Kaakook

Top - Citations de films des années 1990

- Qu’est ce que tu fais Derek voyons c’est ta famille !
- Ouais, c’est ma famille, c’est ma famille. Et tu sais quoi ? j’en ai vraiment rien à branler de toi, de ce que tu penses ou de qui que ce soit, tu ne fais pas partie de cette famille et t’en feras jamais partie.
- Mais ça n’a absolument rien avoir avec ça…
- Ah vraiment tu crois que j’ai pas vu ce que t’étais venu faire ici, tu crois que je vais rester assis en train de sourire pendant qu’un youpin essaie gentiment de se farcir ma mère ? T’y arriveras jamais Murray, tu peux aller te rhabiller, pas tant que je serais là, pas tant que je serais dans cette famille. Je découperai ton sale nez de juif shylop, et je te l’enfoncerai bien profond dans le cul avant que ça arrive. Ça vient ici pour empoisonner ma famille pendant le repas avec toutes sa juiverie et ses conneries libérales hippie pro nègre. Va te faire foutre ! Va te faire foutre ! C’est ça tire toi, connard, putain de cabaliste d’enculé de rabbin tu fous le camp de chez moi sale feuj. Tu vois ça [Il montre sa croix gammée sur son torse], ça veut dire t’es pas le bienvenu.

#441
8.9 (208 votes)

C’est le plus grand moment de ta vie mec ! Et tu t’en évades !

#442
8.9 (145 votes)

[Alors que Upham chante une chanson d’Edith Piaf] T’es chiant ! Upham tu sais si tu continues à m’dire des trucs comme ça j’vais p’tet tomber amoureux d’toi.

#443
8.9 (63 votes)

La différence entre toi et moi, c’est que moi j’ai la classe.

#444
8.89 (180 votes)

Le monde change. La musique change. Les drogues changent. Même les hommes et les femmes changent. Dans 1000 ans, il n’y aura ni mec, ni nana. Que des branleurs.

#445
8.89 (378 votes)

- Il a un drôle de goût ce yaourt
- C’est d’la mayonnaise.
- Ah j’me disais aussi…

#446
8.89 (188 votes)

- Qu’est ce qui va pas ?
- Et bien tout ce truc blanc sur ma manche, c’est du L.S.Déééééé !

#447
8.89 (98 votes)

- Je suis tombé…
- … D’un train ?
- Non… Amoureux…

#448
8.89 (53 votes)

On ne met pas tous les oiseaux en cage, leurs plumes brillent trop quand ils s’envolent et la part de vous-même qui sait que c’est un pêcher de les enfermer se réjouit.

#449
8.89 (44 votes)

Je crois en la mort, la destruction, le chaos et la cupidité.

#450
8.89 (243 votes)

Qu’importe que le vent hurle, la montagne jamais ne ploie devant lui.

#451
8.89 (116 votes)

- Quand tu t’es pointé tout à l’heure, est-ce qu’en entrant tu as vu un panneau qui indiquait une « décharge du negro crevé » ? [] Est-ce que tu as remarqué, oui ou non, devant chez moi un écriteau disant « décharge de nègres » ?
- Non, pas du tout.
- Et tu sais pourquoi tu l’as pas vu cet écriteau ? PARCE QU’IL Y EN A AUCUN !! Et s’il y en a aucun c’est que j’ai pas envie de planquer des cadavres de noirs !

#452
8.89 (53 votes)

- La majorité des flics dans la rue, ils sont pas là pour vous taper, ils sont là pour vous protéger !
- Ah ouais, et qui nous protège de vous ?

#453
8.89 (89 votes)

Dans le cochon on mange tout, wouh !

#454
8.89 (71 votes)

- ça fait vraiment du bien de chier un coup ! Vous croyez en Dieu ? il faut pas se demander si on croit en Dieu mais si Dieu croit en nous.
J’avais un ami qui s’appelait Gonvalski, on était déportés ensemble en Sibérie, quand on va en Sibérie dans les camps de travail, on voyage dans le train à bestiaux qui traverse la steppe glacée pendant 2 journées entières sans croiser personne, on se tient chaud ensemble mais le problème c’est qu’il faut se soulager, faut chier, c’est pas possible dans le wagon, le seul moment où l’on s’arrêtait c’était pour mettre de l’eau dans la locomotive mais Gonvalski était très prude même quand nous devions nous laver ensemble il était très gêné. Et moi je me moquais souvent de lui à cause de ça.
Donc le train s’arrête et tout le monde en profite pour aller chier en dehors du wagon et moi j’ai tellement embêté Gonvalski avec ça, il préférait aller un peu plus loin. Donc le train repart et tout le monde saute dedans car le train il n’attend pas.
Le problème c’est que Gonvalski s’était éloigné derrière un buisson il n’avait pas fini de chier, donc je le vois il sort de derrière un buisson en tenant son pantalon dans sa main pour ne pas qu’il tombe, il essayait d’attraper le train. Je lui tends la main mais chaque fois quand il me tend la sienne il lâche son pantalon qui tombe sur ses chevilles. Il remonte son pantalon, il reprend sa course. Et chaque fois son pantalon il tombe quand il me tend la main.
- Et alors après qu’est-ce qui s’est passé ?
- Rien, Gonvalski est mort de froid.

#455
8.89 (53 votes)

Si Benjamin était un médicament, ça serait un suppositoire.

#456
8.88 (79 votes)

- Saïd tema la vache !
- Quoi la vache ? C’est toi la vache !

#457
8.88 (168 votes)

Notre père qui êtes à Calgary,
Que le bobsleigh soit sanctifié,
Que notre médaille arrive
Et que votre volonté soit faites sur la terre comme dans le virage n°7.
Liberté et justice pour la Jamaïque.

#458
8.88 (133 votes)

Sur les ailes légères de l’amour j’ai volé par dessus ces murs, des clôture de pierre ne sauraient barrer la route à l’amour.

#459
8.88 (178 votes)

Chaque fois que j’déprime ça m’déplume !

#460
8.88 (70 votes)

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