Kaakook

Top - Citations de films des années 1990

Je veux que tu me frappes aussi fort que tu peux.


Étranges souvenirs dans cette nuit tendue de Las Vegas. 5 ans ont passé déjà… 6 ans ? Ça parait plutôt une vie entière… Le genre de zénith qui ne se reproduit jamais. Être à San Francisco dans les sixties, signifiait vivre à une époque et dans un lieu bien particulier. Mais aucune explication, aucun mélange de mot, de musique, ne peut restituer ce que c’était d’être et de vivre dans ce coin du temps et de l’espace. Quoi que ça ai pu vouloir dire… Il y avait de la folie dans tout les sens, à toute heure. On pouvait allumer des étincelles partout. Il y avait ce sentiment extraordinaire que quoi que nous fassions, c’était juste que nous étions en train de gagner. Et ça je crois, c’était la force qui nous poussait. Cette sensation de victoire inévitable sur les forces du vieillissement et du mal… Pas au sens militaire du mot victoire, on en avait pas besoin. Notre énergie déborderai par dessus tout. Nous avions un élan formidable. Nous surfions sur la crête d’une vague très haute, et très belle. Alors maintenant, moins de 5 ans après, vous pouvez aller au sommet d’une colline escarpé de Las Vegas regarder vers l’ouest, et si vous avez le regard qu’il faut, vous pouvez voir la ligne de partage des eaux et de la terre, l’endroit où la vague a fini par déferler, et opérer son reflux.

#342
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- Marla a pas besoin d’un amant mais d’une assistante sociale.
- Elle a besoin d’une douche, c’est pas d’l’amour c’est du baisodrome.

#343
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C’est merveilleux Molly, l’amour qu’on a en soi, on l’emporte avec soi…

#344
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Voila ! Tu dois y retourner, lui dire adieu, ce fut une délicieuse soirée. Tu fous le camp tu réintègres ta caisse… Tu rentres tu t’branles une ou deux fois et tout sera dit !

#345
8.98 (88 votes)

Oh, tu miaules ! Recommence, c’est mignon.

#346
8.98 (88 votes)

La marche des vertueux est semée d’obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l’œuvre du malin. Béni soit-il l’homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu’il guide dans la vallée d’ombre de la mort et des larmes, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi, s’abattra la vengeance du Tout-Puissant !


Tous les hommes meurent un jour mais peu d’entre eux vivent vraiment.


- Et moi je l’aime et elle, elle s’en fout…
- Tu lui as dit ?
- De quoi ?
- Que tu l’aimes !
- Non.
- Ah ! T’as raison de me le dire à moi, tiens !

#349
8.97 (77 votes)

Tout va comme vous voulez, cher Monsieur ? On prend le frais, c’est ça ? Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais un blanc circulant en plein Harlem avec une pancarte sur laquelle est écrit : « Je hais les nègres », soit il a un grave problème personnel à résoudre, soit il a quelques cases en moins.

#350 8.97 (97 votes)

Et voilà un petit caniche. [PAF! Il explose le chien] Il fallait le tuer, la pauvre bête avait la rage.

#351
8.97 (87 votes)

Choisir la vie, choisir un boulot, choisir une carrière, choisir une famille, choisir une putain de télé à la con, choisir des machines à laver, des bagnoles, des platines laser, des ouvres boites électroniques.
Choisir la santé, un faible taux de cholestérol et une bonne mutuelle, choisir les prêts à taux fixes, choisir son petit pavillon, choisir ses amis.
Choisir son survet’ et le sac qui va avec, choisir son canapé avec les deux fauteuils, le tout à crédit avec un choix de tissu de merde, choisir de bricoler le dimanche matin en s’interrogeant sur le sens de sa vie choisir de s’affaler sur ce putain de canapé et se lobotomiser au jeux télé en se bourrant de McDo.
Choisir de pourrir à l’hospice et de finir en se pissant dessus dans la misère en réalisant qu’on fait honte aux enfants niqués de la tête qu’on a pondu pour qu’ils prennent le relais.
Choisir son avenir, choisir la vie.
Pourquoi je ferais une chose pareille ? J’ai choisi de pas choisir la vie, j’ai choisi autre chose. Les raisons ?
Y’a pas de raison. On n’a pas besoin de raison quand on a l’héroïne.


Ah ! Les saligauds. Un veilleur de nuit noir. Si ça c’est pas un coup dans le dos. C’est dégoûtant, ils se croient tout permis ces gens là.

#353
8.97 (107 votes)

- Hé Hubert, tu veux du Cacolac ?
- Non.
- Remarque, t’es déjà un Cacolac toi !

#354
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- Vous avez gâché un plan bien huilé.
- Ouais et bien puisqu’il est si bien huilé ton plan tu sais ou tu peux te le carrer.

#355 8.97 (155 votes)

Un cœur ça peut bien se briser, mais ça continue à battre quand même…

#356
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Je garantis des moments de rudes épreuves et je garantis qu’il arrivera un jour ou l’un de nous, c’est inévitable, aura envie de tout quitter mais je garantis aussi que si je ne te demande pas de m’épouser je vivrais dans le remord jusqu’à la fin de ma vie parce que je sais, je sens au plus profond de mon cœur, que tu es faite pour moi.

#357
8.97 (48 votes)

Vous ne croirez pas si je vous le disais, mais je cours comme souffle le vent. À partir de ce jour, dès que j’allais quelque part, je le faisais en courant.

#358
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Une dame : Comment avez vous trouvé cet opéra très chère ?
Vivian Ward : C’était merveilleux, j’ai failli faire pipi dans ma culotte.
Une dame : Pardon ?
Edward Lewis : Elle dit qu’elle a préféré ça à Don Quicotte.

#359
8.97 (107 votes)

On peut convaincre tout le monde qu’on a changé mais jamais soi-même.

#360
8.97 (68 votes)

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