Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1990

On est pas le meilleur quand on le croit, mais quand on le sait.

#141 9.18 (258 votes)

C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.

#142
9.18 (2409 votes)

C’est vrai t’as raison, c’était un accident. Tu t’es pris les pieds dans le tapis, et t’es tombé la bite la première sur ma femme.

#143
9.18 (63 votes)

La haine attire la haine.

#144
9.18 (233 votes)

La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien !


Ernest Hemingway a écrit : « le monde est un bel endroit qui vaut la peine qu’on se batte pour lui ». Je suis d’accord avec la seconde partie.

#146
9.18 (136 votes)

Quand le monde te persécute, tu te dois de persécuter le monde.

#147
9.18 (295 votes)

Je vous emmerde et je rentre à ma maison.

#148
9.18 (223 votes)

- Tu as déjà été amoureux, non ?
- Une seule fois…
- Bien.
- Et c’était de toi.
- Bon ça va être difficile mais je vais essayer de faire abstraction.

#149
9.18 (75 votes)

- La caméra donne toujours 5 kilos de plus !
- Y’avait combien de caméras qui tournaient ce jour-là ?

#150
9.18 (161 votes)

Faith : [En regardant Wesley] Nouvel observateur ?
Buffy et Rupert Giles : Nouvel observateur !
Faith : J’me casse ! [Elle part]
Buffy : [À Giles] Eh, pourquoi j’ai pas fais la même chose ?!

#151
9.18 (63 votes)

Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.

#152
9.17 (678 votes)

Et si on faisait l’amour, tout nus ?

#153
9.17 (122 votes)

- Vous être classé dans la catégorie humain ?
- Négatif, je suis une mitte en pull over.

#154
9.17 (341 votes)

Mon unique amour a jailli de mon unique haine, je l’ai connu trop tard et vu trop tôt sans le connaître vraiment, prodigieux amour auquel je viens de naître qui m’impose d’aimer un ennemi détesté.

#155
9.17 (425 votes)

- Vous avez tué mon père !
- Non Buzz, je suis ton père.

#156 9.17 (110 votes)

Putain, j’vois ici les hommes les plus forts et les plus intelligents que j’aie jamais vu. J’vois tout ce potentiel, et j’le vois gâché. J’vois une génération entière qui travaille à des pompes à essences, qui fait le service dans des restos, qui est esclave d’un petit chef dans un bureau. La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien. On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis, on n’a pas de but ni de vraie place ; on n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression, c’est nos vies. La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma ou des rock stars, mais c’est FAUX. Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment, plein le cul.

#157
9.17 (1151 votes)

[Aguado vient d’écraser un cafard sur le sol]
- Un meurtre dans la troisième avenue, comment tu comptes l’élucider celui là ? Ahahahah !
- Toujours aussi rigolo Aguado. Avant tout établir le mobile, en l’occurrence constatant la taille du sexe de la victime, l’assassin a été pris d’une incontrôlable jalousie. L’assassin est de type maousse, borné et impuissant !
[il esquive un coup d’Aguado et le plaque au sol, près du cafard]
Alors… faites la paix, roulez-vous une pelle.

#158
9.17 (74 votes)

T’as entendu parler du mec qui a inventé le fight club ? Il parait qu’il est né dans un hôpital psychiatrique et qu’il dort pas plus qu’une heure par nuit. C’est un grand homme.

#159
9.17 (327 votes)

Peg Boggs : Bonjour Edward ! Je suis désolé nous avons commencé sans toi, tiens.
Bill Boggs : Alors Edward, as-tu bien employé ta journée ?
Edward : Mme Monroe a voulu me montrer l’endroit de son salon de beauté, il y aura un rayon cosmétique pour vous.
Peg Boggs : Oh ! Bill n’est-ce pas extraordinaire !!
Bill Boggs : Génial !
Edward : Et ensuite elle m’a emmené dans le débarras et elle a enlevé tout ses vêtements…

#160
9.17 (123 votes)

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