 votes)

Il y a une marée dans les affaires des hommes. Prise dans son flux, elle porte au succès. Mais si l’on manque sa chance, le grand voyage de la vie s’échoue misérablement sur le sable. Or, aujourd’hui, nous sommes à marée haute. Prenons le flot tant qu’il est favorable ou tout ce que l’on a risqué sera perdu.

8.78 (227 votes)

Les mots sont comme des pierres dans mon cœur.

8.74 (197 votes)

Les amis d’enfance… Si vous vous en débarrassez pas à l’adolescence, c’est un truc que vous trainez toute votre vie.

8.49 (96 votes)

The lily means… “I dare you to love me”.

8.16 (28 votes)

Les arts martiaux peuvent être une forme de force bestiale, mais dans notre système d’art martial Chinois il y a d’inclus beaucoup d’idéaux et de philosophie. Les règles des arts martiaux sont aussi compassion, aider les autres. C’est cela que vous Japonnais ne comprendrez jamais. Parce que vous utilisez cette force et la changez dans un pouvoir brutal pour terroriser les autres. C’est pourquoi vous ne serez jamais prêt à apprendre les arts martiaux Chinois.

7.29 (38 votes)

Il faut que ça sorte les enfants.

4.72 (26 votes)

N’aie pas pitié des morts Harry, aie pitié des vivants et en particulier de tous ceux qui vivent sans amour.

9.48 (793 votes)

Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !!

9.41 (864 votes)

- Qui êtes-vous ?
- Qui ? « Qui » n’est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu’est-ce-que », et ce que je suis c’est un homme sous un masque.
- Ça je vois…
- De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l’observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est.

9.41 (900 votes)

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