Kaakook

Tag - amour

Les répliques qui parlent d'amour !

Ô Roméo ! Roméo ! Pourquoi es-tu Roméo ? Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m’aimer, et je ne serai plus une Capulet.

9.22 (387 votes)

Je ne veux plus attendre ton coup de téléphone, je ne veux pas m’empêcher de tomber amoureuse, j’veux pouvoir coucher avec qui je veux quand je veux et sans scrupules. J’ai réfléchi, puisque ce que nous vivons n’est pas réel, c’est un jeu. Puisque c’est un jeu, il faut des règles. Nous nous verrons le plus loin possible. Quand tu sauras où tu vas, tu m’écriras chez ma sœur à Londres, elle saura où faire suivre le courrier. Ne te donne pas la peine d’écrire des mots gentils, préviens moi juste suffisamment tôt. Dis à quel hôtel tu descends, et où, et quand. Si j’peux j’me libèrerai, sinon tant pis. Ne cherche pas à m’appeler ni à savoir où je suis ni comment je vis. Je crois que ce n’est plus le problème. Je pense que c’est la meilleure solution. Faire comme toi : vivre de mon côté, en t’aimant, mais de loin. Je ne voyais pas les choses comme ça, mais pourquoi pas. Après tout, ce sera un jeu, spécial, excitant. Quand tu descendras à l’hôtel parfois j’y serai, parfois non. Parfois je te rejoindrai au milieu de la nuit et nous nous perdrons l’un dans l’autre, sans un mot. Tu vois, j’suis prête à essayer, parce que c’est toi qui as raison : la vie sans scrupules, c’est…

9.21 (117 votes)

S’il ne me restait qu’une nuit à vivre je voudrais la passer auprès de toi…

9.21 (333 votes)

Tu sais quand on dit « nul homme est une île » ? En fait je pense que tout homme est une île. Et les relations sont comme des ponts. Le mec construit la moitié du pont et et la fille construit l’autre moitié. Ils essaient de se rencontrer au milieu. Mais des fois les îles sont trop éloignées. Et c’est triste, mais ça arrive, parce que des fois, il est juste temps d’avancer.

9.21 (232 votes)

Je voudrai te serrer encore et encore, jusqu’à ne plus savoir si je suis toi ou moi,
me blottir dans tes bras sans baisers ni paroles, oublier qui je suis et n’être plus qu’à toi.

9.21 (104 votes)

Pour gagner ce jeu, il faut une jolie boîte, une jolie copine, et le reste on s’en fout…

9.2 (1180 votes)

Hier est derrière, demain est mystère, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le présent.

9.2 (674 votes)

Pour réussir son mariage, il y a quatre conditions : il faut trouver une femme qui t’aime sans condition, un femme qui ait du caractère et te secoue, une femme avec qui tu auras envie de coucher toute ta vie et le plus important c’est de tout faire pour que ces trois femmes ne se voient jamais…

9.2 (127 votes)

Ne jamais sous estimer la capacité des autres à vous décevoir.

9.19 (261 votes)

J’ai beau essayer, j’arrive pas à rester loin de toi.

9.19 (151 votes)

Un jour j’ai lu un poème sur une fille dont le petit ami était mort. Elle l’imaginait au ciel entouré d’anges, des anges filles bien sûr, et ça la rendait jalouse. Ellie est partie. Et moi je l’imagine là haut entourée d’anges rebelles en blouson en cuir qui mettent la musique à fond et qui cherchent la bagarre. Mais je ne suis pas jalouse. Elle me manque c’est tout.

9.18 (405 votes)

T’entendre respirer est mon cadeau le plus précieux.

9.18 (418 votes)

Je dégueule sur la facilité des sentiments.

9.17 (279 votes)

Mais la vérité c’est que ça fait mal, alors on ment.

9.17 (629 votes)

Je t’aime Harry. Tu me donnes l’impression d’être une personne. Tu vois, comme si j’étais vraiment belle.

9.16 (193 votes)

Tu ne sais jamais que le dernier baiser sera le dernier, tu penses qu’il y en aura plein d’autres, tu crois que tu as la vie, mais c’est faux.

9.16 (646 votes)

Certains infinis sont plus vastes que d’autres, nous a appris un écrivain qu’on aimait bien, Augustus et moi. Il y a des jours, beaucoup de jours, où j’enrage d’avoir un ensemble de nombres infinis aussi réduit. Je voudrais plus de nombres que je n’ai de chances d’en avoir, et pour Augustus Waters, j’aurais voulu tellement plus de nombres qu’il n’en a eus. Mais, Gus, mon amour, je ne te dirai jamais assez combien je te suis reconnaissante de notre petite infinité. Je ne l’échangerai pas pour tout l’or du monde. Tu m’as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j’en suis heureuse. Hazel Grace.

9.15 (238 votes)

J’ai sans doute eu de la chance, on s’est rencontré à l’école primaire et en 5ème elle et moi on avait le même emploi du temps, ça a fait tilt ! Oui. D’un point de vue technique, « la fille de mes rêves » devrait être dotée, comment dire, d’une énorme paire de seins, vous voyez ? Et d’une coiffure originale et quand même un peu plus sportive que la moyenne mais pour être franc Robbin, Robbin est mieux que la fille de mes rêves parce qu’elle existe.

9.14 (291 votes)

Le jour où un garçon sera amoureux de moi, vraiment amoureux. Je le ferai souffrir horriblement.

9.13 (531 votes)

Moi aussi j’te nique, je vous emmerde tous autant que vous êtes !
J’emmerde cette ville et tous ces habitants.
J’emmerde les zonards qui font la manche aux feux rouges et qui s’foutent de ma gueule dès que j’ai le dos tourné.
J’emmerde ce mec avec son chiffon qui prend un malin plaisir à saloper mon pare brise ; trouve un boulot connard !
J’emmerde les Sikhs et les Pakistanais qui conduisent à fond la caisse des taxis en ruines et qui empestent le curry par tous les pores de leur peau, tous des terroristes en puissances ; roulez moins vite putain !
J’emmerde les p’tits mecs de Chelsea avec leurs pectoraux épilés à la cire et leurs biceps gonflés aux hormones, qui se taillent des pipes dans les allées de mes parcs ou sur mes quais et que je retrouve la nuit la queue à l’air dans ma télé.
J’emmerde les épiciers Coréens avec leurs pyramides de fruits au prix du caviar, leurs tulipes et leurs roses emballées dans du plastique ; 10 ans qu’ils sont là et « toujours pas bien comprendre ».
J’emmerde les Russes de Brighton Beach, ces mafieux qui passent leur temps aux terrasses des cafés à siroter du thé dans des petits verres, en suçant des morceaux de sucres ; Toujours à chercher des combines pour leurs petits trafics ; mais rentrez dans votre putain de pays !
J’emmerde les hassidim avec leur petite calotte noire qui déambulent en permanence sur la 47e rue, dans leur costard de merde, les épaules couvertes de pellicules et qui vendent des diamants sud-africains du temps de l’apartheid.
J’emmerde les brokers de Wallstreet auto-proclamés « maîtres de l’univers », tous ces Michael Douglas alias Gordon Geko à la mords-moi-le-nœud, qui inventent chaque jour de nouveaux moyen d’exploiter les pauvres et mieux piller la planète, tous ces enculés de chez Enron méritent d’aller en tôle jusqu’à la fin de leurs jours et d’y crever ! Et Bush et Cheney, ils n’étaient pas au courant peut-être ? Ils nous prennent vraiment pour des cons !
J’emmerde les Portoricains entassés à 20 dans leur bagnole, qui cumulent les allocs et qui nous gonflent chaque année avec leur carnaval à la con. Et alors surtout ne me branchez pas sur les Dominicains parce qu’en comparaison les Portoricains c’est des dieux.
J’emmerde les Italiens de Bensonhurst avec leurs cheveux pleins de gomina, leurs survêtements de merde en synthétique, et leur médaille de St-Antoine, qui ne peuvent pas aligner 3 mots sans brandir leur batte de baseball dédicacée et qui rêvent tous de jouer un petit rôle dans les Sopranos.
J’emmerde les vieilles friquées du Upper East Side avec leur foulard Hermès et leurs artichauts de chez Balducci à 50 dollars pièce, qui passent leur temps à se faire tirer la peau à coup de lifting, stretching et autres conneries de ce genre. C’est de l’argent foutu en l’air, tu bluffes personne chérie.
J’emmerde les blacks de Harlem, ils passent jamais un ballon, ils veulent pas jouer défensif, ils font systématiquement 5 pas avant de tirer et quand ils loupent le panier, ils se retournent en hurlants que tous ça c’est la faute des blancs ; l’esclavage a été aboli il y a exactement 137 ans, alors mettez vos putains de montres à l’heure nom de Dieu !
J’emmerde ces pourris de flics qui enculent leurs suspects avec leur matraque ou qui leur plantent 41 balles dans le corps, bien protégés derrière le mur bleu du silence. Vous trahissez notre confiance.
J’emmerde les prêtres qui tripotent les gosses innocents avant d’aller dire la messe. J’emmerde l’église qui les protège, elle qui prétend nous délivrer du mal, et pendant qu’on y est j’emmerde Jésus qui s’en est pas si mal tiré, un jour sur la croix, un week-end en enfer et la gloire éternelle avec les anges qui lui chantent de beau cantiques. Mais vas y toi passer 7 ans à la prison d’Otisville Jésus !
Et j’emmerde Oussama Ben Laden, Al Qaïda, ces hommes des cavernes et tous les connards intégristes où qu’ils se trouvent. Au nom des milliers d’innocents massacrés, je prie pour que vous cramiez en enfer pour l’éternité dans une carlingue d’avion en flammes, vous et vos 72 putes. Avec vos torchons sur la tête vous êtes tout juste digne de baiser mon royal cul d’Irlandais.
J’emmerde Jakob Elinsky geignard frustré, j’emmerde Francis Xavier Slaughtery, mon meilleur ami, qui me juge en matant le cul de ma femme. J’emmerde Naturelle Riviera, je lui avais donné ma confiance et elle m’a poignardé dans le dos. Je vais passer 7 ans en cabane à cause de cette salope. J’emmerde mon père, veuf inconsolable qui passe sa vie derrière son bar à siroter de l’eau gazeuse et à vendre du whisky aux pompiers en acclamant les New York Yankees.
J’emmerde cette ville et tout ces habitants. Des pavillons d’Astoria aux terrasses de Park Avenue, des logements sociaux du Bronx aux lofts de Soho, des meublés d’Alphabet City aux immeubles en pierres de tailles de Park Slope aux duplex de Staten Island, qu’un tremblement de terre les rase, que des incendies les réduisent en cendres et que le niveau des eaux monte jusqu’à engloutir toute cette ville et tous les rats qui s’y terrent.

Non, non je t’emmerde toi, Mongomery Brogan. Tu avais toutes les cartes en mains et tu t’es démerdé pour tout foutre en l’air.

9.13 (644 votes)

Haut de page