- Hey, bouge de là connard ! - Je crois que ce martien veux communiquer. [Tttaaaaaaaaaaaaaaaaoooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuudddddaaa !!]
Pourquoi cet amour querelleur, cette haine amoureuse, ce tout créé d’un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cet innommable chaos des plus aimables formes…
Il vaut mieux ne pas dire certaines choses. Je crois que c’était quelque chose de si beau que ça ne peut pas s’exprimer avec des mots et c’est pour ça que mon cœur en souffre.
- Arrête de me coller, rastaquouère ! - Haha, c’est rigolo, ça, rastaquouère. - Qu’est-ce que t’as à te marrer ? - Moi ? Rien.
Je déteste les guerriers. Ils ont l’esprit étroit et n’ont aucune finesse. Pire, ils se battent pour des causes perdues, pour l’honneur. L’honneur a fait des millions de morts mais n’a jamais sauvé qui que ce soit !
- Tu sais ce qu’on dit à propos des messieurs à grands pieds ? - Ah non, qu’est-ce qu’on dit ? - Grands pieds, grandes… chaussures.
Mon cœur jusqu’à présent a-il-aimé ? Jurez que non, mes yeux, Car jamais avant cette nuit je n’avais vu la vraie beauté.
La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma, ou des rock stars. Mais c’est faux ! Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment plein l’cul !
Viens douce nuit, Viens vite amoureuse au front noir, Donne moi mon Roméo. Et quand je mourrai que tu le prennes et l’éclates en petites étoiles, Dès lors, il embellira tant le visage du ciel que tout l’univers sera amoureux de la nuit, Et que nul ne pourra plus adorer l’aveuglant soleil.
- Vous êtes Odile Deray ? - Non, je suis le Pape et j’attends ma sœur ! - … - C’est moi ! - Ah ! Je suis envoyé par l’agence de security. - Et vous êtes ? - A l’aréoport. - Ça je sais, mais votre nom c’est quoi ? - Ah ! Serge… Karamazov. Aucun lien je suis fils unique.
- Ça gaze les loulous ? - Euuuh, vous êtes sur la liste ? - Non, mais mes amis doivent y être. Vous les connaissez, on les voit partout : Benjamin Franklin, Ulysse Grant et Andrew Jackson. [Il lance des poignées de billets dans les airs]
- Cela fait une demi-heure que je vous dévore des yeux depuis l’autre bout de la pièce. - Eh bien, retournez-y et bon appétit !