Kaakook

Top - Citations de films et séries des années 1990

Me poser moi ? Nan moi je ne suis pas ce genre de fille… Je dirais plutôt que je suis le genre de fille à se poser la où se posent mes fesses !

#121
9.22 (54 votes)

I’m not an idiot, I know how the world works. I’ve got ten bucks in my pocket, I have no-nothing to offer you and I know that ; I understand. But I’m too involved now. You jump, I jump remember? I can’t turn away without knowing you’ll be all right… They’ve got you trapped, Rose, and you’re gonna die if you don’t break free. Maybe not right away because you’re strong but… Sooner or later, that fire that I love about you, Rose, that fire’s gonna burn out.

#122
9.22 (92 votes)

Putain, on a tué le mort !

#123
9.21 (91 votes)

Et si on faisait l’amour, tout nus ?

#124
9.21 (117 votes)

Ô Roméo ! Roméo ! Pourquoi es-tu Roméo ? Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m’aimer, et je ne serai plus une Capulet.

#125
9.21 (381 votes)

Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ?

#126
9.21 (634 votes)

Morticia : Oh, Mercredi est parfaite : elle approche de l’âge où les fillettes n’ont plus qu’une chose à l’esprit.
Ellen : L’amooouur ?
Mercredi : L’homicide.

#127
9.21 (154 votes)

- Si elle avait survécu, elle aurait plus de 100 ans maintenant. Et 101 an le mois prochain.
- D’accord, alors c’est une putain de très vieille menteuse.

#128
9.21 (372 votes)

Savoir c’est facile. C’est dire les choses qui est difficile.

#129
9.21 (79 votes)

- Il s’appelle Juste Leblanc.
- Ah bon, il n’a pas de prénom ?
- Je viens de vous le dire Juste Leblanc… Votre prénom c’est François, c’est juste ? Eh bien lui c’est pareil, c’est Juste.
- …

#130
9.2 (752 votes)

- Vous être classé dans la catégorie humain ?
- Négatif, je suis une mitte en pull over.

#131
9.2 (339 votes)

Dis pas de mal des cochons, ils valent mieux que la plupart des gens.

#132
9.2 (166 votes)

Bien sûr je pourrais être aigri de ce qui m’est arrivé. Mais c’est inutile. Il y a tant de beauté dans le monde. Parfois j’ai l’impression qu’elle me submerge, de partout en même temps, mais c’en est trop. Mon cœur se remplit comme un ballon, prêt à exploser. Et là, je comprends qu’il faut que je lâche prise, que j’arrête d’essayer sans cesse de m’y raccrocher. Et ça glisse sur moi comme de la pluie. Et je ne peux plus rien éprouver d’autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie. Vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous dire n’est ce pas ? Ne vous en faites pas, un jour, vous comprendrez.

#133
9.2 (216 votes)

Ton cœur est libre, trouve le courage de le suivre.

#134
9.2 (103 votes)

La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien !


Je la démolirai en deux s’condes chef, d’abord je lui ferai « yaha » et ensuite « yahaha » et puis après je lui ferai « youhou » et « yahaha » et puis j’lui donnerai un coup de pied.

#136
9.2 (291 votes)

On a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a du penser qu’elle s’envolerait.

#137
9.2 (189 votes)

Quand on est vivant on répond au téléphone !

#138
9.2 (216 votes)

Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d’être seul comme un moineau sous la pluie… Fatigué d’avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d’où on vient et pourquoi… Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns contre les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde…

#139
9.2 (2097 votes)

Et oui j’ai connu ton père… et toi aussi, je te connais bien mon garçon. Tu sais, ton père m’a beaucoup parlé de toi au camp, pendant ces 5 ans ou on est restés côte à côte prisonniers à Hanoï, et on a vécu l’enfer tous les deux. Toi au moins… tout ça devrait t’être épargné… enfin on peut l’espérer. Dans une situation comme celle qu’on a dû vivre pendant 5 ans lui et moi… on se crée certaines responsabilités l’un envers l’autre. Si ce n’était pas moi qui… [il se retourne vers la mère de Butch] qui m’en était tiré, c’est le Major Coolidge qui parlerait à mon fils maintenant, à Jim. Mais le destin en a décidé autrement, c’est moi qui te parle aujourd’hui… à toi, Butch. J’ai quelque chose pour toi… [il s’assoit et sort une montre] une montre en or. Tu vois, cette montre appartenait à ton arrière grand-père qui l’avait acheté avant la guerre de 14, dans un magasin à quelques pas de chez lui à Knoxville dans le Tennessee. Pour lui, cette montre-bracelet représentait un pas en avant historique, à l’époque tout le monde portait les montres Gousset, des oignons. Peu après, sa montre au poignet, le caporal Coolidge quitta son Tenessee natal pour les tranchées. Sur tous les fronts de France, de Verdun jusqu’à la forêt noire, cette montre en or fût son plus fidèle compagnon. À la fin de la guerre, il rentra chez lui retrouver ton arrière grand-mère. Il ouvrit son coffre, il déposa sa montre et elle y resta quelques années. Jusqu’au jour ou la deuxième guerre mondiale éclata, qu’il fallut encore une fois ce battre contre les Allemands, et que ton grand-père Dane Coolidge fut mobilisé envoyé au front à son tour. Et ton arrière grand-père offrit la montre à son fils Dane sur un quai de gare, ce fut son dernier cadeau. Dane eut moins de chance que son père, comme tant de Marines, il fut tué. Il tomba héroïquement à la bataille de Wake Island. Tous ces hommes prévoyaient leur destin… lui aussi. Il n’avait plus aucune illusion, personne n’avait la moindre chance d’en sortir vivant, alors ton pauvre grand-père, sachant que l’assaut final allait être donné, alla trouver à l’aéroport un nommé O’Flaherty. Et bien qu’il ne l’eut jamais vu de sa vie, il lui dit « j’ai un fils, c’est un nouveau né. Et je n’ai vu ce fils qu’en photo. Je voudrais… si tu as la chance de rentrer un jour en Amérique que cette montre-bracelet soir remise à mon gosse ». Trois jours plus tard, ton grand-père fut tué. O’Flaherty qui lui avait donné sa parole porta la montre à ta grand-mère, pour qu’elle la donne à ton père quand il serait grand, la voici… [il la montre à Butch pendant un petit temps] Coolidge, l’avait sur lui le jour ou il s’est fait descendre, en volant, sur Hanoï. Ton père fut capturé et envoyé dans un camp de prisonniers. Si les Niaks voyaient sa montre, elle lui serait confisqué ! Il le savait ! Et pour lui, il était clair que cette montre… te revenait de droit, et pour rien au monde il ne voulait que les Niaks mettent leur pattes sur ton héritage, le patrimoine de son fils, alors il décida de la cacher. Comme il n’y avait pas d’autre cachette, il se l’est mise dans l’cul. Fallait avoir du courage pour le faire… se la mettre dans l’cul. Un jour, juste avant que la dysenterie le tue, il me donna la montre, j’ai alors caché ce vieux bout de métal dans mon anus deux années durant. Et… après 7 ans d’absence, je pu retrouver ma famille. Et aujourd’hui… cette montre, je suis venu te la donner.

#140
9.2 (153 votes)

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