Kaakook

Top - Citations de films des années 1990

- Shenzi, tu connais un bon resto ?
- Non pourquoi ?
- La bouffe est entrain d’se carapater.

#281
9.05 (127 votes)

Je me comportais comme une autre femme, et pourtant, j’étais moi, plus que jamais.

#282
9.05 (53 votes)

Si on s’en sort, fais moi penser à te dire merci.

#283
9.05 (64 votes)

C’est à une demi-heure d’ici. J’y suis dans dix minutes.

#284
9.04 (863 votes)

On est une génération d’hommes élevés par des femmes, je suis pas sur qu’une autre femme soit la solution à nos problèmes.

#285
9.04 (511 votes)

N’ai pas peur. Je vais te donner le choix que je n’ai jamais eu.


Il y a une différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin.

#287 9.04 (156 votes)

- Hey, bouge de là connard !
- Je crois que ce martien veux communiquer.
[Tttaaaaaaaaaaaaaaaaoooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuudddddaaa !!]

#288
9.04 (63 votes)

Pourquoi cet amour querelleur, cette haine amoureuse, ce tout créé d’un rien, cette pesante légèreté, cette vanité sérieuse, cet innommable chaos des plus aimables formes…

#289
9.04 (270 votes)

- P’tet que vous n’aviez pas la femme qu’il fallait.
- P’tet que tu devrais fermer ta gueule !

#290
9.04 (63 votes)

Jack ! It’s a boat…

#291
9.04 (188 votes)

Tu la sens ma grosse intelligence !

#292
9.04 (73 votes)

Je suis le sentiment de rejet exacerbé de Jack…

#293
9.04 (304 votes)

Le magistrat royal : Un seul mot, dit juste… pitié.
La foule : Pitié, pitié, pitié, pitié, pitié [Jusqu’à la dernière réplique du magistrat]
Le magistrat royal : Crie le donc.
Le magistrat royal : Aller dit le, « pitié »…
Hamish : Pitié William, pitié…
Stephen : Jésus, seigneur…
Le magistrat royal : Le prisonnier souhaite dire un mot.
William Wallace : Libertééééé !!

#294
9.04 (73 votes)

Cétacé, dit la baleine !

#295
9.03 (62 votes)

Mon unique amour a jailli de mon unique haine.

#296
9.03 (197 votes)

Mon cœur jusqu’à présent a-il-aimé ?
Jurez que non, mes yeux,
Car jamais avant cette nuit je n’avais vu la vraie beauté.

#297
9.03 (309 votes)

Viens douce nuit,
Viens vite amoureuse au front noir,
Donne moi mon Roméo.
Et quand je mourrai que tu le prennes et l’éclates en petites étoiles,
Dès lors, il embellira tant le visage du ciel que tout l’univers sera amoureux de la nuit,
Et que nul ne pourra plus adorer l’aveuglant soleil.

#298
9.03 (228 votes)

Ainsi… sur un baiser… je meurs…

#299
9.03 (258 votes)

Excuse-moi, je vais rentrer chez moi faire ma crise cardiaque.

#300
9.03 (267 votes)

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