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Tag - amour

Les répliques qui parlent d'amour !

Je suis ta princesse,
tu veux m’baiser les mains,
tu me veux dans tes draps,
tu veux me prendre dans tes bras,
tu me veux que pour toi,
tu veux m’aimer m’épouser…

8.69 (51 votes)

On baise ensemble, on trinque ensemble, mais on va pas tomber pas amoureux quand même !

8.68 (248 votes)

C’est le secret profond que nul ne connaît. C’est la racine de la racine. Le bourgeon du bourgeon et le ciel du ciel d’un arbre appelé Vie, qui croît plus haut que l’âme ne saurait espérer ou l’esprit le cacher. C’est la merveille qui maintient les étoiles éparses. Je garde ton cœur… Je l’ai dans mon cœur.

8.49 (43 votes)

Si jamais il y a une chose à laquelle tu tiens par dessus tout, n’essaie pas de la retenir, si elle te revient, elle sera à toi pour toujours, si elle ne revient pas, c’est que dès le départ, elle n’était pas faite pour toi…

8.45 (87 votes)

Il n’y a aucune différence entre cette vie et la suivante, puisque nous sommes nés de la précédente.

7.27 (12 votes)

- After all this time?
- Always.


- Pourquoi t’es plus en Europe ?
- Je suis allé à paris mais seulement pour acheter tes macaron préféré chez Pierre Ermé.
- Et en Allemagne ?
- Pour trouver ta marque de bas favoris tu sais combien je les aime.
- Je peux savoir ce que tu fais là ?
- Tu avais raison j’ai été lâche de m’enfuir encore une fois. Partout où j’allais je ne pensais qu’a toi. Il faillait donc que je rentre.
- J’aimerai pouvoir te croire mai tu m’as fais souffrir trop souvent.
- Je te jure que tu peux me croire cette fois.
- Oh… Et c’est tout ?
- … Je t’aime aussi.
- Allez dis-le encore… Non je suis sérieuse redis-le.
- Je t’aime, je t’aime ça fait trois fois. Je t’aime.
- Je t’aime.

9.39 (1012 votes)

Moi, j’ai envie de croire aux contes de fées. Au moins, tout finit bien dans ces histoires là.

9.36 (1609 votes)

Je l’aime, je l’aime, je l’aime…

9.36 (832 votes)

Le seul moment où je n’ai pas froid c’est quand je pense à toi…

9.35 (499 votes)

Au fur et à mesure que grandissent les filles, elles se font enseigner un tas de choses. Si un garçon vous donne un coup de poing c’est qu’il vous aime, n’essayez jamais de vous coupez vous même votre propre frange, un jour vous rencontrerez un gars merveilleux et vous vivrez alors votre propre conte de fée.
Tous les films que nous voyons, toutes les histoires qu’on nous raconte nous implorent d’attendre que ça nous arrive. Le coup de théâtre du 3e acte…
la déclaration d’amour inattendu… l’exception qui confirme la règle. Mais nous sommes parfois si pressées de vivre notre conte de fée que nous n’apprenons pas à interpréter les signes. Comment faire la différence entre ceux qui sont intéressés par nous et ceux qui ne le sont pas ? Ceux qui resteront avec nous et ceux qui ne resteront pas ?
Il se peut que parfois le gars merveilleux ne fasse pas partie du conte de fée, il se peut que ce soit… vous… toute seule… qui vous reconstruisiez
et vous repartirez à zéro, vous vous rendrez ainsi disponible pour un meilleur avenir. Peut-être que le conte de fée c’est tout simplement… tourner la page… Ou peut-être que le conte de fée c’est le fait que en dépit de tous les appels retournés, les cœurs brisés… en dépit de toutes les gaffes et les signes mal interprétés… en dépit de tous les chagrins et les humiliations… vous n’ayez jamais, jamais perdu espoir.

9.35 (376 votes)

Quelqu’un entre dans notre vie et une partie de nous dit : « T’es tout sauf prêt ». Et l’autre partie dit : « Fait la tienne pour l’éternité ».

9.35 (467 votes)

C’est vrai, perdre ce dont on rêve est tragique, mais réaliser ses rêves, je pense qu’on ne peut rien souhaiter de mieux. Cette année j’ai rêvé de trouver l’amour, de plonger mon âme dans une autre, réveiller un cœur anesthésié par la peur de souffrir. Mon rêve s’est réalisé et si ça, c’est une tragédie, alors je souhaite la connaître à nouveau. Parce qu’il n’y a rien de plus précieux au monde.

9.34 (835 votes)

Un jour la mer aura emporté tout le sable. Les océans s’assécheront, et le soleil s’éteindra. Mais quand ce jour viendra, je t’aimerai encore. Mon amour sera éternel.

9.34 (1383 votes)

- Un imbécile m’a payé pour sortir avec une fille formidable.
- Ah oui ? C’est vrai ?
- Ouais mais je me suis foutu dedans. J’en suis amoureux.

9.33 (735 votes)

Voilà ! Vois en moi l’image d’un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu’un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d’une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Vœu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! [il trace un V sur une affiche] Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa Véracité Viendront un jour faire Valoir le Vigilant et le Vertueux. [il ricane] En Vérité ce Velouté de Verbiage Vire Vraiment au Verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c’est un Véritable honneur que de te rencontrer. Appelle moi V.


Tu es mon souffle de vie.

9.33 (481 votes)

- On a jamais parlé de l’avenir tout les deux. Enfin, je veux dire, de nos deux avenirs.
- Nos deux avenirs… Tu vois, moi, spontanément, j’aurais dit NOTRE avenir… Faut croire que le présent devrait me suffire.

9.32 (1601 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

9.31 (442 votes)

Lorsque nous aimons nous sommes tous des idiots.

9.31 (293 votes)

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