Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1990

C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.

#161
9.17 (2399 votes)

- Pardon, du thé ?
- Volontiers, oui merci… C’est lui ?
- Non, ça c’est mon chien.
- Oh, bien sûr oui… Parlez-moi de lui, j’le connaissais assez peu finalement.
- C’était un très beau berger allemand, bien dressé, on a tous les papiers.
- Non, non, je parle de votre mari.
- Jacques… ils me l’ont massacré avec la faucille et le marteau, mais si vous l’aviez vu entier, un très bel homme, bien propre, généreux… Pardon du sucre ?
- 16… C’est amusant parce que le film dont j’m’occupe c’est l’histoire d’un type qui tue les gens à la faucille et au marteau, c’est incroyable, non ?
- Oui… Regardez, c’est son dernier cadeau, j’lui ai dit Jacques mais c’est de la folie, il faut vendre la caravane, vous savez ce qu’il m’a dit ? Il m’a dit banco.
- Oh, l’effet que ça m’a fait c’matin quand j’ai ouvert le journal et qu’jai vu qu’on parlait de mon film…
- J’l’entends encore : banco, un vrai capricorne celui-là.
- Remarquez, forcément, j’suis attachée de presse, alors qui dit attaché de presse dit presse.
- Pour ce qu’on s’en servait de cette caravane en plus.
- Mais quand j’pense qu’il a fallu un meurtre pour qu’on parle de mon film, c’est quand même hallucinant, non ? Enfin quand je dis parler, y’a un journal qui en a parlé.
- On s’en ait jamais servi de la caravane… Ah si, une fois.
- Non, deux, y’a eu deux journaux, remarquez qui aurait été en parler, j’ai personne du film… Le metteur en scène, il est à l’asile ; le producteur il est en taule ; le comédien… Ah si, j’crois qu’il est libre, j’crois qu’il a rien tourné depuis.
- Vous croyez qu’on s’en serait servi de la caravane, eh bien non, ça faisait des mois qu’elle traînait dans le garage à prendre la poussière.
- Parce que si je le fais descendre, alors là, j’fais monter la sauce, des gardes du corps, tout l’tralalala, en plus j’vois déjà les titres des journaux : la vedette de Read is Dead descend à Cannes au péril de sa vie, oh, c’est bien ça, vous avez un téléphone ?
- J’lui ai dit : « Jacques, c’est l’hermine ou la caravane », il a dit « banco ».

#162
9.17 (147 votes)

La haine attire la haine.

#163
9.17 (231 votes)

Putain, j’vois ici les hommes les plus forts et les plus intelligents que j’aie jamais vu. J’vois tout ce potentiel, et j’le vois gâché. J’vois une génération entière qui travaille à des pompes à essences, qui fait le service dans des restos, qui est esclave d’un petit chef dans un bureau. La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien. On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis, on n’a pas de but ni de vraie place ; on n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression, c’est nos vies. La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma ou des rock stars, mais c’est FAUX. Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment, plein le cul.

#164
9.17 (1141 votes)

[Aguado vient d’écraser un cafard sur le sol]
- Un meurtre dans la troisième avenue, comment tu comptes l’élucider celui là ? Ahahahah !
- Toujours aussi rigolo Aguado. Avant tout établir le mobile, en l’occurrence constatant la taille du sexe de la victime, l’assassin a été pris d’une incontrôlable jalousie. L’assassin est de type maousse, borné et impuissant !
[il esquive un coup d’Aguado et le plaque au sol, près du cafard]
Alors… faites la paix, roulez-vous une pelle.

#165
9.17 (74 votes)

T’as entendu parler du mec qui a inventé le fight club ? Il parait qu’il est né dans un hôpital psychiatrique et qu’il dort pas plus qu’une heure par nuit. C’est un grand homme.

#166
9.17 (327 votes)

- Je t’aime.
- Idem.

#167
9.17 (123 votes)

- Bonjour !
- Bonjour !
- Ah ! Et au cas où on ne se reverrait pas, une bonne soirée et une excellente nuit !

#168
9.17 (74 votes)

Peg Boggs : Bonjour Edward ! Je suis désolé nous avons commencé sans toi, tiens.
Bill Boggs : Alors Edward, as-tu bien employé ta journée ?
Edward : Mme Monroe a voulu me montrer l’endroit de son salon de beauté, il y aura un rayon cosmétique pour vous.
Peg Boggs : Oh ! Bill n’est-ce pas extraordinaire !!
Bill Boggs : Génial !
Edward : Et ensuite elle m’a emmené dans le débarras et elle a enlevé tout ses vêtements…

#169
9.17 (123 votes)

Hakuna Matata !

#170
9.17 (171 votes)

Il a une belle tête de vainqueur.

#171
9.16 (252 votes)

D’abord, ta tête va enfler comme une pastèque, tu vas grossir de 50 kilos environ en deux heures. Puis, il va te pousser des griffes, des pustules sanguinolentes. Et ensuite tu vas remarquer que tu as six énormes seins poilus qui te poussent dans le dos. Tu vas perdre la vue, ton corps va se transformer en cire, il va falloir te mettre dans une brouette, et tu vas hurler à l’aide, ton cri sera celui d’un raton-laveur. Putain je suis prêt à tout essayer dans la vie mais jamais je toucherai à une épiphyse.

#172
9.16 (252 votes)

Quand le monde te persécute, tu te dois de persécuter le monde.

#173
9.16 (287 votes)

Vous voulez la jouer soft, je suis pas contrariant. Vous voulez la jouer hard… on va la jouer hard.

#174
9.16 (157 votes)

- Excuse moi, Smoky, t’as mordu la ligne, y a faute…
- Tu me mets huit, Duc !
- Je te demande pardon Smoky, c’est un jeu homologué, y a faute, alors tu mets zéro.
- Fous-moi la paix Walter, mets-moi huit, Duc !
- … [Sort son flingue] Smoky, mon ami, si tu n’a jamais souffert, tu vas comprendre…
- Mais …
- Tu vas comprendre ta douleur, Smoky…
- Mais je joue dans ton équipe…
- LE MONDE EST EN TRAIN DE DEVENIR CINGLÉ ! Y A PERSONNE À PART MOI QUI SE SOUCIE ENCORE DE RESPECTER LES RÈGLES ? METS-TOI ZÉRO ! [Le braque] TU CROIS PEUT-ÊTRE QUE JE PLAISANTE ? [Charge son flingue] METS-TOI ZÉRO !
- [Il a peur et se met zéro] Voilà, je me suis mis zéro, t’es content espèce de malade ?
- C’est un jeu homologué !

#175
9.16 (85 votes)

Je vous emmerde et je rentre à ma maison.

#176
9.16 (215 votes)

- Oh maman, rechante, j’adore cette chanson !
- Non mon poussin, après je vais avoir la gorge fatiguée, et tu sais que Maman travaille ce soir !
- Ah oui c’est vrai.

#177
9.16 (109 votes)

- On est des consommateurs. On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Meurtres, banditisme, pauvreté, toutes ces choses ne me concernent pas. Ce qui me concerne moi ce sont les revues qui parlent de stars, la télévision avec 500 chaînes différentes, les slips avec un grand nom marqué dessus, le viagra, les repas minceurs…
- Madame Propre ?
- J’emmerde madame Propre ! Madame Propre elle astique les cuivres du Titanic ! Tout est en train de couler, mec. Alors merde ! j’emmerde tes canapés à motif, tes strings à rayures vertes bordel ! Moi je te dis ne soit jamais complet, je te dis arrête d’être parfait. Je te dis qu’il faut évoluer et que ce qui doit arriver arrive.

#178
9.16 (310 votes)

Tu veux savoir comment j’ai fait ? Je vais te dire comment j’ai fait Anton. J’ai jamais économisé mes forces pour le retour.

#179
9.16 (85 votes)

Si tu n’obtiens pas ce que tu veux avec de l’argent, tu peux l’obtenir avec beaucoup d’argent !

#180
9.15 (49 votes)

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