Kaakook

Top - Citations de films des années 1990

J’ai couru… J’ai couru jusqu’à sentir tous mes muscles brûler, jusqu’à sentir dans mes veines de l’acide sulfurique à la place du sang. Puis, j’ai couru encore.

#301
9.03 (259 votes)

Je me comportais comme une autre femme, et pourtant, j’étais moi, plus que jamais.

#302
9.03 (52 votes)

- Tu vas où là ?
- Je vais aux toilettes, mais tu peux venir me la tenir si tu veux, j’ai pas le droit de porter des objets lourds…

#303
9.02 (51 votes)

Il y a une différence entre connaître le chemin et arpenter le chemin.

#304 9.02 (154 votes)

La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma, ou des rock stars. Mais c’est faux ! Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment plein l’cul !

#305
9.02 (275 votes)

J’t’emmerde Sébastian. C’est normal que des types comme toi et Kurt baisent le monde entier mais moi si j’le fais, on me largue pour une petite écervelée genre Cécile. Il manquerait plus que j’ai l’air de m’assumer et d’adorer le sexe. Est-ce que tu crois que ça me réjouis moi de prendre tout le temps l’air béat de sœur Sourire pour être considérée comme une véritable lady ? C’est moi la plus grande baisée pour compte des beaux quartiers et par moment j’aurai bien envie d’me flinguer. Voilà pour la psychanalyse Dr. Freud. Maintenant dis moi, tu es partant ou tu déclares forfait ?

#306
9.02 (143 votes)

M’man ! M’aman ! Arrête tu m’embrouilles la crinière !

#307
9.02 (183 votes)

Vous devez être avocat : vous dégagez quelque chose de malin et d’inutile.

#308
9.02 (82 votes)

Un seul grain de riz peut faire pencher la balance. Un seul homme peut faire la différence entre victoire et défaite.

#309
9.02 (112 votes)

Arrêter les pendules, couper le téléphone,
Empêcher le chien d’aboyer pour l’os que je lui donne.
Faire taire les pianos, et sans roulements de tambours,
Sortir le cercueil avant la fin du jour.

Que les avions qui hurlent au dehors,
Dessinent dans le ciel ces trois mots, Il Est Mort.
Nouer des voiles noirs aux colonnes des édifices,
Ganter de noir les mains des agents de police.

Il était mon Nord, mon Sud, mon Est et mon Ouest,
Ma semaine de travail, mon dimanche de sieste,
Mon midi, mon minuit, ma parole, ma chanson.
Je croyais que l’amour jamais ne finirait, j’avais tort.

Que les étoiles se retirent, qu’on les balaye,
Démonter la lune et le soleil,
Vider l’océan, arracher la forêt,
Car rien de bon ne peut advenir désormais.

Wystan Hugh Auden

#310
9.02 (123 votes)

Tu ne connais pas le sens de la perte, parce qu’on ne peut le comprendre que lorsque l’on aime quelqu’un plus que soi-même.

#311
9.02 (51 votes)

Si c’est ce qu’il faut faire pour avoir chaud, compte pas sur moi pour le faire.

#312
9.02 (122 votes)

Comment tu tues le diable, d’une balle dans le dos ? Si tu rates il se passe quoi ?


La différence entre toi et moi, c’est que moi j’ai la classe.

#314
9.01 (172 votes)

- Hey, bouge de là connard !
- Je crois que ce martien veux communiquer.
[Tttaaaaaaaaaaaaaaaaoooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuudddddaaa !!]

#315
9.01 (61 votes)

Vers l’infini et au-delà !


Jour, nuit, jour, nuit…

#317
9.01 (294 votes)

- Ça gaze les loulous ?
- Euuuh, vous êtes sur la liste ?
- Non, mais mes amis doivent y être. Vous les connaissez, on les voit partout : Benjamin Franklin, Ulysse Grant et Andrew Jackson. [Il lance des poignées de billets dans les airs]

#318
9.01 (61 votes)

Quand est-ce que j’aurais droit a un Noël normal moi ? Vous savez, le sapin, la dinde, le feu de cheminée en famille, mais non, on est si bien dans une putain de conduite d’aération !

#319 9.01 (132 votes)

- P’tet que vous n’aviez pas la femme qu’il fallait.
- P’tet que tu devrais fermer ta gueule !

#320
9.01 (61 votes)

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