Top - Citations de films et séries des années 1990

- Shenzi, tu connais un bon resto ?
- Non pourquoi ?
- La bouffe est entrain d’se carapater.

- Je t’aime.
- Non amour, mais merci de l’avoir dit.

Je me comportais comme une autre femme, et pourtant, j’étais moi, plus que jamais.

Ross : [mortifié] Salut.
Joey : Quand il dit salut, j’ai envie de me suicider.
Monica : Tu vas bien, mon vieux ?
Ross : Je me sens comme si quelqu’un avait plongé sa main dans ma gorge, y avait saisi mes intestins, les avait ressortis par la bouche et m’en avait fait un nœud autour du cou.
Chandler : Un biscuit ?

Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

C’est à une demi-heure d’ici. J’y suis dans dix minutes.

On est une génération d’hommes élevés par des femmes, je suis pas sur qu’une autre femme soit la solution à nos problèmes.

N’ai pas peur. Je vais te donner le choix que je n’ai jamais eu.

Il y a une différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin.

- Hey, bouge de là connard !
- Je crois que ce martien veux communiquer.
[Tttaaaaaaaaaaaaaaaaoooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuudddddaaa !!]

Pourquoi cet amour querelleur, cette haine amoureuse, ce tout créé d’un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cet innommable chaos des plus aimables formes…

- P’tet que vous n’aviez pas la femme qu’il fallait.
- P’tet que tu devrais fermer ta gueule !

Jack ! It’s a boat…

Tu la sens ma grosse intelligence !

Je suis le sentiment de rejet exacerbé de Jack…

Le magistrat royal : Un seul mot, dit juste… pitié.
La foule : Pitié, pitié, pitié, pitié, pitié [Jusqu’à la dernière réplique du magistrat]
Le magistrat royal : Crie le donc.
Le magistrat royal : Aller dit le, « pitié »…
Hamish : Pitié William, pitié…
Stephen : Jésus, seigneur…
Le magistrat royal : Le prisonnier souhaite dire un mot.
William Wallace : Libertééééé !!

Cétacé, dit la baleine !

Mon unique amour a jailli de mon unique haine.

Mon cœur jusqu’à présent a-il-aimé ?
Jurez que non, mes yeux,
Car jamais avant cette nuit je n’avais vu la vraie beauté.

Viens douce nuit,
Viens vite amoureuse au front noir,
Donne moi mon Roméo.
Et quand je mourrai que tu le prennes et l’éclates en petites étoiles,
Dès lors, il embellira tant le visage du ciel que tout l’univers sera amoureux de la nuit,
Et que nul ne pourra plus adorer l’aveuglant soleil.